
>se tortille en spirale, et que l ’étendard porte, dans les £b~
Mcko$l deuxdrosses, calleuses «air le-#ôtéintérieur. -
La gousse;-se compose toujoursnde dé,ux valves oblon-
gues ou linéaires et déhiscentes y les principales. difïereucés
tiennent à ce què-^p4éî;1^4 s sont planeswü concaves', qu’elles
por ten t ; quelquefois entre les grâinesune zone trans verse 'de
tissu cellulaire qui formedes espècesïde fausses cloisons, qu’à
l ’extérieur eRês portent quelquefois^des-nervures dbji même
dés ailes saillantes parallèleS'à la suture séminale. Dans quelques
genres la suture supérieure elle-même 'se' prolonge;.©®,
une aile étroite j qui pourroit bien être le rudiment d’un:sé^
cond carpelle avorté: - •
008%; Les^;grainesfdes1 Phaséolées sont en-général remarquables
par leüÿtest lisseietcoloré; elles diffèrent enèa?#, elles par
la**forme globuleuse-, ovoïde ou oblqhgneo|L#xempl© pésAaX
rietés. de Haricots prouve que, çGjgs4 caractères ont peuédë valeur
: Un doit en attacher davantage à la forme de dæéicatrS
cuJi ©val# ysaiblonguê ou mêm©; linéaire.*, g | | occupant une
grgtnde partie du « pourtour de, certainesjgrainesGêsaèârac-
tèresi ont -été;heureusement employésjpourPdistinguer les
ginres qui avoient été-confondus Sous le nom d
hrgfli L ’épaisseur dés Cotylédons, quoique en général remarquable
dans #ette tribu, présente beaucoup de variétés : tantôt
ils sont très-épais , n#ideviennent jamais verts et restent èn-
SferMés dans le spermoderme comme-on le voitrdans le Gajiao ;
tantôt ils sont épais , charnus y incapables de verdir, mais sortent
du»épermoderme à la germination, comme« lé voitdàns
le Lupin, si toutefois ce genre doit rester parmi les -Phaséolées,
- Les genres que je place parmi les Phaséoléesrsont les suivans :
A brus-, qui fient le^mildeu entrçdes Viciées etdes Phaséo-
lées, ayant Jes! féuilfcs ailées sans impaire , des Viciées avec
les graines et la germinatipni des Phaseolees.
• a■ &&,êëtia ÿ*genre détaché des *Mfrh$ega ^ t dont je parlerai
ci^près
Le éâ'céêmnthus de Loureiro.
Le Rothtutde-Pe-rsoon, ou DéMf^Ma^dé Roth.
Le Terafnn&s àe P. Browneet de Swartz.
. * WïArnphicarpc&tâ, , genre- détacjée-des:f>^cz%^5.et dont je
parlerai
KftnmadyéÉ. mentionné §*4-
Le Rh'friW^osia,'dont j ’ai aussi parlé à l’occasion des G lj-
vtne 'àont il'est détaché, et que. jè décrirai .§,*»5; '
Le Fk^ê§m , mentionné de même 6.. -,
■ -i).Re W isfèria , idem,-9%
C^#e PhdêeQÏûs 'àb Linné: J-
;7 L « & / ^ deMoench, don#je-parlerai ci-après parmi les
igenrespdétacKésK Dohckas-:
a, Le B o lio â is^ débarrassé, de" plusieurs «espaces- d’après les
Jfeervations de MM. Du Petit-Thouars-et Savd. J’en-.traite
g 9 ainsi que dès suivans :-
Le Pignct de^Savi. $
Le Lablab d’Àdansonsy
Le P a ch jrh isu s de Richard. $
Le P â ro ch etu s d’Hamilton, qui paroît très-voisin du précèdent
mais dont -je nepl comtois, qu’une description trop
abrégée. ' H p é de Runth H non de Sprengel. 3