
les Légumineuses à embryon dont la radicule est courbée sur
la eommissua?# deslobes;,, et ceMessà embryon dncût j les noms,
dis-je, peuvent bien étire critiqués sous le rapport philolo-.
gique, mais ils expriment si clairement l ’idée v q ü e je n ’aipas
cru devoir «y t subsituer des termes qu i, plus réguliers peut-
être , seroient moins vite compris. D ’ailleurs le mot?emb?iyus> ,>
quoique d’origine greqqùe>, vétant devenu latin , peut bien
s’allier latin botanique
conime on sait, est loin d’être toujours bien rigoureux.
Quant .à la division ellè-memé, elle me pareil d’une exaci
titude complète et ' d’une grande importâkÉêv
briée^siapprOdhent par la-Hes Téri^ïiiiaeées, qui la plupart
ontdfembryon courbé, et les Meetejui>#éfes des'Itosàoées ,>qui
q.nt;comme elles l ’embryon, droit. |
l Aptès eê premier caractère il em existé, deux autres^que
dg®,? ; l’importance , fnxonemique je suis tbntéitde regarder
comme %pou près égaUx/j. savoir, l ’esMyation des orgaaès
floraux et leur insertion. Ainsi on trouve -dans les deux
garnies; divisions, i*?i de#« organes floraux plus’ ou moins
embriquéa^et des organes floraux à estivation vatahir$p$$des
étamines situées comme les péta]eS,du-star le^qalice, ou sur
le torus^ans;! adhérer au
embarrassé pour a r g u e r en théorie, à l ’uudev©esica®icetères,
quelque prééminence sur l ’autre ; mais l ’examen détadléfela
famille m’en a évité 1’embarras en t » prouvant qu’ils marchent
sensiblement dlaceord.â^;
J’ai donc été conduit à diviser les Curvembriées en deux
.groupes : V’rdés vraies B apilio/n â&àéesiy q*ur ont des étamines
périgynes ou, adhérentes au calice y et la fleur vraiment papi-
■ MM qui ont les étamines hypogy nés,
Ia.eqKflle nulle eg»(trè|ddté^aUère|!Sk calice èffî vessie sans
Sptufpf,: ;|^î.seiCOuipt''à la floraison étélobes irtéguliërs.
J’ai divisé de même^ensuivant l ’exemple de M. B . Broivny
B^eelpinbrieessdnsdeiix-girôupeS : iWle^Mimésées, qui-ont
les étâmines orbnaimment ^bypOgynes^V et lëi; calices; et co-
■ rplies l^ujoursi réguliers , e t àNCstivation ! valvaire , SK les
jjlqs^lpinffei^ qnsboné Jés^étaminCS toujôurslplüs-on Ûi'lfiiispéri^
gynjej§^,e^l.esicaliée!S-et corolles jamaiseiülestivation vaOLvâifè-,
mais embriquds d’une manière pJu-SHou -moins prononcée.
trouvëdonc avoir ainsi dtvis! la famille en qugtdè
sous-ordres de-ivaleu© »assez sensiblement égalé f les Papi-
lionaeées»,, lesl SwanStziées, les- MimWsées* et les Léssflpinées.
Mais malkoureusemen&le nombre dèsigénrës qui CdidpoSént
ces quatre-groupes étant très-inégal, il restoit encore beàu-
coup.de- soAis^divisions^à établir, surtout dans les Papilionacées
etdé^lÇésalipinées,
Les Papilionaçpes qui comprennent à- elles seules' environ
deux mille huit cents (espèces-^è’est-à-dire, les flrois quarts de
la famitt% ©ifrèntfd^randes difficultés pour>.détl:e-sons-diiÿ’
sion en tribite^JSi je ne suis pas paltvenu, je dctfs l ’avouer,
à le«s.vaincre de manière à me satisfaire moi-même* je crois
cependant que, eé|feîiauxqu elles ÿ’ai été conduit j sdnfr|)réfé-
rablesia ce qui a été fait jusqu’ici : j ’en dirai franchement les
motifs, les avantages-et les i® convenions*, soit* dans ce premier
exposé général, soit dansfes Mémoires ï relatifs à chaque
tribu. 1
J’ai donné la première importance à la nature des cotylédons
fôliacésmu cÈarnüs :» non seulement ce caractère qui se