
. H | fa | gjj & p § l MÊMf
unique^eGittdinis les- t^ois groupes^ de M. Brown comme seqf
tion§ ; de .çfittqfamille. ,
M, Hepr.-rGeorg. Broun { jj||gjÉ||g admis aussples Légtf*
mineuses comme une famille unique , qu’ilad îv iséeen deux
sou.s-or4res comme Gæftner g d’après I ’-embry on droit ou
courbé., Ljs- prgipîèy soUs^ordrep#eIùî^ ^ e s ^ e ^ ^ ^ « & i f est
di\d§é,y% ir(^; tribus :«|y| 'les^imosées de R.jBrownqu^. les
Gàssiée^ qui ^rrespondent aux Gesalpinées de Brown fl et
qu’ila§éparejs dmpgpeédentes f*,eaus©dèlenrs
eordUes pIus irrégulières .-Lp deuxième so^p-ordre, celui des
se sous.Ævise en deu^^Ei^us, IestSophorées qui
qnt lejsaétamines libres. et les Hiad?elphe£ iqui-des ont .soudées
§j| un au djeux^aiseeaUXv GeJdes^ci renfernrero^ sétonAi ; aafe
groupes*, Les.Génistées^^ile^, Trifoliées^ lesnBhdséMéeS M lès
Qmaaillée^jt le$vQalég.é©S'=:%<^fin<il a rejeté à-là
de^la fjp^JI^ sQws le npn^ de.fD^,ei^igesï;et d’Intsiéty^
tqu^^ Sjygenres doni le^eara^tèrosvhè Ini^aroissenit pa-S'sub
fisamihent connus- Gette elassibcation $,) qui est uUucoïnbi-
naispn4de ^ lle s d ’ Adansqu y delJnssieur£Ge..GaBt5tiletiet ' d:è
R. Brown^fifre encore quelquesobjeet^ns do ëétail.jg x0. Res
Gçrp^s ;spq|$rap7peu, distinctes desdaWssiées-.Aies-Sophodistiàgi|
rts ë»tre
les. Gury em|yit||s par :lpi^s,|^mi.nes jibres , devroiebfè admettre
quelques gpnrqs qui ne peuvent s’y rappaEfcÇrytels que
T i l est imppssdbkvïilasèigner
aucun, eg^gytère enfa^les Gérûstées-etTes Trifoliées £ 4 ^ lés
Ga^égées meipe^en les admettap^ pour distinctes, sont trop
ces J çlei^jro^j)çsrljkS»0. enfin, les Daibergiéës et
les Inÿiée^sont desassembJa.g.e§sd,objetsifeii^érogiteesà sMalgré
DIVÏSttH? DE® kîJ&îfBÏMrEUSES: Ai
ees objections'*, là Unéthodédre *Mî Broun est e&6éfê'^ je dôis
le ;dire i c i , l.un^s^q'|Geilè^cj®iie,f‘rlUUis “Bètude dfetâiKeê de la
famille, m’a préâ^fé le plus G 7 utilités*M
| Enfin M^bermayéxu(»T-i^^i^pUMié 'une méthode qtite jè
ne cannois que par l ’extra&t'puMié dans Eï§fs.*ïl adopte pour
division primaire la dfffiitanCèrdéGfifeurGphpiliona&éfjs,, ou
plus ou moinstelgulièisesi TTdiGseTes^Bàpilfonacees en neuf
tribus'alsfe‘semMWblcèl໩elles*de M.Bronn, savoir: Genis-
J iST ^ ifo te g^ B h a séo l^ S , ^ (« s ,G b # d n » é e s , Dalbèrgfées,
Iutsiéesi, e Sopbarées* ; *îet les LégnniirUUïse’s 'à’ flfetw^ regblières
■ ou •à'#peutps?èsferé^AiidMre^fe n deux, les Gas^ieés eties Mïmoffées-
4$©*te «méthode - n’a de mérite ;-sur eëlle idÉs^f. Brônn que
d’avoir réuni lesÆle^eées aulpC&SslIlsy *miàiS''dG’illé)uf s ellb est
fexposée1^UM#s>|es autres ^AëptiOns faites^ èï-dès&usy et à
q-uelquesruntres qui lui sont prerpres^mmeid’avoir corifondu
plus explicitement - encore des obj etsJ^hétérogènes dan’s les
Dalbergiées etMes Intsféesy fet surtout d’avoir négligé les
caractères, carpologiquesbi^
■ 5 §» I I . Des .affÏMTtèés^des 'Dégarmkèuses entrê*eEes:
(Tèl étoit l’état de la suioncedbrsque j^ai commencé à m’occuper
’des Légumi®eàs'es&»l4i' théorie générale■de la science,
ranaldgiæ ^avee des ^ autres famille^ la place d e s ‘Légumineuses
.dans l ’ordre naturel, et eni^idsanafysës détaillées
de la plupart, m’ont scUnduif |. la fois ^admettre connu# division
primaire celle »fondée sur la structure de 1 embryon,
et établie par GærtnerGles noms de Gmwembrioe et de Rec-
tembrioe établis par cét habïleTriatiirMistê, p o * distinguer
M