
, Sa racine, .esti très-longue ,, viy a< ^ ;Qylindrique, peu oü
point rameuse ; les tiges sont courtes, velues.-, ascendantes ,
feuilléesàleur bas,e, et prolongées en un pédopcqle qui paroît
terminal, et dont la lqqgucur e$t de neuf à doüze polices? ce
pédoneuleqstnji, grêle, droit, presque entièrement glabre,
tantôt un peu par une*grappè de fleurs
assez rapprochées, et presque en. épi.: >
Les feuilles, sont presque,radicales: leür pétiole estqpfæs-
ceuL 4ong tie ;tiQis, ppuce^j^^ireokdetWné par une petite
soie.; il porte h^it ^ dix paires de folioleàïOyàleç, lancéolées,
pointues, entières , yelju.es, en. dessous dans leur« j^nessé»,
souvent phées eu, doh§ sRrrlgut jpeyyure moyenn# j longues
de trois ligues sur un.Ou un et demi «de largeur^ leS stipules
sont d^O^ées ^jl^wéçdées/eti#%uësv j o, î ; > > ‘
LeSîbfactéfis.out à peu près la même forme > et sont un peu
plus longues que,. ie p é ^ e i ^ eelpi^çi vqe passe guère une
ligne de lo.ugueur^ i l . est dre ssé, et Ja, fleur inclinée ou horizontale
le calice pst gfabre , ù cinq dents pointues ÿ dont rin-
férieure est la plus -longue j la oao-ène est très-obtuse, ayec
l ’extrémité tachée de pourpre -, le rç$te de la fleur paroît jaunâtre
sur -le, se^c£ les jetajuines so#t .^Jistinctes, et il m’a paru
qu’il n’y en. a que cinq, l^e fruit est une gousse à deux articles
. deini-oyales-,. comprimés d un« peu réticulés * et hétiissés
de soies molles, plumeuses, longues de près de deux lignes.
fc&gfg&fe, Tab. 5o.;:-
j jGette dernièfoespèce,‘d’^^ÿomz est to.ut-à-fait nouvelle.
J e la roopuois, pay, un échantillon qui provient du voyage de
lié e probablement, dans l ’Amérique méridionale. A la première
vue, cette herbe semble analogue à \ A nthyllia montana'.
sa fleur né ressemblé pas mal à un OnoHis, son fruit
à un ‘Onobrjrtàhis, et ses étamines'à celles des Sophora.
La plante pousse« dèi son collet plusieurs tiges demi-étalées,
eylindriques , un jpett? yelfl^s:f presque ligneuses à-leur base,
longues^ de quatre à cinq polices j lés stipules sont blanchâtres,
membraneuses, un peu soudées par leur base avec le
pétiole,. e.fe prolongées en une pointe aiguë. Le pétiole n’a pas
un: ponce de longuehryet sëtérmine en une petite pointe :
il porte six à^ sept paires dè folioles obovées, mucronées, velues
sur les deux faces : l’aspect’de la feuille rappelle celui
de plusidiars Astragales de là section dès Âdragants, La tige
se prolonge à son sommet en une grappe nue, composée d’un
petit nombre de fleùrs très-écârtées les unes des autres 5 chacuneeàSporféeiSur
unspédièelle g rêle, qui atteint jusqu’à six
lignes de longueur après la floraison. Le ealiee!est glanduleu
x , à cinq lobes aigus. La corolle papilionacée plus grande
que dans lès autres'espèces du gënire^‘lés étemines libres ,
^ppBca^éeSi’ au nombre-de-dix , tin peu courbées vers' le
so mmet ^ dans le même sens que la Carène ; la gousse est composée.
de^deiix articles demi-ovales, comprimés, marqués de
veines réticulées et proéminentes, desquelles partent des
soies plumeuses un peu roides , longues d’environ quatre
lignes.
P 4. D u genre j^IGOLSOjNIA— P errottetia. D C . Ann.
iHSe. nat. ja n . r&2 5 , non K un th.
Tant que le genre Hedyearum étoit resté dans son extension
primitive, et réunissait presque toute la tribu, actuelle