
commé dans les pupanim^pX non .ailées-a-vec impaire-, comme
les MèbtrdP
é&S'-" de L^Héritier-,a s d r a p p o r t é - ,
a^ c i a j s g ^ par M. R. Brown au gep-re„ • 1Je
nom d e J ^ g r ^
- ' 9°- Bertero -e^non de- Poiret, quiÉ
beaucoup, de-rapports ^oele.prece^ent ,-est pour moi Ie*gar-
Êum m
|m£ ' Op ^y»i± déjà, par le travail de M. Jackson.et,celui
g g |g | Brown, que,le R^Co^i^ea, d’Aublp^estiunesfes^ièee
d5 Ormosia.
fflg jaffitff- Willdenow,
doit ^ss^tçg^p^çlu^^es Légumineises&diadelphes.
Ce bel -arbre de la Guyane fe^jprJtainement u n p p | l^ ê<,de
J n « H La description^,bpnne pour ce4quj tifonc
e tM feuillage, mais elle est fauss^pour tout <P^-ui S À i à
la fleur ,^§mt, quAublet l ’ait décrite'de spuyen-ir ,'soit qu’il
a*|^aPP0{te à la feuille ^ P 'g ^ ^ g çQ jan&fléur qui ne lui -
appartenoit pas, erreup dônt on a quelques autres exemples-
dàns le même ouvrage. Q j io ï qu’il, en soit, ïe (J^ ^ ï ^ a Dnt
je possédé 3eseçhantillons^eçueilli^à*Gaypnne-par J£iî^Pet'BO- -
té t, et un,dessin accqmpagné de description par M. Patris
l e ^ W ^ ^ ^ est certainement un* P ^ a rtzig ^ i j
Parmi les ^eryeprs moins graves , on peut »citer :
b°-.Le 4 e la premièr^édition de Linné,
dont lui-meme a fait ;ensuite, un • ■}
m m Be Miller, qui / e s t, trouvé être la même
plante que le P^ çidia E rythrin a de Linné.
- ;4 ° f Le jS* H P Liapd, après aw # été placé dans divers
K * m
Me,nrés par divers,auteurs, parbît devoir rester'tyjjé du genre
■ÎP&njgal^uh de Yentenat.
4°- Le A-.K^à4^de^Louréiro, qui, au lieu d’être un grand
arbre comme le précédent, est un arbtfste^l trois à Quatre
piedg, devyaisans dduté^tf e? ausSrplatéqyarmi les Pôngairiia.
Ép Le lià ig jf f iîde VPilldenow e%t aussi certainement
unA#|pèce|(^î^^^^5,%G0miiié?Boxburgh PavoiGsfeïÿtl en
lu i donnantJe4noin{|dfe%^^^^^|lîi
00kf]{ MaBonpland ^Ik'déj^fait^Èséri'êt^dè M’Wÿi^i^# db
Wil! dèno^v>iappartien t au g d a r e^ ^ ^ p tè^ t
7°- J’ai||i|egu^'étM. Balbis p@®r|^le nbm de R .
es^ècé^l^il^erte:-à Saint-Domingue par M. Bertero, fort
différpx%e4duwrai R & ^ iÀ jp ^ t qui, à l ’exâmfen^sl^tfêli^
former;une nouvelle* espèce du-.genre P o ïtéa à e Vèntenat.
8°. Le même naturaliste f%'eq|wert à Saint-Domingue
un arbusfe qui f porte le nom de: Cdmpaniïïâ g et
qui m’a ^ëi-communiqué sotis le nom de R . îàU flïiâ,- mais
||bnv^||ni le R. itMïtplia dèPoiret, ni céltii de Miller, e i l l t
arbuste constitue une troisième espèce du génfcê'Poziféa,- je
l ’a i saomméPS^^mCampdhzi&V
Totales Robinià, de l ’Inde orientale, décrits par Rox-
burgh , ont les étamines monadelphesf^tfè peuvent, par
conséquentpbester dans le véritable g e n r e C e groupe
est »composé de six espèces dont j ’en possède cinq qui n’ont
jamais étédécrites: Je lui ai donné le ’nom de M undulea, et
l ’ai réuni tomme sectionlauigente Tephrosia.
Voilà done enviroii vingt espèces désignées jusques ici
comme des Robinict qu’il faut exclure de ce genre, et rapporter
àénz?e genres différons déjà connus pet même à cinq