
Quoique éè^t&'tactére pâroisse détaillë^|l^ûfemie quatre
groupes très-distincts, dont on devrapeutiêtiounjourformer
quatre gètiféS/, mais que?, vu Eiacertitüde qui existe encore'
sut'plusieurs èspèee%'je.-crofcâ plus*
simplemeiTtt eoinïne deux sections.
La préxrtïère, que je-dëSighéSoüS' In hom à&’Wugariet pour
rappeler que lè^ ^ fV ^ ^ C n est lé' type1, corrêspdnd&u^emre
nommé Tÿcaffitb par Âdâiïséfn,‘et quipâ-roiDd^àprès li’herlbiéf
d’d M. de fJni|srètf ', avoir1 été; nOirimé é^â^ÿM^'cfans ; les î mâ-
nuscritsdnGbMttiérson. Elle Se dfetinguëï’par gts> fruifë^qui,
à leur maturité, ne renferment qn’uiîe pu déu# graines/, et
s’apprdcRenf ^è^^éfe^^port deà '&à’èlâft-din& javOc lesquelles
plusieurs auteurs l ’ont réunie. Cette -seétioO Comprend trois5"
espèces de l ’Imle : figuré par Rumpliiüs'ij '^ok 5,
p].®5t> ÿ le i§k^âiljiïëuiafa, figuré-par'R fe c d ,v o k
et lé C. ‘axiltdrés^(\m est la planche §& du même*aiateufi
D ’après ées trors plapches on vdit qüe les fruitshfeéès plantes
renferment une seule graine ^fort^géèséè^^pa^snfe^^uttachée
suéJfe cbté?;lt^ lï4à'-Iai^«''que longue- f elles ont les rameaux
et t e ‘pëfffflèscgarnis d’Éiguiîlons èrdCfrus, et leurs fleurs pa-
rffiSséht peu ïfféguliêres. LeS ffeuiMés semblent: ailées une ou
deux fois.U'véic une foliole terminale impaire'. Je n’ai- presque
aucun- doute qiié'cefrfé section dbit former un genre*très-dfe-
tiiidt et plus voisin du 'Mûrirtgd, comme Rheéçll’a indiqué,
ou du GclifM âtha ; comme lié pensoit M. diéÆàmnrek r peut-
être même intermédiaire enfrolês ©(^alpinéêàet les‘Geoffrées,
comme je Finfère de la description de Rheëd. Mais ne connaissant
pas moi-même arec précision aucune des espèces
qui le composent, je me borne à le signaler aux observateurs.
Le C^ùq^eps^Àe Rot-h ,,qui est augsLde l ’Inde, paroîtformer
une quatrième .espèçte du même groupé 5 mUis sa graine
,^gb ia^pnn^i^fûi
L a . < | f c * a è n | ^ ; ^ p ^ | i : i n o n r de parce
qu’elle ,Sp compose pmiquem ent.ddbCàÆraèiïi&mis^ -vulgai-
remepf ^n nm m é^ r^ ^ e^ ?^vEjde;vse rapproche de.la précé-
dente en ce que son fruit <n’a qu’une-griaine transversalement
oblongue ; maig cefte. graine est beaucoup plus -Comprimée,,
etla^Qussp ellermême est plane , oblongue., lingniforme ,
presque Thèmbraneusse , samaroïde et, indéhiscente'. D’arbre
;iO§t sans^iqüans ej^sei^piillessdép^^i^^lé^^aesdmpafre...
Less^ours sont disposées, en grappe t^mmale^.
Je cfinnois cette plante par un écbautillon récueiMi aux
Antilles par M. Bertero^ le synonÿjne ei-té de-Catesby ne/s’y
rapporte pas.
La troisième sèGtion est célle que je nomme S;mpp<ania,,
parce que fie Goeq&Sappan en fait la bas®-; ^c’ésfcièoRe qui da-
"’vroi t-fegurifi^senfe; le genre Coesalpmia, et q u i, ïétthieïavee
le Pf)im ixm a, femme le game (peut-être juste? dans le fond,
mais;inexact dans l ’expression^jqu’A^tnson a nommé Cam-
SapptmicL ont des gaussespolyspermesunilocu-
laires, bivalves ^déhiscentes, droites, â Yadvcs nonsnccu--
lentes. L ’espèceda plus connue est Lien figurée parGærtner.
Elle a les-graines oblongues, plus étroites que fongues , ce
qui est le contraire des deux sections fMoédèuteSv J«'- TàpH
porte ici , singulière cisp^Ge désignée
par Bottier sous le nom dé 4 L ■ éigfndj et si remarquable par
ses Actes le plus souvent à deux pistils^3°. Je &>mimûsmd&è\
qui a:les gousses- laineuses ^ 4°* 1® G. èijug&yqui acte souvent