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leur base qui foritte déüx së*^lllètte^y ôvl^eâ ,'%btus j'ïua^qués
ctè trois à citoq nërvtiïwfiîiês^e^ un peu'ramifiées : la tige
SCprolonge 3dr6ite feuilles«'primoMialëÉi|. la
distance d’environ tin pouce ylëPdëux-Jtf ëmièrës fëuilles' sont
tantôt- déeidëm eut -alternes f tantôt très - rapprochées j quelquefois
pàïfîdteinenti^pôSies'; tofij d&4?S> ^tmplemëlft iSSe'ës y
ayant de trois à sept p'aiFesdefélfofoS "Sâns- impaire? lë’Msui-
vantes sont décidément- altemcs | -êf^tlé dîlfèréni |®|§^pri-
nit)rdial(^0'qüe par' un plias 'gtand monfb're de foliolesf
’( voy. fig.
Le Coulteria rriùfflïs ressemble^Msèzi%ii^g,enrèf précédent
quant à la'germination : sés" "ootyledonscéont saftàê&^six à huiffl
lignes au-dessus dui collet, opposés*; vertslpnliaGés^mn peu
épais yo’irfes y très-mbtus |unêmenn pOTiéci^nenéssarsonamet,
»exiles et éèbancres y à deuxnpetites j «)reillettes«)btuses : ai fa
base , obliquement naryertsletoun peu emv£&es't!ên*rdeSsusf,
concaves* en »dessous. lia tige s’élève de près dcunqfouifoaayant
depottsser une premièrea feuille ; ello ést tglabre au dessous
des*cotylédons, mollement velu©mtdessus-d’eux'ples feuilles
primordiales-sdnt iailéessàittiâs pâiresî'dè folioles ppluSî%ne
quatrième presque terminale yquicdfoeuneifoliele bienSSe'te-»
loppee’ ët une autre» rudimentaire; de sorte queïdansî cet état,
elle tient presque le milieaentrela feuilfefavÉ^emsans »impaire
voy s ifrgïïi^ $
;•> - fa e P o in c ia n a -p u lc h e r r b n a & fa^raeiriépây¥tànte, un-peu
rameuse sur les côtés’ : fa tègeidroite yfeyliniipïqUey lo&gèe-de
près d^un pouce au'dessousidês^eotylëdons^ècstix^citsonit v e rts,
foliacés yopposés y ©yales-; -faèsLObtus!f' èt àhême -dnpéu ëcban-
crés au sommet, légèrettUMt e n : CèéUr à ^leur» b a se , plus
GERïÆI’NATlOBï sDESî LÉGUMINEUSES. 119
pétioles, .planes* ; mais a y a n t les bord s d é p r im é s d e m anière à
être?ooncayes enfxdessous eteionyexesjcd dessus. Les feuilles
primordiales naissent; opposées l'u n e ’ a 1 a u tr e , à h u it ou dix
lignes au;dessus de^QOtylédons yelles sont;ailé<îsà cinq paires
de foliolesïsans impaire y e t lejjpétiole est termine en soie fort
courte; : les 'suivantes soùtifalternes, deux fois; a ile esy a u n e
jpnaedcuxpinnules '( v o y . -fig. 1 i-^-plv^K^bs»*'
P a v h in s& am . a c iê em ta a une racine pivotante, qui part
$£i<collet renflé circulamementy e o n j p * e i d a n s f p f f i t
71ém a n a ;• la-tige efac grêle,^lindrique, longue; ^environ
unÿpc^cej-auutlpSsefas des cotylédons«: au; commencement de
fai germination, ellekestdléchie au s ommet, et lesocotylédons
pendansÿ le; spermodermepeeste ordinairement en terre ,
quelquefois ldsiCptylédofe.l’eippdltent comme un capuchon
(yoyirfigieu-iâ^fies'çotyiédonsKSOBt opposés:; foliacés; verts ;
un peu: épais-, joyafës/, oblongs,:'ftàiesy sessilos;; munis a- leur
hase4eitroistfoibles nervures ; ettrès- légèrement auriculés.
La> tigesse» prolonge'de quatre, à,cinq lignes: entre* les>e®tyle'-
dons. et lesiprefaières' feuilles* : celles-ci sont ordinairement
opposées, quelquefois.un peu alternes, aâees.à quatre ou cinq
pairék de - folioles, ~eti une : impaire plus modn% avortée,
quelquefois meme-le pétiole se jirolongeaurdela de fa derniere
foliole en une petite peinte; les feuilles Suivantes sont alternes,
ailéesàïsk 11 a|-
' L e iW ém m m d iis -v a ÿ c o i âuf o c c id e n ta lis a comme le,pré-
eédent »une racine pivotante et une tige droite et cylindrique ;
le collet .n’est point renflé ; la tige est couverte d’un duvet
mou, ligUeux et velouté en dessous des cotylédons : au dessus
d’eux elle est plutôt mollement hérissée de poils fins et serrés ;