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n 4 ; H”. MÉM-OillB»
caractères : i° Ses deux feuilles , primordiales y bien jq^’opposées
, naissent à quelque distance au-dessus deSiCotyléjdons ;-
2? ses cotylédons sonts épais, Qvalesfat$achésFà?ia]i tige,-près-
que par le centreiiet pourraient être appeléS'peltés : jfc’
crois, plus exact de les comparer à cenxf^e l ’TngfflïSançcm i et
de dire qu’ils sont fortement éeüancrésîà leur base-, ayant les
deux oreillettes prolongées'et: soudées ensemble^ Au,<reste.}
toutes les feuiHeSpeltées doivent être.considérées deda-même
manière (voy. fig./iod).
.g» \i Acacia Bançrbftiajm, -r) espgOè'îeneorfô; mal, connue
quant à sa fructification, et que.j’ai baissée à la suite, du genre
sans déterminer sa place, présente) aussi »une rgèrrninatian
différente des i précédentes^ Comme 1’.^. Farnesiana, dp
collet y offre • un rebord circulaire > très-proéminente La tine
est' cylindrique , droite , longue d’uriopoCiûCî: environ au-
dessous des cotylédons. Cotfecidnt UBtpé;fiolç^»pei;nè visibley
ils sont étalés, foliacés, arrondis, unm m M M fa base,
planes» et munis de cinq nervures presque: palmées. La tige
s’allonge au-dessus des cotylédons , et porte des feüiilespri-
mordiales, alternes, pétiolées, simplement ailées^ljj pétiole
terminé en » soie, et,, chargée d’ une I seule paire de foliolos
opposées; celles-ci sont très-inégales-.à leur base et bordées de
. quelques cils épineux. Cette germination â plus de rapport
avec celle du Cer&toniay qu’avec les autres Mimosées.
9*> Tmuu. GEâFFRÉES:
De tous les genres de la famille des Légumineuses, le plus
difficile à bien placer est peut-être X Araehis ; j e* l’ai mis dans
la: tribu des @eo|feées*à cause de son embryon droit et huileux
, et de*§es* étamines soudées : peut-être trouvera-t-on que
sa: germination “comparée à celle du Moringa confirme ce
rapprôcbement.:;.::
hy^0 æ(i «offre une racine garnie de fibrilles
latérales,;et noînbtëuses ,:*sa tîge est unpeu courbée à sa base,
puis drespédl cîflindriquefépaisse*, longue de huit à dix lignes
jk ^ d ’aux c^fylédons. Geux-.ci ont un pétiole long, un peu
jijn fe, demi-embrassant ,# ï :lèsdeux bases semblent un peu
soudées ensemble.^ <|és> cotylédons Sont étalés un peu apdes^:
mis dë>lterre^éjjais*; dharnUs, décadrés , nullement verts,
clïarg^dê'sdébrisdu spermoderme : l fH ^ s!ëlève droite ,
et porte,à. quelques lignes audésSus-des cotylédons deux
feuilles primordiales presque oppeftées ; et déjà semblables à
céWesde 1’àge àdulte /munies de longuesstipules, simplement
ailées àdeu^ paires de3, folioles' tiês-rapprocbées, et à pétiole
dépourtü do soi!e«: et de vrilles. A' l’aisselle des deux coty-
létiori&'$oti-voitde jeunfes* rameaux se développer ^yoy. fig.
sji’ai âussi obsepvé la germination du J^oandzeia, dont la
gradué m’a été envoyée» seits‘le nom ài Araehis comme venant
de Madagascar,'et qniê j ’ai*èù effet au premier coup d’oeil
prise pour“ XAraehisordinaire ; die en est'bien certainement
distincte ,^inais elle appartient au même groupe.- Ses cotylédons
sont 'aussi épais-et charnus.: ils naissent à fleur de terre
et même un .peu enterrés, à moitié enfermés dans le spermo-
dercUe; la tige ést droite , très-courte jusqu’à l’origine des
feuille# primordiales ; cè'lles-ei sont opposées, munies de longs
pétioles, composéesde trois folioles qui naissent ensemble du