
YCUX parler du Lathyru^ tomentosus de Gâvanilles : %us
ceux qui l ’qpjt observée n’ont pu dpyiper d ’après quel motif
ëù botani&te <^èhre l ’aboi t placee ,d,ans les Lathyjà^ÿ^ Will-
denow l ’a transportée dan_§J^t Jp^'^prohablement à c^ se
du grand nombre de s§sJ[oJ^.€^,, e t Persçoml|tns les.Qro'ffiks,
p^ut-^re^-.|àuspde son s^ lg ^arbu j mais elle metparoit ^rès-
elgignu^ de tous tas; genres de lajtribu des ^ taicês-à et réelle^
ment intermediaire entr;e le„^ ^|^%ÏWR6iéd§^s d®fit ellecse
‘rapproche par .sa pousse comprimée,, à ^y^.^plaues ,,.*etnta
Çaragana dont elle a les.fleurs jauUe^^ll^de^^y^Jà cinq
lobes aigus ,,;prësque^aux , dont Jefi de£i»^si]pé.Fie.iî rs
un J^eu plus. ^ ® ^ q u e fe^ autres.-JL^^d^r,d^st çourt,,
large et éphancré au sommet] l^c^jg|obtu§p -, lgs .étamines;
diadelphes , premue..éga% a e n ^ ^ u e u n t:^ » ss^yd.e cofirbé r
épais et glabre,^|^a&efiliforme.,, e^garpi de tous<e,<^sdte
poils ou de. barbes yers. le sommet j la comprimée
, amincie^ et mypropée a^sommet ^ ^alkes planpg :
la seule espèce connue e,st,un arbrisseau du l*,eiiO.Uî,lcà feuilles
ailées sgns, impaire, à folinj^. nombreuses ,* .cotonneuses, dé-
pourvues-4 e stîpelles y quelquefois on^tcoqyeune foliole impaire
au bout du pétiole5 tas pédoncules^sqnt axillaires, plus“
çp u r ts^ e les feuillg|^ et portent-,deux ou trp^s;f eurs jaunèsé
Gomme çéfc arbustese cultive dans les jardins botaniques,
j ’ai Sonné à ce genre le nom de Cpçrsetia , Ipour rappeler
celui du botaniste - cultivateur Dumopt de ,Gourset ,, qui a
puissamment contribué à avancer l'horticulture*, et a popularisé
les bpus principes sur la culture des j ardins botaniques.
C’est ?à pe genre qu’il faudra probablemënt rappbrtèr YÆ&-
Qavanilles, $ c c ^ ^ ,à q3>«
£ /ÿ?..Le genre CaraqabtaV bien connu dâ«-Botanistes, se ca-
.raetérise par, son caliCe en tube court, à cinq dents presque
.égli$ès; par-saeaffflLe obtuse presque Jpoit© 5 par ses étamines
diadelphes.^gal^ entre elles ; par sém "style glabre et filiforme
; pan saégousse sessile , comprimée dans la-jeunesse,
puis presquemylindrique, à valves plus ou moins éoncavés -,
et à graines presq ue àrrondiesH Le WMliagana est celui dont
plus comprimée, et qui, ^tous de ràppdk ,
Approche un peü plus des genres précéfiéSis] mais il s’écarte
ienc®^^du^^5&w<Z’/et du \Goursetia par soB étylé glabre , du
SdMl^ëfib par ses étamines égales, du Gotynella par son style
filiforme ,<(rt du! P ietetia par ss^eusse fèsisde. •
•• , comme on sait, des arbres ou arbrisËgfaux
originaires ad’Asiei|'à feuilles ailée^sans impaire , à
fèlioles mucronées et dépourvues de stipélfes , à pétiole sou-
Q'dfit' épineux^ài^b somriïet. Les pëdicelles sont axillaires ,
solitaires our |jpfeiscëaux . chargés d’une ou pllutP rarement
d,eux f l e u r i Gélés-qi sont j dunes, exfcepté dans le seul
elles sfijat d’un blanc un peu rougeâtre.
Jê suis -èiifiùîobligé, pour être conséquent, de séparer
des Garagana legènfe IJalimodendron, formé du Rob. Ha-
Aodendron de Pallas Vje lui donne ce nom pour rappeler son
nom ancien je le modifie légèrement, d’après le conseil
de M. Fischer, pour éviter de le confondre avec le genre
Halodendron de M. du Petit-Thouars . qui rentre, d’après
M. de Jussieu, dans les A vicenn ia , mais dont Je sort n ’est pas
définitivement fixé. Le genre H'alimodendron diffère du Ca~
ragana, quant aux caractères tirés de la fructification, par
ses ailes à oreillettes très-aiguës, par ses gousses pédieellées,
36.