
qu’un pétiole allongé, foliacé/ dépourvu* de.folioles et ayûnt
l ’apparence d’une feuille simple :ê%:entiè¥e Ponsait cfi# le
L.ffflèssMia conserve cette manièrèd’êtrfe.%)üte'^sd vlë/ les
autres finissent par
état adnltë /ivôyî ' fig.48 x/u $ *\
3°. Enfin le L . aphac'a offre lèü deux ^feuilles primordiMeà
très-petites, l ’inférieure réédite ^ la base dbnpétiole étroite
et aiguë.,« la supérieure offrant oufre'cétfèVBaSefpétiolairért'ës
rudimens des deux Stipules latérales. La*troisîëme*1féu'ïïlb jfltë-
sente deux ^ stipules gtiun pétiolé plus 'longi^Peïï^^portârit
lÉ&e paire .de petites folioles'; la quâtçièmev'UffTëf*oi#ère^la
înême organisation ; mais d ès‘r la- cinquièmPl^fêt'pour tout le
reste.de la vie de-béplante, onjne trouve plus quêdesMiptiles
qûi deviennent alors grandes: et-£oha©ée&.^etde^pëtM*è' dé-
pourvh :dè folioles*, et prolongéEquCoie ,lojklV<Éisu<ke en vrille
simple fvoy. fig. ,8a1).
Les Orobes ont a^rSsi les* cotylédons^ souterrains at enfermés
dans le spermodermûrip
M 5e- Tribu.-- PHASEOLÉE&r $
Les Phaséolées, dont j ’ai vu vingt espèces, sont au nombre
des plantes dônt j ’a rle plus suivi la germination; maisM*pai
observé un assez grand nombre d ’espèces dans læsRentes Pha-
seôlus. et D o fe^ 'd^ je n’ai pu malh«ureusemêut en observer
de genres différens autant qu’il eût été utile de le faire :
leur caractère général est d’avoir le$ cotylédons charnus ,
dépourvus de stomates, et les feuilles primordiales opposées.
Le G lycin e tomentosa, a* les* cotylédons souterrains-, les
feuiües^triaiqrdialu^gpflj^tegrnpétiQlAs'.. en forme dêféteur ;
les suivant,e^jdterpe^.ubp:,trois rfplioj^s.^ |
, , que j&ai détaché des,* G'^ega , à
cause de^spp. ealiafiyâjjadfi^ g i^ ^ ^ me. p^r^b;pliis, voisin des
$fL\b «ip[>arteuir^kx Pha^çiëçs ; mais n’ay anf-obsèr vé
^,.g#;r®in^itip.p qx^up^seule fjois et sans^ser arracher lajeuiie
plante., iljrpf^^ e. quelque doute ^ k ^ e^jrd. Je^soupçonne
qu’i l ajlv^^tylédojx^pl^rrain^sutige^e.'p^rté d’ié^x féuilles
primordi^I^ppi^sppîj^^^^è^^u^ples,* ovalesi'/élhancrées'
à la b a s ^ , , tsomme^ 4Mn(l.Sêl9^W n e^ u rç f pal-
mjée^ L§s sont ^teunç//pétioÿéés^ folioles
oMojaffufs„ pptiolulées^^^i. |fig . j 6Ê$0
.• Parmi ;les;lIaricot% j ’ai .observé
fief. .8 L ù ^ .pbp
sieurs autresV^pè^es^j^y^dtéa^mal idéte^Tni né^dffnn s ont
pour car|Mères comMuns = i °. que la partie de la tige,'situéeau
l^ f^us^Woo^^ q^ ç'èst longpig,Cylindrique',vet saillanté
hprside t§frçi;i^o qtuç d e^'ççttylbdop^suïïi; éjiSa^ ,C charnus ,
ova|e^.ou 'phlongs',.planedîéajfdessus |S^t^gxes.en dessouifeL
blanchâtreSïOu à? peinea^p peu vjçrdâtres^ s e llé s ou muni.g
d’un pé^ple à .peine visible ;^ ° . que la tige- se^p/ofonge au
dessus-des cotylédons, d’nne longueur.notahle, de deu/Çu
trois lignes dans lç, veævMéius, mais qui dçpi^e souvent
,x%n pouce dans le Bkricot commun ; q.uè l^s Veuilles primordiales
s-sont opposes,vpébolées, trônqtfées ou ëçhancrées
•en ceeurîà leur base ,.>a|^aminées à Jeun sommet nervures
.pqpnéqs^Layairyi leur base , outre la c$fte du milieu, deux
nervures latéjqde^it,j< rameuses du côté'‘extérieur qu’il se
trouve une stipule enfrë chacune de Ces deux feuilles pri-
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