
Cassiées, parce qu’elles ’ ont dix étamines. Le. jeune ovaire
est hérissé. Le fruit, qui- est conservédans les gâteries de
Botanique du Muséum, est un drupe globuleux de là grandeur
d’une grosse pêche $• sa peau est dure, et la consistance
de la chaire est farineuse : 'ce drupe ne renferme qu’un seul
noyau. Geluteéf, dont je possède un é chantillonest comprimé,
orbiculaire, très-dur, fisse le long des sutures qui
sont fort épaisses , réticulé et garni de fibrilles sue les deux
valves, assez semblable quant à la structure auxyaoyaux de
Bêché*0u d’Amandë, mais plua comprimé.» demoyau ùoebn-
tîent qu’une seule graine, grande , lisse, un peu noirâtre à
l’extérieur, dépourvue d’albumen-’ pd’embry on est droit ; les
eetylédonsépais, transversalement' oval esà radicule courte
et à* jduÉaule ovoïdepH
Le Gmndfla estmoins Bien eosinu. J ’ai voedates l ’briibi«
du Muséum ?de Paris: l'échantillon m ême de Loutreiroi Le
calice est presque en fourne de Poire avant lât fleuraison p et
se*rompts en quatre? lobes aigus. Les étaminessonfcawmomBue
de trente à trente-cinq,, comme dans lés Rosaeéfcs. Le fruit
est, selbn Loureirofuné gousse charnuè#sixffpuinésï Llærfere
a tout* lé pout des LëgùMnensesf e t s ^ i^ n ^ jointf aw pn#
cèdent, fermente passage stenaturef vers l^;R«sâlées:que je
ne sais plus comment ces deux familles peuvent ;se distinguer
avec quelque précision;
5* genre - PEBALTEA,
M. Kuntte ntétahli deux genres composés l ’un et; l ’autre
des plante&dn Mexique, Mun snusle nom.de Beraitèm^M autre
sous celui de Mr&ngniuftm. Ges. deu# genresne ressemblent
absolument pour' Ï& port et pour la masse des- caràotgres»* Qn
ne trouve, en comparant les excellentes descriptions qu il en
a donnée», que trois différences.,. savoir - *3* 1 ovaire sessite
dans le B&rabteOi,: et stipiié dans ite BrQ^gmaMm^ 2?. le
tawm plane dans te P em ltea en » petit tube
annulaire dans. 1e Brongwi&rtmjîp d la-gousse bordée d’une
aile membraneuse à la suture supérieure dans te Benc&te^, et
nOn bordéfâdans 1e Bmongrmwtim d
J-avoue «pie. quelque soit» ma confiance habituelle dans, le
Botaniste auteur de oesideux genres j ’ai quelque peine à me
résoudre à tes séparerid-’apuès des earacjtèléisyégersv Quant
au premier, lui-même nous- apprend ques la gousse de, son
Pbra%epi'et& stipitée ,.et; parconséquept, si l ’ovaire paroîït
ses^fe, c’est seulement que Le stipe y pstlcourt..IJè plus* une
nouvelle espèce de ^^en®e ,tq»ate je décrirai plus tard-,?a 1-oh
vSïre porté sur un ÿéd&eit© distincte Quant
au dtenxïème , si on vouloit l’introduire dtns lfe& carach
tè r e s génériques dést Légumineuses, il faudrait r,ompr,e pres-
queftotes tes g e « ^ t e s plus* natiiisels, ;ean jernonnoi® peoe de
groupesmtetes espèces ne different entre elfes-par cette- proe-
inineteèe pîfcs ou moins« visible; «bu tonus autour du pédieelfii
de F ovaire: 11 reste1 dune uniquement la gpusaebordéedans
hi P em ltea , et non dansle Brongniartia. Mais je possédé
uneëspèeéqui ressemble absolumentau Beraltea,-, mais don©
le fruit , vu 11 est* vrai dbns sa jeunesse, est stipitévofo non.
bordé comme t e e o n a a a i s s a < n t -panier fruit à*
sa maturité i jo n’*@se enoowaffirmerque tendetex genres dote
vent être-réunis>5 mais je » 'd ou te pas qn’on?né se« voiedoroé