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laire à ^M ir ^ e lia , sqit à cause desyétamines légèrement
soudées-,de Quelques Sopkora. Ainsi des* À lffî^U is (le la
section AesÂ&ornicines, les Medwiis® <Ye Jaiséètion dès H$-
m enm arpei, e t surtout la-^première sectionnes ,
semblent, par l$$r fruitv oloisonné oU artiçii^p'..en t|a ^ ç s-j
s’approcher' des Hédysarjéestandis gp^evlies Hédysaréçs ^uniloculaires
pourroient être cbnfohdueg- a^Sc- les Lotées. Je ne
prétends nullement nier Qbjectiori5s ^ ëtq e .me**bornerarà
faire o b se rv e ra i0. qu’elleane.soMgpas .propres à mon tra v a il,
mais qu’elles" atteignent également toutes les1 méthodes* proposées
sur le*sXégumn^usesV.a°. q u e d à n s c e 'p^fen; nombre
de cas, le port ejst^tellement conforme àffa marche adoptée
que tout le.mpùdé re co n n o îl^ ^ ^ â ^ p tï'© ft^ a i’opp0 siltion>aux
earaetèresjes plus précis.*
Cette tribu d e s^L b ï^ èst trOp^vasfé * jo* lei-sâfe^très-bien-5
mais je n ’ai su trouver aucune moyen pour h / sep â ^ ÿ en plu^
sieurs, sans rompre des affinités très-naturei*lesJs i ^ |m ’eh'l?ap-
portois seulement aux 'caractères1* ou sait» établir des groupes
dépourvus de tout caractère classique - Si j ef me laissois1 guider
par le port. |
Adanson, qüi a pris-ie-premier dè^êe’s deux partis',,,asj&sé-
paré cette tribu en deux, savoir : lëà^GénrstéeS', qui ont-le
fruit jmiloculairë,; et le's Astf avalées y qui l’ont biloculaire.
Cette division .est admissible comme •éôüpe artificielle’; m a isv
si on veut la Aronsidérer comme’idivi^ori n atu re lle ^ e llc ne
peT^Sé^sbuténir sffifs joinÆMaüx qüatre, genrès, à fruit réellement
biloculair’è , ^Bià'éfhula G'iXMëhh'tëedtia e t
C ^ )% /^ ^ ^ j les genrëS^ÉQÆ la 'Suture,supérieüre est un peu
renflée en dedans, et ^ o n t M ^éW%M'telleineht semblable
p i^ Q T È t# ' • M
au^pB&édens, qu’on lë§la fréquemmem#iq|iifondus : tels sont
-Üe^geme-, V h k j t a i ,, (^M&p^qui en ont été séparés.
Mais si' l ’omréunif ^ênr^s^Æâ fruit uni!©-,
©ulaire s’arrêtera-t-on HWp^,enE¥oml^n\ est si voisin
paBrligrfruit à^GoitZûëât :e% àd}Spffi0mphyisâ*Ÿ, e u fera-t'^îl
parÿie PrhÉ0 ^K à ^'d h (ff^\e ont-ils la suture srt-’
périeipte.qssez -renflée m ôurjy mérit<|^àâq place ? J ’ai tenté
division sous une multitude def fondés , parce qité-j&
seussqiiiojilsiia» <[uqtq^fq^poi^^['e’itréël ; mais fprasr je l’ai étu-
^ffi^e,VpHis jijjabsentiîles1 difficulfé*qu’elle présétitè, et j ’ai dû
ïfâban^piMter J "
-M.*d ejJbssigjU^ÎI*réparti toutls'Mës ‘iîotées dans ses’ divi-'
;,si>©ps; ^ e t^^I ,Vdistingpéesftùniquément par les feuilles sïm-
gmés ou »teJfîiéés -*4 ans la cinquième^^ailëes a%éé>impaire dans
itëfayixiàjmle ;imal-s i>et:te division-ne peut- être admise , parce
qu’elle rompt, trop ^»j^pports-* .et qu’elle eSfilèéntrajfe à,la
n&ture réelle ^ S la plupart de.-cls* feuilles J Ainsi lajsection V
^présente des feuilles (ailéesWec impaire^dan’s'une sfectioû des
mQ.7CMw,7'&h 1 aimoitié,-des tous les-D âleà, tous les
, une partie des Bàoral^a;Spte^l etc. ; et l’on
ttpjyvesau- Contraire des -feuilles-simples ou palmées parmi lès
TJêph^'osidl&ïAesùdndismfëra qui appartiéndroient à la cinquième
seGtion.
;..p33’autres ont proposé, ûrie division déterminée d’après les
étamines monadélphes ? ©iji diadelphes-| 'mais ilsy a trop de
genres -évidemment voisins qui offrent ces deux structures
pour.y, mettre- de l’importance : ainsi le P riestleyamt’l’A -
' GhÇyr-onia-, - qui -sont^diadèlphes , touchent le B 'ofbonia et
Y A sp a la th u s, qui sontgmonadelphes. Ainsi les Ononis, les
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