
ternées oü;ailëes*avee impaire, réduites jà> la foliole impaire,
par exemple dans Y^4ntfÉy^lMls.^ le Zz'wzwpetoU!D autres,
sont formées parla soudure de deux ou trois folioles situées
vers' l’extrémité du pétiole -r comme un le voit clairement en
comparant les/trpi$ états du rX i^ U a^ a u rea , mdiquéàifi|. - ï j
et comme je pense que cela a-rrivte^ dans V;Mmta,deb pd^autres
enfin né sont autre chose que la hase dujpétiole:, qui persiste,
sbit-seide^ soit avec ses dèâx stipules^fét'formeun^e^pë '
d’écaille simple btvâ'flrois lobes, cbm-me par exèmpfedcitfs les
V icia , et les Laâhyrus^
Eu général, quand léslféililles primordialeS^sont opposées,
elles*’èbnt semblablesfenfre ellès ;ÿcVugme On leZvpit dans dés
Haricots-, lus H èd y sa rum r efa. ; mais il arriv Quelquefois
qu’elles* sont dissemblables^uinsi*, dans plusieum*i^$ap
n iu , l ’une d’elles est ovale etentëèré* Fautïe;esbailé<p tdàns
quelques MiWiosct, , l ’une s est mmplemen fc'dùlee-, 1 autreideux
fois ailée/Lorsque eetfè disparitémxisteentreksïdetix feuilles
primordiales, on peut s’attendre qu’ollesuppartiennent plutôt
aux genres à feuilles altêîkes * -aussi trouve-t-onfâe^pèces,
des mêmet genies qui ont lesfeuilles alternes, et quelquefois
cela arrivera des individus 'de la même' espèceps
Quand lesfeuilles primordialfepsobt opposées, la troisième,
feuille commence toujours à présenter les .formes; propres aux
feuilles ordii^i^s;i Quand elles sont alternés;, la première
mérite quelquefois seule d’être nommée primordiale, et- la
deuxième U déjà la forme ordinaire, comme dans lesrTrèfles,
les Me'dibàgà.'Ailleurs, mais rarement, ontroùVe trois feuilles,
primordiales et semblablesg«A quatrième commence, àtêtre,
dissemblable, par exemple dans XéXfyamûpsis. Lorsqu’i l n’y
aqfiéïdeux feu®^||)ît,im(#diâleS*sdiffâ:ent®s des feuilles ordb
maires, elles^sont
■ *^Lps;|feuil®s primordialepdlffèrent ehcore entre elles', par
leu]Ç^:<ttané.èî3. des co tylédons : les nnes naissent immédiater
menf;am;d®s\su£d'1§iix^’com-médans lé,Trèfle, le 'Mé'âidc^B^
d’autres à une distance plus W moins grande, conune dans
lqdiaritbbou le!
QuandoeHes^oüî^^iêsées^iflés' sont -toujours jtsroisées à
angle droM|^^ S lës»¥tylëdeins. Quand elles sont aLtëfnés j
la preripère est toujours au nÇoin^ d^nw<4îMérdiro^ion qui
C0up#^&eotylédonsvàèan®le, droit; et la seconde’, quoique,
située- plû%baut ,d ’eSb^acère- dans mUtgrand; ÙTombieide chhé.
flfPour faire-o©mpren^ré^es diverses combinaisons j|&iîfeuté
d'établir une: ossification.§||s /Hégoqmineuses • pnjquement
d’aprèslleur germination,; et biqn qu’un moyen Unique doive
toujours êtfe considéré comme ^artificiel«', ' on verra, par le
tableab, sù«âuf;f que cMle-ci^cnUserVe 'un grand^nombre de,
groupés;: Elle polirra déîplus/êfee agréable aux cultivateurs,
||ÉJeur donnant un moyen? de reconnèâtrdâns^la" plupart des
cas les Légumineuses ài l ’époque de leur germination.
io