
nam : probablement elle y* aura été. transp orte'e. J ’en ai observé
Jat germination, et dcséchantilkms en fleur, venant de
rile -4e^F rancejdans l ’herbier du Muséum de Paris ; mais tout
<è| que j ’ai vu .spus,^ee nom dans d’antres herbiers ebmme
venant d’^mérique^él^jpKt l ’une des deu^^gèpes du genre
^j&pJlicçjFpe&fi. ,
- § 4- Du"ge^re, MORJNLÀ•
Le genre Moringa établi par Burmann , réuni par Linné
puisséparé de nouveaup&r Lamarck, Jusr
sieu et Gaïrtnér.%iesi| un de ces genres extraordinaires qui
échappent à la structure habituelle de leur fam ille Sicl’on
considère son port,, son feuillage e t sa fleuraison, il s’écarte
peu des Ça&siées bipennéet; niais son ..fruit qui est à trois
valv^s paroit en contradiction avec la structure prqpre.aux
gepsses des Lé^imi0]^ses. On peut voir dana^^pAner la figure
et la description decef rui t singulier 4k-n’en mis ieî
mention que pour indiquer comment il rentre dans la structure
des Légumineuses.
Presque toutes les plantas J é ggfcte famille ont les carpelles
réduits à l ’unité par un avortement constant, mais il en est
quelques unes- « h l ’on m trouve deux-, ou librès eomme dans
le d ïg y j^ f^ $ùudéS parleur suture seminifère
comme dans plusieurs fleurs de Ç jlf ÿiteia ; il existe , d’après
M. de Saint-Hilaire:,,'nne Mimosée à cinq carpelles. D ’après
eela, on pexit admettre sans peine quede Moringa o. son fruit
% m é de trois carpelles 5 mais on estencore conduit à observer
que Ifs graines;, n’aflbèrent \ aucune des trois valves
lÉiStantes et semblent' torÉe’Snpirqpps vers4 le Centre du fruit
Où elles sont attaehëès ht un filet' e'éntrJf-'êt fléxilteux : il erst
f e i i é V > ) B a H 8 B W » P u ' t w j g K h()u(^ure
M fruit'ont la partit Mfcknte "dé le^fs' V^lfM p ë^mince ,
et qâi disparott pendant 1^ matUrai^Ben Misant la s%ture
sèfUl'e'pCr'sistkilte?ver§ l ’a ie 'du* fruit; qu’ainsi lès graines ,
lië^ 'qu ’ofigiîfairement latérales* cdmme ’daûs*jtfqtf|es* îës L é gumineuses
, deiiénnêra: cehH;P3?iâs>|iâr1 la s'ôndurc ''dfê's- carpelles
cômide cela a lieu dans toW le s ‘fruits àsgrkin'es een-
' traies.
La graine des M@^^<#^^^|biï‘près trian^ilafrC ^a faces
'Idmqîcl^t'iuari,gffes^tanïBt prolongés' ^hiïë^fa;nto|lépouf^&'
d’aile. (sfrtoiqu’on connbisse* peu on point barbie qui produit
la graine sans aile, il est bien vraisemblable qu’il doit êWe cfif-
férent d^èêlui à graines ailées ; et IéS deiS^pehës- d'éGæ'rtner,
M . pfèPfgospernia et M . épÆrafme ; jpar oissent devoir être
admises': 'GMct»kâiVq^ë%^embryon dlspis giâin^è#rempli
inôeffre et incolore , conque dâns le commerce
' sôû^le'' iiom d-huilè de Ben^Cétte (^ëhlMt;Ëüeê'm'’£É engagé à
placer le MovMga à la* tête 'de^'ClMnés immédiatement
après lés* 'GeofïréeS où se’ trouvent plusieurs 'genré^a graines
huileuses : peut-être seroit-il mêrrie plusimtuYeï de séparer
lès ’Ge'èffréesfni les Gassiées, non par la soUétere ët la liberté
dêè élimines, mais par îêà Cotylédons, eharnuèUufhuiléitedans
les Geoffrées, foliacés dansdbsLassie'es' ; et alors le Moringà
rentreroit dans les G Coffrées avec' quelques autres genres,
classés aujourd’hui avec1 lo i dan^lfesjjGS&î^à. Le nombre
considérable 'del'genroeP de bef ordre dont la graine et la* germination
sont inconnues* m’a empêché de suivre cette idée.