
logie, avec le langage employé pour? les écailles, des bourgeons;
je donne aux bractées formées seulement par le pétiole
, le limbe on lesstipu les, les noms de bractées.
laires, fo lia ir e s on stipulàires ; et à celles qui se composent
des pétioles et des stipules, celui de bractées fulcraoées-. _
Les pédicelles des Légumineuses (et je réserve ce nom
pour leslitepports immédiats d’une fleur unique) sont souvent
articulés ou sur la branche ou sur le pédoncule immédiate-,
ment à leur base ; quelquefois l ’artieulation a lieu véçstie milieu
ou le "Sommet de leur f longueur. Les bractées, situées
aù-dessus de'cette articulation portent le nom èe:brac-
téoles. Pans plusieurs cas", -eesjpisctéoles naissent immédiatement
à la base de la fleur /.quelquefois même soudées,Jà
la base du calice ; èlïés sont toujours-latérales /.©ppôséeswet
simples : on les trouve principalement dans les-genres dont
les folioles sont accompagnées de;stipelles à leur base, et il
ne setoit pas impossible que dans l ’hypothèse de ceux, qui
considèrent une fle.ur comme le développement d'une feuille,"
on ne put trouvemune-analogie entre sles.hractéoles et4 «ssrsti-
pelles. L ’existence des bractéoles est du? reste «assez constante
ptiur qu’on l ’aiti, dans plusieurs cas y,admise parmi lesicarac-
tèrés génériques : quelques | auteurs/les mht , dans, certains
cas ; confondues avec lexalûte ^surtout eh c e c iq u ’il leur- arrive
quelquefois d’être soudées ensemble à leur,hase, et de
former ainsi une sorte d’invblùôqlie , par exemple dans le.
Brownea. Mais la distinction est très-évidente, même en les
comparant aux calices à dieux lèvres ; cardes bractéolès ont |f
danslce * cas , *des lèvres littérales , tandis que les' calices ont
des lèvres, l ’une supérieure et l ’autre.inférieure. I
H
Le calice; des Légumineuses èst presque toujours composé
de cinq1- sépales soudés par la base W plus ou moins libres
par le sommet : la partie soudée- porte lê nom de t14.be^ la
partie libre celui ou de dents. Les grandes différences
qui fSe remarquent d’un genre à l ’autre tiennent à
l ’égalité ou à l ’inégalité destéépalèS, à leur mode d’estivation,
et Surtout au degré dé > leur cdhérenéOa h
• Lorsque'les cinq sépales sont égaux et semblables , ce Iqui
n’a lieu que’ dans le s 1 Miniosées -, ils forment alorstfun calice
régulier ; ils sont tous soUâés; ènSemblej usqu’au même point,
disposés sur un'seul rang/et-en estivation valvaire. On trouve-
dans ce groupe quelques exemples de calices réguliers à quatrè
sépales'au lieu de cinq.
On retrouve1 Cette disposition à h’estivsition valvaire ^quoique
d’une manière moins apparente .etmoins régulière, dans
lës’icaMees'fà sépales Inégaux des Papilionâeées / et' ^est un
des points' de vüe sowflesquels ce 'groupe s’approche des Mi-
môséis plüs qu’on ne l ’avoit cru. ®ans; ce sous-ordre;|des Pa-
pilionacées^îes^épales^sont plus1 ou moinsfcsoudés
base -présentent alors sous deux formes générales *
pP. Tantôt lps; sépales soude's à peü près ;egaiemë'nt entre eux
offrent un tube en cloche ou emcèj&e redvé|feé,et cinq lobes
distincts, à peu prè&'égaüx entre eux, tantôt très-longs, tantôt
très-courts ||ètalors-on les appelle dents : quelquefois, comme
dans le Dum asia, Msôudure des sépales vajUsquês au sommet
, et on dit alors^quMenalièé’éSt tronqué :lees divers genres
de 'calicès %’approchèüt d’être -réguliers, mais ne le sont jamais
complètement. On r^/éési’gûk èn"général sous le nom
de calices 5- fidesoü à cinq de'ntsV^®. On désigne sous le