
formees^em filets allongésëet filiformes. (Iles- autreslsont pîus^
rapprochées, plus, countes ; leuBs étamines: sont fertilestfit-Iesi
anthères terminées -par une glande; qui tombe de bonne heure *
L ’ovaire est hérissé de poils blancs^. Jene éonnois pasle fruits
12°. Desmanthus triahbstacf^s. Tah.i#ÿu
dette plante m’a .'éié.envèyée- du Sénégal "par MM. -Bade-
et Perrottet' > etfejrde grands -rapports a&cdà^re'cédiiie.iE'Me
paroît en différer, i ?. parcetpie les»branches', au moins*dans
l ’état où je les possède, sonl dépourvues d'épicres ;;2,yWjue les,
pétioles portent neuf à dix paires de pétioles pârtielsJ5'-,â-0rque
lies épis éontiun peu plus longs et non plës^enn#s[£«f-les
feuillês =|||t. que lès glandes des pétiolesisoht plus.épSrsesaet
plus hrièvemenit pédicellées. fllrn fliffiéiirniïjjTp ~i itni^liîliirîîf nîTr f et :
je né^seroisipas étonné que de nouvelles observations-u ’ obligeassent
à réunir; ces deux .
M. Bâcle m’a dit que lesdSègrésXtes enTi^nsdoSkmt-iidu'i^
lui donnent le nom de Nemnem $ et qu’ils-emploieréde fruit,*
les feuiUes et J^éeescCe pour tanner des-peaux. SèsflérirsJoht,
Les uneajaunes, les autresilâniÉre^iLet ont une ©deur doirreo
JsàÉfe. ja|
La Monographie dés Acacieic sans iaIipl€i^d«IÉ JlWé&l-
land laisse peu de! chose à] décrire. Cependant^’indiquerai
ici rapidement quelques-espèces â:y ajotiter. • H
Celle-ci provient de la Nouvelle-Hollandécet a été recueillie
à, la baie du .Géographe par les naturalistes qui faisaient
partie de l ’expédition du capitaine Baudin. Elle est entièrement
glabre. S.es.rameaux sont relevés d’angles nerviformea
saillans ; ses--stipufes épineuses ,, persistantes , grêles et étalées.
Ses phyllodiums ou pétioles dilatés sont uvales, oblongs*
rétrécis- %,pointe aux deux-extrémités, prolongés au sommet
fin. une petite séfinfi^fe^'êrsés par une nervure longitudinale.
saillante ,.bor;dé^sur l e s , d e u x p a r une nervure qui
fait le fpur du limbe, déppttrvus de glandes ouJe dentsdatera
les», dongs djé'Jix à douze „lignes sur troisfà Quatre de largeur
„LM.^dQnculnjsihai«sént|s®iitair€®;©u-géminés a l ’aisselle
djg|ipétifi]es.sûpépeurs, ettpontlde moitié plus courts qu’^ix.;
jlS portent dep,capitules arrondis „ composés, de- cinq à huit
fleurè^elles-oifon#;un caliceh^fuatre. lobes obtus. Elles sont
trop peu développées dans mes . échantillons pour que j ’ose les
dé^r|ï^|s <-,v
jCettëespèce' nekpen* être-comparée qu’avec V A . hasfu-
’ toi^de.Smîth ƒ mais- elle *ep;,est très-évidemment distincte.
jCi#bteïespècé%st,e^fe©ré.due aux recherches des naturalistes
qui ont fait partie J e F expédition du capitaine Baudin. Elle a
étéAecoltéeisur laÿôte orientale Jfe la KouVfelle-Hollande.
»Ses rameaux sont triangulaires dans leur jeunesse? et deviennent
ensuite «cylindriques. Les stipules manquent. Les
phyllodilafns soiitlWaires, ohlongs, rétrécis aux deux extrémités,
terminés énqiointe épineuse, munis de sept nervures
longitudinales et presque parallèles ; entiers sur les bords ,
excepté: que vêrs le tiers du bord supérieur dis offrent une
petite glande sessîle, qui forme unevlégère dentelure, peu
apparente au premier coup d’oeil. Les têtes de fleurs sont
globuleuses, axillaires ,'solitaires , portées sur un très-court
pédicelle. I
15°;- xdcacia eglandulosa..
Cette espèce provient de la Nouvelle-Hollande et m’a été