
tance notable des cotylédons, mais tantôt opposées, tantôt
alwnésL(pl. 4 , fig.:a eftflH, tantôt1 ailées' One foliole
impaire et .une ou d'eüx paires de'folioles, tantôt payant leurs
folioles soudées plus ou moins simplement en un limbe qui
prend alors la forme d!une feuille a trôisvCebes<obtus?et‘éè;han-
créea la base.' Quelquefois urne des folioles latérales;est libre,
et rautrqresréé’soudée ævlë^Ja tèjm^ôide^J. ar fai emé unir bes
di^^âeÿ'an^^ies jdàhs la jil.^^p fig. à^^r;^§M^iftà$/ont
été faites d’après des plantes 4^ës;pêler^e|éj|t'provéüâiitilesï
mêmes,;;gradnes!._; t
L ’ JfMa^ns/oetidâ.a lep cotyiéd6nss^jlqsÀ^os'és,’m<uiiis
à leur
g^tpbfongue, obtuse^ toujours plus;on nfoins<arqùeé;• ils sont
de couleur ^èrfe, -de. mature^pai^^^^^^u^rrne. Les
premières feuilles^lterô^® nais:cnt à.quelque
distanle^esStylêdons^f^l^s%?f|petiaïéese t pdrfont
iépÿs- ^p^l^dfëilî^tb^iP^lÉs qui naissent mèsbmmët du
pétiole* ( pl • 4
ij,&Bâ^ïWikÀàui^ràIis à la!. tig$ cour têrdu 'cÔllèt auxiboty-
iMoffir ^èu ï-c i sont éfaIKstf,Moppô3^^„prfes|u^esSflésyifeVet
un pétiole courV^Iargeet demi-Mbrkssaritî rLg&r~‘fqrmfe* est
ofalê’^ obtus'e foilr ^cônsistànce presque foMacëë^g;|;l^
lèUr ‘fëike'y ils ôffïeïit unÔlëprê-nerVune^Sÿlélrfe^pennée.
Les féuiîles primôt<îiàléÿriaissent ;à prèè d;un-p®üte-dés^fe
tylédons ; elles sont afteynéfef sessilé|j| à trois foliole|Éen
formé dê^ôrti, un peu échanbrëès au sommet fig.-f5}'*
2*^1 Tr$u. LOTÉES.
: Cetté tribu, la plus-nombreuse îde? la famille des Légumineuses
\ ét)eelle qui es'tÿlà proportion, la plus répandue dans
les^fjkrdins /‘estfalussi j ’ai vu- le plus grand'nombre
de1 genr'es‘>et d’es.|fèêestàdFépdque^dfelia germination. L’en ai
observé^ëSftr vingl-quatitefolfpèees appartenant à trente-quatre
-gfenres différ&tisil'^EÔutës 'ont des*Cotylédon^'opposes, presque
fef>ssilpssÇ^(,ï'I'‘il'MbBacés^obtu^i, sortant d^te^ïffety et soutenus
à qüèltpië's ligne&ï an-dfeSsus^du sôl. Tîïutës'ont la racine pivotante
etfibibiisëf^ labtigé*‘droite et filiforme àudesÉous des cotylédons.
JæFàe mentionnerai ’par conséquebt'^eS'4 iVers ca-
vât%ërëS que lor^jAfilsilptésenterbnt Ljuèlqùe cfiokei dé parti-
culiër.ïïr
Les ont la consistance de la^tigë déjà lignéusè à sa
naissance 5'les5 cotyléd'on^l^Ônt^aîsSezîgrafids si on les compare
^jàVglâ#di^enr®rdinaire destfeuillês'dèrces .plafr tm• les feuilles
sont opposées* ou alterijes», simples mit è trois folioles sé&silës
dans toutesrlelfospècès (jfietJt’a^vrDes. Je joinsûcii la'figure du
x^ÊrdMa'sphæroc'alpei qui les a ’opposées&et simples, et du
G^'&JÈtti'&ansiOù elles sont alternes et à trois folioles (pl. 5,
^siiJue^l^lifefei* offrent desï'cotylédons très-analogues à ceux
des Genets, mais les feuilles sont portées sur un long; pétiole
dans les deux espèces* qtoe jJai'ébsérvëfe^,' le é?. Laburnmm et
\e scoparius. Ces feuilles sont^darLsbl’un et l’autréi 11 trois
folioles^partant du sommet du pétiole. Dans \e scoparius
ellèé naissent très-près* dpS cotylédons et sont opposées ; dans