
dons q®i sont les preiâteres feuilles de la plante «laissent,toujours
sur la tige, tantôt très^près dueôltet* tantôtéfeigués
du êôlltet
dans l 'Hÿ'MëfitiL'cb’ï «dans les SmÏMrda, en tï«ÉMve>fneàfureftis
une- tigè <êê'dê'UX pènéUs de IdUf^eur tenter le eolktsèf tes
cotylédons, et jé dis que cè support est une vratetige| ï °^arçe
qu’il s’élève àU iteudè descendre p®ce qu’il perdit à la
lumière J p . parce qu’il^résente un canalmédullaire^4°- parce
qu’il porte souvent des poi ls analogues àeeuxde klage, 3®^is
si ceUfè pOî^l#stéërtain(»^Kt et évidéËatossftt niaiê#%e*dans
lus càS ùù elle ns t longue, on rie peut lui rtiuser savnoni, lors
ntemèqUed&ns Certains eus ë llè%t fort (»urte.d^ yraie place
du collet doit donc ^ ^ e ^ ^ l ,en-ïêÈ^<^«e(ïAià5É6g^ueat
mystérieux de direction asçendante et descendante : îRny-a,
dans la p & fm èm ém > point de Marque visible 'M ’uëté-
rieur de *00 changement interné de nature ; mais qnelqdeSîLé^
güïmSeUses Pont exception à c r ttè k i générâtes ,dnsi dans la
plupart *dCs >&lôâôia , et surtout dans les -jk, sFcmi&dmva
0^M ~iïancrofâêiïna (f. on remarque Un bourrelet
proéminent dt /circulaire qui détftnine rigo^rmtseMi'ént la
plaee du collet.
i a partfe-de la tige-qui va du*.collet aux eotylédo^s et^que"
Richard a nommée üige$&t{ eauliculus ) par opposition .1^ j
partie située au dessus, qu’il amoralé& g ejm kû lej la t ifëlîè,
disqe offre Ceci de remarquable qu’elle vp$ porte jamais ni
Nelumbo du colletîde.d^mbryon ,Vest-à‘-ditft du point dejoridtrèndedaflaintule
et de la raâiculrf étw*Même cn^anisâtiou sëé fetràuve'dans »toutes les« autres
pi a n »ps .1 ('Mabel. Ann.- Mus.. 'V
bourgeons :ni brancbesi-Quand la tige doit: se ramifier, les
bourgeons naissant soit à Faî’Sselle des-feuilles ordinaires, soit
à Faisselle, des cotylédons b ©ans les Légumineuses dont les
branches s^iénuébées ou; rampantes, cru même^outerraines,
c© sontcelles^qui naissent de Faisselle des» cotylédons qui
prennent s^fc^itteette'apparence etee phénomène est trèsr
prononbé'dans les*plantes où la tigellesvst f0Rbe%r|è : souvent
eiir effet elle n’arrive qu’à fleur de terre -, m q uW voit surtout
dans leS5 Trèfles, les "MëÆisàg6% et en général dans les plantes
qui, â'îFét-at adulte f semblent avoir pkideum Viges partant
du ifoltet. Quelquefois même la trgelle dît sàXeaurte que les
cotylldOÙsl,naissent trèsjprès du coilot eft’testent! ©achés sous
terre, comme on ten d it dans-toutes les Yioiées : si daris ce
câ's iMiâît des teanehes àF.àisselte des ootylédons, ces branches
sont souterraines, et ck^t-fee qui détermine le phénomènf
s o u v e n t JhctéhytiUs âmphtearpes.
\J^ÊÈ'È‘cHis et le rbW èéz'm È, qui ont tes cotylédons à- fleur de
terre \ présentent des phénomènes anaiogueCey
5 ;Noùs avons v u , en parlant de la structure des graine« , que
leurs cotylédon^.sônt ôiu oharnuspu foliacés, dette différence
en entraine de grandes dans le mode d©*germinatiorai
Lorsque les'cotylédons- sont æbarnus ,- ils tse gonflent d’eau
à Fépoque de leur développement èfcette eau délaye-et dissout
les matières féculentes, mueilagineuses, ou même huileuses
qui se trouvent comme en dépôt dans te cotylédon ? lasnift-
tièèg , ainsi liquéfiée^1 est absorbée par latplumute qui s’es
nourrit 5 e t , au bout de queiqpè temps , lé côtylédon dessüT
ebé tombe ,ét périt. Ln&céVflédens charnus ne sont donc que
des dépôts de nourriture quo l ’ean absorbée çhange en étaul