
lés et assez grands. La tige au-dessus^eux est un peu anguleuse
, pubesoente, chargée de £eüilles.alternè&,-distantes de
trois lignes environ, simples, ovàlesy pennincrves, dentelées
en scie à dents rares et saillantes-, à nervures pennées,
à pétiole très-court dans la Quille inférieure ,iUn peu plus
long dans la deuxième, plus encore dans la troisième ; la quatrième
commence à avoir:* trois- foli oies*. TGette germi nation
démontre jusqu’à l ’évideneeque ce genre ne peut appartenir
aux Phaséolée's ( pi. 7 ,,
Les In d ig q fe ra dont j ’ai .observé six espèces ,*'^et que la
nature de leurs poils ( en fâussè navette*) fait rfeconnoafre sous
toutes leurs formes, offrent quelques différences entre * eux
dans leur germination; tous ont le» feuilles séminales portées
sur une tige filiforme, courte , glabre, munies d’un pé-
tiole très-court} leur forme est ovale ou un peu oblooguë1,
leur surface glabre. TôuS< ont la tige allongée et les feuHfês
naissant à une distance notable deseôtyJédons.; mais le'Snns,
tels qùeiesJT.liirïïtttQr, tin c to tm , ca ro lin ia n a ,p u rp u ra scen s,
ont ces feuilles primordiales opposées , pétiole'es , simples ,
et la troisième commence à , êtres ‘altémeÿ à 1 trois- folioles
£-v<oy. fig. 2s5) 5 mais dans. Y ln dig& fera ^ n c te le s ’premières
feuilles sont alternes, tantôt à un seul limbe obové j, quelquefois
ayant une foüole latérale , et une autre quisemhle'fbrmée
de deux soudées; la deuxième rf^i|fe^ësf déjà à ‘trois folioles
( pl. 8 , fig. 2^).- ,
Le G ly cin e clande&tinç^z. des cotylédons à fleur de terre ,
elliptiques , un peu oboles, étalés. ÿimunis d’une nervure
longitudinale*|l^n peu épais , mais vertscomme dans les GU+-
-to r ia ; les feuilles primordiales naissent immédiatement au-
9 *
près d’eux, opposéese%croisées, à.aniglte droit, portées sur
de longs pétioles, lesquels sont terminés par un limbe ovale.
La %®isième fèuille>est alterne $ écartée dès primordiales et à
trois foKflfs partant du sommet du-p étiolÉ^^oy. figsStif).
Les autres^lyGÎnés'ïqùe j ’ai^éfesdisré'es sont trop douteuses,
quant, à leur nomenclaturerpour oser les-ektër ici. Leur ’éa-
^aetèâgejitgpnériab' est d’avoir l'es;- cotylédons plus ou moins
épais ie tfl^s feuilles primordiales -opposées. 1
(?/fâ&rfi’Tza ressemblent |$u? leur modeàié dévelop-
pemënt àiCe^te dernière espèeèJ.oLemsAèotylédfÉnsisentovales,
planes et pétiolés : la premiffttèîfJu ille naitsàîquêlques lignes
au^dfssus' desLeu-illes séminales, pétiplée^rnunie' de deux sti-
pjales^'.ef;î%»|emée.par un limbe terminal simple, arrondi', "dt '
penninerve. La secondes feuille; est déjà! à1 trois -foliole^. Les
jpa^actèrë&soni communs aux!* QdyfêjrtrMz a^p&tiêé
( pb - §^jflg.; âo èf. 3
--,, dont j ’àlï'obsérVé trois
tea,\<i Vddginiema, et uneîtroisièmé appélëe LÀfi&èoîÊM flans
•lesÿardins, et qui »jpssemble beaucoup aui!'T^ifÿvtêiàMc^, ont
chutes une tige|droi^è.^Mliongée, des ci^lëdoûs elliptiques,
obtu^ portés.,sur utn court pétiole; verts, foliacés*,-un peu
épais. Les feuilles primordiaies^hé écartées- des^feotylédons,
opposées, simples,-tantotjMales, tantôt écbancrées en^éëeur à
leunbase.IQes dern-i^^sf qaii ontieéno'fylédbns-plus cbarnuif,
s’approchent beaucoup - desÆbaséolé#8E(:pl^9, rfig. 33&kÆ),
he^aleg^' a les cotylédons foliacés, oblongs,
obtus, ro'iffiécis à la base-,,étalés à fléur de terre. La première
feuille naît immédiatement âu-dessd® désootylëdôns , pétiêlëé,
simple, obovée, entières obtuse;, penninerve, munie de deux
mm