
i ââ 11'. MÉMQIR&
simples, ^étiolées, à limbe presque orbiculaire très-obtus.
Le Üëfcis Siliqudstrum ( fig. ï a ai genre très-voisin ,
comme on sait, des Bcmhinïa, n ’en diffère presque pas., quant
à ta germination. Les cotylédons ont une nervure Moyenne,
un peu pennée. La feuille primordiale offre là même disposition
; mais elle est échaUcrëe à' son sommet) lequel se termine
pat dents, cireonkane% qui ÉémLà confirmer ’son
rapport avecdfes Bauhiniti.'
nr% ïWÉTARIÉÈS«
Je n’én ai vu aucune espèce en-germination.
TROISIÈME MEMOIRE.
COMPARAISON
DES LÉGUMINEUSES
AVEC El S il aW i rs''QmO>a^OLPr 4WCrÈELÉ|!
?'-Nous avons îltdique dans les deu^mémoires prdcëdens les
€ t^ c lirë s:>è’^!EfntielS dè'scÊégumineusek. Nous levons maintenant4"
dédùiire d%||scàra;c ^ ë | | U', la piadé-de la famille
dans l’dfMfe naturel, litotes principes dé sa jous-division en
sous-ordres et-e& tribus, ou de s’a’ cfessifieation particulière :
le premief obj'éf fera*le sujet d,é êc mémoire, et té deuxième
sera renvoyé amsiïivaiîï. ^
Bernard de Jus J e u , qui a le premier admis la famille des
Légumineuses dans lès limites .que nous &p^norss"«lÇ au-
jodrk’hu'f, l’avoit «plaeèe ' entre des Mal^ape'es et les Campa-
nulacèës IH H B Q H s’il m e tto i® ‘H place’Respective' des
familles autant d’importance qu’au choix des; genres qui
dévoient composer chacune d’elles, j mais ce qui est certain,
cVst quélîès-iors’ 6nt'#a point suivile rapprochement indiqué
16. *