
nous vei’rons dans la suite qu’on peut s’en etenngr , ear ee$
limites ne sont, pus bien» fwëcjses.
Les -racines sont presque toutestlameuses et fibreuses, les
modificàtions quelles pr<S®ntént n’ont rien de .propre à la
famille. *©ans quelques ë§|)èces annuelles , le pivot se pro4
longe presque sans ramification , et forme >usi|il®®jne simple
et verticale ? dans la plupart les ramifications latérales sont
très-grandes , et ên particulier certains arbres, tels que le Ror
Mnior, sont remarquables par l ’aileilgemonf exiraeiffinairede
leurs raeines. Lorsquèles Légumineuses: ont, leurs racines
tu^érelMte j elles-'présentent des formes très-diversos î, les
unesè comme certains Glycines, le M&lm
p l- r f^ ^ o n t dès fibres renflées en fuseaiix un
peu charnus 5 ldi autres^ qommé lé g e n r e o n t
le troue^ème dÉia racine renflé en formeele>navet, ^Fpro?
longé pn filet par son extrémité : il en est enfin qui portent,
le long de leurs ramifications, des. exostoso^charnus et laté-s
rausts eoPimO on-le astfit êsLMk¥QrmitÂ<?p^pérpMwRu&:) etc.
Ges trois genres de racines tubéreuses, qu®w retrouvé dans
plusieurs famiileÿf méritent d’êlpéjJÜsiÉOgués;ipàÉPp|j|||pp?
thetes spéciales1; car^élüèsisont très-dis-tmëte®4,^fjbrès-c@ns-
tantes-.*'
,LeS' tiges présentent tous les-degrés possibles ae grandeur^
de#duféé? et décënsistàliice , depuis l’immense Gleditsia dont
le ttone s’élève qUelqùefôis jn&quà soixante pieds, dufétdes
siècles , ;et forme un tleît bois les plus durs du gl§bif juSqu%
\ Omitliopus ’peppUMkhi» dont la tige herbaeé^it délipaie nè
s*élève qu’à*qtt^[Ué8'|)OtrêëSJdnl»c®guêtSi, et ne yidiffiequelques
niOisif tOUis te^èxtrémès smiréfiGontrênt ddnOJlé|!t#7fâmilW^
hè fiëhëtiïtè îie peut ce^enâa^rùtécdnlldîfre» Tourne-
fë r t5 qùi a vôulU^parer lès Lèguminiusé^c'n hérbes q|.em
aébïèM a été Obligé, à chaque instant', de fomprpfleSirap-r
ports lèS |MN| nâtérels î certains;^enrel soût exclusivement
dékipolés ou de. plantes ÉefolfâGéesi comme. les Orniihopuè j.eu
dé plantë^li^ïfeilsés tlOfdnie * les Robiniw ÿ mais la plupart
présentent tôuJs ?lfes degrésr intermédiaires. La circonstance
d’avoi-râlL tige droite OU grimpante.* se lie ^lug; intimement
avéGTd'ètesSifieatiOn, | f fp -Ï& trouve d&ns dïveiîsek.tribus $es
gèrff^#mit,rfotftes?l^l^p^èd sont' WlùbileS ‘r tels sont les-
Fï8ilxrJèfè lë|^rt#ft»>'pariûl lëli\5i®ié0sy le Wipterià^ lé
tféëÉ^Tfe '■ Èdiï§k9&& plusieurs, autres pariM les ^baséolées j
Glÿûîhb parti« fë^Lbiées-vet VEAi&dtz parmi
lés; MiRîësfès ptfidî ^:*-
r ...Les rameaux dès Léguifiiiîéüses soüt fréquemment ôn striés
eri long, ou rélévës par dès cètes* saillantes'-,’jéu prolongés ën
ailéS ffiêïnbrânéuSêS.- GëS adules ou « J l e s v . t d u r
joürs en dessous dès stipules des >drmx bords dd CE^sSj^et.qui
sdütièrït là feuille-, ifë coussinet est plus prononcé dans les
Légümihètlà&s que dans la plupart desautfes familles.! Lés
nêrYtirés qui eü dés'éèndent jr sont aussi plus visibles1, et Ont
rèçb lè nom de pfdjèetufê^p'rüf^etmW)} toutét leabiànëhes
de Légdffiineùses ffiîisserït, selon la lüépresque universelle *
pat fOriOer d is tigéSj cylindriques,’quelle qu’ait été leur forme
dans leu® jtgSiéssé. Gæ phénomène ^qu’on remarque si bien
dans lés Gièf'g’ës ët plusieurs autres arbres * tient, ou i°. à' ce»1
que lés énglés Oû lesbaMes des tigeS sorit de simples expan-
sîéÉiS dë FéCOtée et qu’à Étesdre que lé ®érps ligneux en gran-
disSaiit distend le eorpà cortical $ les éxpansions de eolui-ci