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tère du èaiMee que j ’ai mentionné, il s’eu d&titfjàpèSpar'son
étendard plustèoért que la carène, et' palï'Son ovaire lmékitje
a^huit ovuiesû ’
La seule espÈcë^connue d5a»ce genrèïWt laèsnivante. .
D ich ik is
■* d e sous-arbrisseaulaêst origiriaire'uku Cap», où; iëommarje
Fai dit; il.a^fé'Ééfâtt^fet par M. W. -Btircfeellt
blanchâtre, droite / nylândrique /fcaEô®|l^ ;âgrêfeffltcôæé|erte
d:êrtrès-petits. potils couché®, à>psêinef visibles à#l|&’«mpe. Elle
paroît s^Èe^r au moins à- deux, pieds. Les feuillesrstmt alternes',
munies detMSf-eourtes' stipulés à^péine visibles, composées
d’un pétiole>ïdsé une à deuxtigdes.<de longipmr, ejtUde
trois folioles qui'-partent du sommet ,-“ linéaires-; drqjjtes jMâj-
bres,- pointues, d’üff*vert unfe^étupâle, longuesrdre quatre à
’cinq lignes, sur une de largeur. »EesHeurs naissent»solitaires
jvfer^îl# sonûnet dei rameaux latéraux , portées sur un pédi-
celfe de ïdeuxfiWi : trois lignes ,-reeoua?bééà«sonî sommet ', et
muni de petites bractéoles f^èesf fleurs sont tpéhdamtes^de.
couletirpâle, p eutiètrej aunâtrés::
ivL^ur eÆéeiaie tube court^i^tn^il^a?^fee^Eir'sa'ïbaseÿ il est
divisé profondément ete deux lèv*resitermiMéesq)âr des dents
larges et aigài®, deux à la supérieure?, trois à rinfériéure:
Æai corolle a un étendard glabre, oidvé, pldsif court quëflai '
carène, mais plus long que les ailes :■ elles -sontede la lSife
gueur du cïdice , obtuses à leur sommet. La carène »est pâle ,
obtuse /plus; longue'que l’étendard, à deux pétales distinct^
seulement à la base, ÿj
Les dix étamines sont réunies iën une gaine' fendue du
côté supérieur , m
L(âTÉ®Sv 2o3
» ,^’ovair.eî.est liriéake, pu-bescent, droit, et renferme huit
î^ûles ; le^t|fleij^#udé en aplvà; sa base, filiforme |^:®urtut
terminékp# -un stigmate un peu;ep#fc,*i ^
> , Le fruit ne m’fest»pas,cûnnu.
iD ^ i ^ S E A B p ü M .
t * T ou rn e fcf ^piltdési'gBé i|tièi^nomvdè ^Spartiwm les.es-
pèees; de ^ ^ i^ è l s s i^ f^ i t^ è •rëmfèrmant qu’une ou deux
graine .^^tekcfi^ifiGation/ S'ui^lq par Adânson, Moench et
Link jips.^ejsii'ne-paroît, pas admissible patr ie s motifs que je
ivd^duis à Linné avoitiétabli son genre Sparl
d’après le "Sportium ■> maistavoit réuni avec
lui de Teurnéfort et, quelquesuspèces^ de C y tises.
En élipinamtiJU'Ce genre l e s eSpàces hétérogènes à
aux vrais .Genêtset aux x a ù i s - i l , r e s t e isolé
^m^'parjium jÙT&Qëfym dont Liripe a v o it^ e lé c'ara^ère-générique..
M. Mnk ayant bien jtâÉti queî,céÿë:èipèeen’ëst com-
p|àtement anar0gué;àuucnne>,autre, çfeyoulapt ùe.paslaècxpt
fondre a^gc loE-S)»«>^É^^ de/fôurmefoM èfîrUppeler.'spu*nom
primitif ,# qn^a formé un geqje sous le nomade ^pawtianthus.
En adoptant Popiniotide ce_‘c,élèbre botaniste quant aufqpdj,
 ne me 'range pâs||sa nomenclature, pour éviter un nouveau
nom qui tme , paroît peu utile , ëtije oonserve le nom de
^JW'&«7#'popr le ggûr^qui comprend la^ u le espèce .d’après
laquelle Linné! a formé pq^^r$c4ère. Ç<f genre se distingué
i|jrà,soèic%lice membraneux,, »spatbacé, fendu du côté supérieur
, à cinq dents, formant deux lèvres ik, peine distinctes ;
2 °.àsa-,carène très-acuminée an sommet, et dont Jes pétales
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