
hiemOoc^trùpzé? pa'rmfe 1 es^quel ai^ob serve'-' L O- rrwnjteirm
et l’O. ^^^^orf^^GSôtÿledons waâe^oWtengs:, bbtüs|fo-
ld^çés ,^pFéw|i^e «ésàMés,. situés’pr,ès*d>u collet-.Æes feuilles' pri-
mordialesdfternésypetioMèsç à'tpoisfotidles. ïkifind&mmense.
genre'<le$^s£ragâèes-]' dont j ’ai observée dix-neuf Espèces
planchent , fig." 5”ô ^Â^âppaîtenan-f àd*a plppÂldes
sec'tififi^aÂicelleM^ÉrSi^^s^èth'esj^;pffre en^génééai des
^aylédous llb'Macés y^ifMés^â fletir1 dèM'ë»è^fetàlds[ps%ssiles,
dvales-tibTöngs, un peu Murbéssen faux, e'Esoiavent lqgèsemént
soudés'par leuiîbasè. Les fbuîlles^prim'brdiales sbnfMllernjp.,
t^es-fa^pVofcb^es etmaissen-t immddiatetuentÂu-dessusfilÉ^eo-
tylédôtfs'ftouj ours ÈfpndéS d’uti loxlg:vpfébjnte, termi^ par
«frie folible oAn^m^fuatre
pairies de foliole^ latéraletsf#n ne-compte- qjà^tt^pa%'e*§€Wtiïe
la | terminal^ïb^ri-èis foliotes
^ t& fH & fo ^ M o p è e iW Ô id m , (Wbà/mÿëhis$kto; Souvent' la
deuxieme n’a encore qfc trbis foboles, maistalôrs l ’impaire est
souvent écart^^btablement^ies^âfen^îtettëralés', par exemple
dan« les A . AiMfeti^llhpremière
fëiîïll'é #cîftq foliblfs^ deux paires oütrela"terminale?,; comme
dans’ les ci^. fctoriOosW ^ l i r r t ê s t f^ ^ i^ ^ m n is , ëtmlor^la
Sêbondéa ordinairement unepafrèdeiplt#, ’dt %ktsi de-*strfter
jusqtPà à0 que le nonfb^propre M ?^pècè'»sôi#âtteint : c’est
de qii’oAvôïft'dans la figuré de YJk^eçameas.^ ’
3e. qm è: HÉDYSARÉM*
Les ‘Hédvsawées, ;donjt j ’ai observé la g e rmination, sonfcau
nombre de tren te - sept espèéëS app arten an t à quinze genres
difïérens. Toutes'dnt des cbtÿlédons foliacés, sortant de terre
à ^Époque de leurdévèloppCment j la plupart s’élèvent peu au-
déssûs du sol, vu que la partie dédia»tige qui est au dessous
d’eux »^t> gé’néralëmentiassezwourter » Ils' sont» de forme rare-
mèri#nnéairë, ordinairement blibnglÉV %vafô ou arrondie,
obtus à leur sommet, jamais^ëobancré^îni au soiamet ni à la
basé . » -■
Épfi^^“Mt^#â' deux Jcotylédotts’oblongs un peu épais , qui
naissentitrès-pïès deïtérre. Litige sîelève droite et rameuse }
leéèfeuilles primordikles sont altèrnes ,' simples, munies à leur
ba^se^dfe^ëmixè'petrtës stipules un peu épineuses..
L ’Jà»fysibd^)>ü^%Àont j ’ai observé Yoibi&p^mfùlius en ger-
'minafibnv nstlt^^ê«»mè^ri‘sé par sb/tige rcourte et ses
eot^IéâéW^ovales itrès-obbus, munis d’uiî taes-eourt pétiolêy
ét marqués ds’mdrëf'-enur.t pétiole à»'sa,base*} *à%& surtout par
ses#fmîË)IèS'prim,ordïalfes simples-3?,ôp'pbsées’/??à nervures pen-
dnësïplle 'forme»ovale ; "portées sur un court pétiole ,|croisées
à angle droit àljffe'fc l'e^Gtt^Védons,,vet j nàisssa\it immédiatement
aUSÉè^u^ ?d’éüx ydes .féuill!esKsui^anstes;sIont plus allongée^
L ’opposition' d’ësdéùilles.primordialesbEapproehjgdelgenre des
‘MkWMbdiiîm, mais i^eù diffère quant à la. germination par
leur rapprochement immédiat dés èojtÿlédons (ivoy .* fîg. 5^) J
Ëe^^fe^î^oz^Mÿ^^leUrs (dtyléddn'S&inéaires, presque de-
mi‘-cylindri^ïiifèsfsa4i;v^i^.calleux à l’extrémité, sains nervures
sèUsibleg^ et fort aM$k||és?: ils tendent àmtre un peu.engaînans
par leuftfase. LesCeâMilfeltprimordiales s^dt simples, alternes,
^èS-rapprochées, rétrécies en pétiole^ et penninerves.:! Le
sperrq.oderme reste&pi^îstant àB|forme de eône, tantôt aü
bout d’un deslèotylédons y» tantôt enfilé vers leur milieu. Je su