
porte sitrles deux cotes, des espècès^de, crochets qui-sont refus
dans desnavités analôgufe^ades aile's. Lorsque la ffeq-raison
s’exécute , les ailes s’écartent un peu, et' alprs;dfe.s-cr®éLetsJS;p
dégagent,, et la carèapdk^eiiant libre ,38? déjtètbe^entf arrière
avetè-ëlastiçâté : cette secoûsse paroît déterminer la-sortie-du
pollens Jiignore si efette organisation,eit rtellement commune
toptesdes espèces, -mais elle est frappante dans plusieurs.
- Le fru itées ïndigotiers^sbune gousSé a 'dèpiX
tó^pfcl^n gé es et courbées dé manière- la «gousse
cylindrique ^-tantôt allongées^ pliées sur le milieu de
leur longueur, ce qui forme une ^goiussowpresq-ue tétragone,
. tantôt planes ^ et alors là «gôussè^és^fees-eomprimée ^"quelquefois
^courtes et convexes^édjkùifésulte mniéçjtousse ovoïde
ou globuleuse. M. Desvaux a voulu séparer $Iï%^i^0ÊWsèus
Éè nom génériqué de , à cause de sagousse
arrondie et monosperme j maâp jflfee^puismè ran-ger-'M'^pn
opinion, soit à cause de lexlrême analogie de-cetlé osptVe
avec tous les Indigotiers à^feniJles s im p le, soit parce que"
cette unité de graines n’est probablement due qu’|3a-vorte-
ment d’un- ovule, et qu’epi- retrouve des gousses à deux
graines.; dans les I.. dùpérïk®?,
triju g a s^ u^ h râ , etc. ; à un e , deux ouïtrois^dans Y ItMiver-
sifelia.ÿh.jàexi'x. , trois ou quatre dans Ydrig&wtgiai$& Dom in-
gejb^is , Y (StMgpsperma, le Sà^èg-aJ^nsis^ V|£(gs^ *,à^qùatre
g ra in s dans , le sessilifo lia $*le tetrasperma, eic. j et ainsi
jusques >à di|^ ou douze met même a u -d e là o n trouverons,
lésmombres' de- graines. Lorsque celles-ci sont'1 nombreuses ,
elles sont, le plus souvent, tronquées aux deux extrémités,
et souvent séparées, par des cloisons transversales , minces
peu appafièÊÉes. Cel^graiÉe^sontrtblajours moins comprimées
que ■
3°. Les poils deifcLdigotierSSsé&^qiliiMes-faire1 recotinoître
i« è ê 4niïeJ grande IHuité : la plupart ^de#*^ëües-dëqe genre
ÉÉjt’ fejè'^©ils?‘en fâæfte' ûavette^ëffegVà-dir'ei cprichés horizon-
-^ÿëtplên^sur^^iderkye ^atfelêfeésr|'î®^le I centre H et pointus
au^dèiffeboute^^^ retrouve deS; ptjîl's semblables dans qüel-
1 q j e | d ’Â^ragalét^mais leut^présekce eîsfe plus ‘fré-
qüéfiteet plus^dffstâkW>danSTfeIndigo%ier^^è*diàns aucun
|^li^ê^nrîë|a'S^S'cependan^|||ls lWJsôifent exclusifs. Il'est
^pfeïM^ifêïi^èS^o'M'^^*trdu#/ëMes-poils de deux sottes ] sa-
riavette , -cîou^^sur les/'rameaux, les
. feuilles^NP^i^dalieë^^fd’autres^hérisSés, simples! et en
Mmè '^^ ^P^entren îêlé s 4 vec |êsieprfemiëEs ,* ou occupant
.^ ^ l 'a 1l§urîae#d^'certàih^ organes- : tel estmeu particulier,
^M h efë/M fieW æ f qu'ë&M. Burchell'a trouvé. nm|Cap de
#onnê^%p^ÿfè?;rye t YïÂÙÙ2 0 t©fâ rapporté dû Sénégal par
• -M-: Bâclé-? tellf sfeteneore les' I . '>Mkp"àhà^m^um€in^-poly.-'
Wpfy$M] filifo ffh ïs^m & . ; mais .dans toubês-ceS» espèces on
f’yttfôuvê' dJesr,poils en fâtiS^'iÿébvuireau moins sur slâisùrface
supérieure- des feuilles. DefbûteMép&Sgécès que j ’ai obser-
5fiesV il n’y a qvÈe^I.jdWcféa qui.au moins à l ’état de culture,
offre des‘feuilles parfaitement -glabresffet-sans aucun poil en
fausse navette. É^caraci||réVque-31. Runth/’a fait remarquer
plus qu’on n e l’avoit faitâVantlui , m’avoit d ^ i servi depuis
long-temps^rapporténikûgenreIndigdtié#Ljrfifia5^zi%Wj//z-
Linné ^ et l ’analysède sa fleur àconfirmé ce rapprochement.
Le Loturcdopeeüïèêêbs d e î^ L . Burmann appartient
âû lâ^ 'Cëgenre'. Les Indigotiers- sont pieût-étre' le seul genre
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