
i©8 II«. MEMOIR F.
d’affermer la place dé ce genre. Stq commè je^rois me le5rappeler
| elles sont opposées, Y Abrité appartieiidroit certainement
aux Phaseolées, malgré ses feuilles sans impaire'$$1
elles sont alternes , il devrt&êtrëj'rî&t aux ViciëêsC: ;
6e.. Tribu: DALBERGIEES.
J’ai vu une seule fois un, Dalbergia en germination ; mais
ayant égaré* sa .figure et sa description, je, ne .çetrouy.e en
nofe autre chose , sinon que ses cotylédons étoient foliages
et/ saillans hors de terre-, et quç, ses feuille^ primordiales
étoient simples , pétiolées et oopo^s^^e-^erni^^ar4actgre
tend à confirmer leur rapprochement aygc les Phaséolées.
In ÿ ‘,^ ^ ; ' s w ïR Tz f ê p ^
Je n’en ai vu aucune en germination. •
MMQgifâkjK
Les îffitmosées forment, sans,aucun doute une dés'tribus
les plus naturellesipt les plus distinmes-de la famille .des
Légumineuses, mais je n’ai pu observer la germination que
d’un petit nombre d’entre e lW j *et la plupart/arrivées dé
lé’ùrs patries respectiv|s^ etoiept nommées trop inejiactiye-
ment pour que j ’aie pu tgujo.urs 'sâyoi/ à- quelîa / é spéce
et par conséquent auquel des genres, actuels sempportoient
les. germinations ^ observée^ Je^Ms aecrirai doiié" saps oser
encoîéTes lier d’unie maniéré défhiitiyé avec la classification
générique..'
J’ai vu îâ germination àeŸÊ ntad a GigalobiUni ■ elle offre
iog
deux : cotylédons épais, charrias, enfermés dans le sperptéf
derme, lequel $ous terré tres>près de la surface
; cesv'^Q|yleàons sont ? portés sur urt' court pétiole
ftéchi horizontalement, ;ti'ge Relève "(droite ^cylindrique ,
rougeâ-tfe ,» et -éentordlle|de|a-autour ' d'efpcorps':'qu’elle rencontre:
,rLps,Apremières fguâües naissent à cinq’ pquçes de
distance des ardtvlédons ! | B I deu# primordiales alternes,
mais plûs rapprochées entre elles .que les suiyântësf petiolees^
palmatipartitë^,tcfe^^M|ef côriipépel'dë^iriq folioles qui sôrit
eïieore; ^udées, ensemble île milie^Pe^ long , linéaire^
pmffer ys Je? deux latéraux' plus* eoUrtsj, quelquefois
un peu d(^Éés<*du:;c^té extérieur ; Ms- deux'^el|èrties plus
courts -qiaeoipo et, munis dilné'dejït^à leur base* extériëu^êf
lesv feuilles s u iv a n t presque pinnatiparlités^ ay^'/llllobe
terminal' trè§ifonght'|es latéraux plu#||®rts. j^ét^l singulière
gerriïinatiqrï ëM d a tan t plus bizarye que la plante* adulte
finit par avoir dre^f^Ulllës/deuxfois .âll^^l|î|^iinpai r e^ lf ^
|gé petiote* teyM4#en !^ill‘ef:dmalheurëu‘semèntl’l|. morjfdes
jeunes'piantes m’a empec^4|tó^^%^^,''^)röëressibn. Re®'
îatetèçjù < >n ty q K ri fada qui seul, parihi |es.*gj^dsé^ ressemble
au6éVicîëls%ar?‘ite^^^^ en v r illa i#
sès-’tiges grimpante^ , leur resseigble aussi par ^^^coty-
lédons souterrains èf inclus < darilife spveMp*dérmîé/|f a-tril
quelque rapport nécessaire, eplfè J|fs p|ie^m’ihène|i^î
J’ai* reçu et semél sous le-nom fene
graine4 d,e ./Himosée que jeÿâ’ai pu examiner |àUulte. Elle
avoit, comme la précédente, lesfêfetylédôns épais etiaehes
sous terre ; sa1 tige 'étdit saillanjëj? droite et^ffèjLe” vsjMfé/uillés
primordiales -gltçrnes pétiole! commu^^ -cfiyi^it:a u