
nom collectif decalféearfébiés. tows. Ceip^ oii lés Opales> #ènt
inégalement.spudés (entre eux- ; mais eè terme généralj comprend
plusienars systèmes, différons.
Tantôt.let?4®!*xt lobes supérieurs plus soudés-rqjie les> trôis
inférieurs forment une lèvre supérieure entière si ta. soudure;
est complette -v à deux - dents s f elle Eym ineomplettey. tandis
que les trois -inférieurs forment^ ^quelle que soifc leur eobé-
reneesyçe qu’on nomme, par oppositions la^lévrc;inferieure.
Tan tôt les trois in férieurs plnsïse^Lésfjpnfeeîeux. forment
de. mêmes une If p e inférfé»r.ejentiêrp s i fa soudure est com-
plettet, à tçois dentsc si el^^^iiieompleft^ÿ tandis-quef les*
deuxsupérieurs,libres'OU)Soudé-sentreeux,formenteefqu-on
nomme,;^anopposition, la lè^pe^pipérienre. .
, Tantôt enfin les; deux kd)é& supéstéiils | soudésteatrè feuat,
et les-trois à«périeursrau§si soudés entreeux,TormentvebaGun
une èèvre prnnoneée , entière ou dentée y,etî alors le "câline, esb
très-évidenunent tiahié*
Toutes ie%f^si •que dans une Légumirmu#©.' irrégulière on
dit que le féline est à quatre, lobes- ou quatre *déntS',-ojnveut
dire, on on- àdn dire,5*que deux deslobesdu calice sonts ondes;
en un ; e t ,, en e ffet, .É9v50n»trQWe.Éôus 1 esrdegrés■ rentre les
soudures eomplette et;ineoçaplette de ces deux lobes la
positiouf des; imrTures-'déinsmtae que ce lobe, en apparence
unique,,est formés de-: deux5 3ff,. la position, des pétales,^rela-
tiiement au calicey démontre. aussi« Remarquons-, i-éLqnê
cetté possibilité de-cohérence sur un meme rangïde deux sépales.
contigus, #st un^fommeneement. d’estiyation calvaire.
Lorsqu’on d i t , d’un caEçe de Légumineuses , qu’il, est à
trois lobeSj cela veut dire que trois de ces lobes ’^et dans ce
Gàs.ce- socles-inférieurs y sdm* soudés en un seul , s et les, deux
anteeslibrisj, fou^qsàson dit qu’il, est :à d e u x lo b ^ c ’est comme
si l ’on diioit qu’Jkes^à deux-lèvres entières y#éstdi-dire les
deux supérieurs coudés entre eux * et les trois inférieurs
également iswdéfcentre leux. s
Quoique j ’aie ditstout à Ffeur-caquel-es sépales des Papilio-
fnaeées tendent à^’estisvation valvaire,,cela n ’est pas vrai dans
enjest,qnelques-uns qui, soit par l ’avortement
dedeu-r partie supérieure | soit par le-grand développement
des lobes, «prennent une_au Ire disposition. L ’est surtout dans
la tribmdes-jE-ha&eoiee&îqnàm troutve ces anomalies.
stCeWie,disposition enfbriquéeldes ^sépâl'es.,.-rare dans les, Pa-
■ pilionaoées, devient, au contraire, habituelle- dans les Le'gu-
rnin eusses#,corolle rosaceé, cal dans la tribu des- Cariées. Ici
ies cinq sépales sont-, dans la plupart-3 distribués en estivation
q u in ^ lp^ ^ eom m n d a iïs les Rosacées q p e lesquellesv elles
ont .bèaucouprdanalogie. -
^Qntre'iees;. différentes portes de caèicesfqui composent la
presque/lptalitfe^e la famille, il eptisteieneore-cleuxscas particuliers
qui méritent une metnticm : mh II arrive dans qneb
ques plantes que lesr;cinq - sépales , quoique terminés en
lobes îôu en dents.’, ;restent tellement cohérens ensemble que,
l ’ouverture seféiLpar une fissure longitudinale qui (par ana-
logieaveo ee qui-s® passe dans les étamines)âg lieu par la
ligne (longitudinale- supérieure, entre-les-deux dentssupé-
rieures Lc’est eequi â|ftaai*
t un esempfe. Ce^ensp^e/de débiscenqe
du calice nia lien que* dans ceux qui sont d’une consistance
menhraneuse presqncüséariense. Elle arrive souvent, mais