
H D u i genre : IH YN GHO SIà . »
Ce genre a été établi sous ce üoptn. par Loureiro, en 1789,
sans qai’on^^ûÆfdéduire de'sa description qu’un grand nombre
de Gfyome devaient,_y rentier p la vue d|£ $éehantillon du
1D, n>&%ubilis,fLe Loureiro, conservé au Museum de.Paris , m’a
■ SfWfedonné l e veil à #â?^acdÿ}^t m!a,appris que* toutes les
espèces- d%|^mb«i*;deu?E ou quatre-grainés etià#@%dédons
charnus;j appartenoient au genre Rhyfmh®sia. mgi
• vlleja^mo M. Elliot ay oit séparé ces, Clyein^nli^gtl-
.spemesdes autres ,, sous Je nom d^^D'G^'pkff'ilum^ et-.peu
-aprèSfMh lu t ta i! ayoiteniisepp&ieinom àe G lycine à celles-ci
seu'l^ine&ti rMi - Kunth au aussi indhiis «,etje< uonmwldturer.
Oblige, de me déchlgK:^ ^ e s e | s< ^ ^ ^ ip f in ^ p t^ e à égèie-
suent admissibles, j ’ai.pip devoir «fpjrre! uniquement l ’ordre
de pïior-iip $\mirns tout jén admettM^derttom dq s
comme le plus .appiqu9 je dois avertir queJeft^vmldflfMj Eh
lintsest celui qui
; Les id§s soiis-mb^lsiMti^ jjgrimpans ,rà
feuilles tantôt composées de trois folioles dont rimpairenpst
petiole®* tanteh fddmJejq^ la .foliole! Jgrminâle, et alors on
les dit simples. Leurs fleurs §ont jamb^sttJtapt,bhienfgiippqs
axillaires$£ tantôtî postées.;bug un •^dicnle.1qi^p^«jdy ^ pjs-
lellep lqtir .ca&e uesf à cinq lobesipresquu déjetés en deux lè?
vrest lya corolle est quelquefois plus petite ;quei je <calice- :; les
étamines sont; diadelphps, et le filet solitaire],ir genouillé à sa
base ; le style est Jdifermew i souvent diversement fléchi. - La
gouss^\qst sessile, comprimée i^.à, deux,; valvés A ulae seule
löge, à deux nu frès-rarëment trois ou quatre graines oyales,
arrondies*, é p a is s e s^ qui bèssèlent un peu les valves. Les
eotylédons sohtrehàrnus ^ restent sous -terre à la germination
au moins dans les ’e^pèfces que^’aiîwuès', âes feuilles primordiales
sont opposées ; et jointes au caractère des» Cotylédons,
elles priilaiféitt
IWßeigBBfe nomprenÆiqmatre AsedtwnstdÂemminëéj'prmcil)»-
i°. Celles.dontdês feuilles Sfemt toutes^ éiiia plupart, à une
seule .foliole, teMes; que'de! ^>.'->7^^^f^«^f'-qni'est leu(3^ ^ k y
remifmrmmàe Pursh, It-R^dafforràh Ou-4ylj>omet&merèC&sa
v&hd>üi¥: de. Mrchdux, | et une nouvelle èspeee ,découverte au
Mexique^ par lé e 1^ e t que je nomade M ^ ^M ^ ew n fÆ èu
pb 55).
,2?, LeS'espèèes.^trois folidlfes tet àdenrs en grappe j tellel
que le R . oie'Loureiro, l^dàdbcea|
Wsâsre&loïd®s*i prèeoeïorîà ymncmp'kytïn ; Xrèfèculattx, Mem-
îtàmi&y demjßorä\ Caria,
aurea , whombvßMd, wmedyfcècdda, ' mme&leàs } vïscid<X%
vkc&^m^tideriiolcsrm, Tufesccrm ^glmèrk:j ig’dlâc1iëv i6$, qui
oôrrespondent aux ©^rbfwetlemêmes noms s^éeMqwes desdh
yetà'1 auteurs j^lès XR: m inim a, mediftUginß® e t sceßpabi&Mdes
qtfï sont autant Me Dôïickos- dés auteurs les R. nudBppêmc-
pufêifoëkt;) \)Mmbia-, pubé»&ètàs y iewtâÈqWi *Mfiëra
ÿ qui sont autant d’ésp§ées<médâtesi#dlfot je don-
nerâï ;oiia^fès une courte deàciiption;.'ïP
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