
puis me résoudre à l ’^ réumr j j e suis d’ai l le ursi engagé, à le
placet parmi des* Ge'iaislées ^ et près <{ek4R©èinia, ■ soit] parce
que'lai plupart des* éspèeés *n’ont ïqu’une loge^ét -que dans
celles qui en dût plusieurs, la riatûre*Du paêmed’èxiëtencè des
cloisons qui les ^ p a ren t n’est^pas .encore ^enseelaircie.,
cojnmê on pourraùs%r confeaincfe;f. en comparant les descriptions
de. Jacqu&n et-dejjGærtner&aè
Uousi|pi8 i^S^ékMont uir calice en dtaeW a. cinq dents
une corolle pupifrénacéa^ des. étamines.raonadelph.es ou dia-
delphes, la-gousse stipitée, .compriinée^ prbfengée-en aile
naranbraneùse^ La plupart sont des ; arbrisseaux, grinxpâns ,5
téàa ont des ifeuilles ailées =avec imp£dre/àila|dQlés;de'pour-
vnesde stipelles.
.sîdlLnSersëom a proposé dé divisée deux
genres ; dfcspetfés opinion > adoptée par/qnelqües naturalistes
de premier ordre sera peut-être un ÿjdur .défioitive-inifnt
adoptée, lorsque les espèces seront mieux connues,, etfe/caractères
mieux cirtonscrits. Dans l ’état .actuel deill^seimép,,
j ’ai préféré laisser toutes eea plantes réun ig^ ^is',un seul
genre ', e t divisBr 'celufcci en.trois, sections dontiifes^e^grë-
ifrières cèr»esf>Qta(kht-au Més^®liàtdè Persoon, et la troisième
hses Machoerium. n
ÉÉÊ|I première se c tion ce lle des .vcaisbd^^fe^sse^reconT
noitàlee/qtie;son>eakcé çs t taû à sajbase;(ie!fe*n»n mùniJdésdéilâft
bractées^qs terminé par cinq dents étroites ©L aiguësuj -à sa
carène, donties/pétales sontintièrement 3Sond©s4jàsses: eta-
mines monadëlpkesjaireèîïann fissuré duirnté .supérieurt enfin
à son fruit qui ^selohslâcqnin , n’a qu’nUeilo^ frenferniant
une graine et? quelques ovules avortés , et selon .Gærtner .j à
plusieursiarticle^^0î^liperûi|f?fs:^ | ’aj^b.i: pas /vu .le. fruit des
e^ffcès de cette section, jfrj ne puis rien affirme» surs c® dernier
tçara^rgj, lè^pfe;im|\ortanfcdedous:'Les fleurs des vrais
ü^^^i^ylîiaissent en faisceaux à l ’aisselle des fouillés1! où
qa^p^fpié^ces faisceaux, par leur rappipcfrèinent, forment
une-'grappe 'termmde.‘ :!B’#stJ/i6Ffqu;’apjfeirtient 1 fr u ti-
WOT'de daeduin ,^;et7dënxr.éspècêswmiuvell'es,'' leyJ^.'ihirpuba
et dont j ’ai jtarlel dans dp' P^oAramus « s
’r >dUai'dëuxièmq|seofion, que j e nomme *€kômezkBm 1prur'rajis
peler! eélui de duap^Gomeiff, «s'OuS lèqtfeLla graine>de Fune-dei
espècesfestéeonuuerà Garthagènei Gettesectipn a , comme la
préoffqtonte», le calice nu à. sa base ,ndt'comme la-suivanteqde
fruit ^ fo n e seule graine, ï s à n ï. p^^^présdn®é^att@S' Ovules
javoftésvj <au moins d’après Jacquin. IMLé se distingqefîencore
d©s$arnaæsâ#se«$,o& !, h É p ar son caMce.fà lobés obtus 5/2 p; par
sa; carène dont lés pétales ne sont; soudés qu’au ^omm;et;;âlt par
sesi'étamines-, diadelpbés. <Ellè"se compose de petits «arbres
droits1 et nulieiteent'grimpansi lleirapporfe ici le sMs4ùrj>or“èa
de Jacquin j et 1 ©'g|Êhglcûhruta• que M. Link dit^voisin du
■ p'réeédentt^Gette section, comparée à la première, a trop dé
différences dans les caractères] pty comparée à la deuxième,
trop ïi|gr .ressemblances dans lé pûrtugeur que j ?aie pu admettre
la séparation àes M'aèhoermtfi autrement que comme
sè’otion.'
Lafroisième sectnïffiycelle des Maehcerium ,:se distingue
essentiellement àr son calice, muni -extérieurement de deux
beactéoles; concavês1 et obtuses î‘pcè calice es "cinq lobes â û
rendis comme dans le Gom^gium; elledM ressemble encore
par carène à pétales presfqiiè .libres $ ét surtout !par son fruit