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genre Entada< V A . aculeata àft Roxburgh estuuProm pis:
il ne s’agit plus donc que dcrhien eonnoltre Y A . pavm inà ,
et quelque^ ' espèces plus où moins douteuses qui s en rapprochent.
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~:%.*PROSOPf&
C’est | i . Runth qui a le premier eoustatd que qe genre
appartient à la tribu des Mimosées : il a les fleurs polygames.;
lès cinq pétales distîn rts, dix élaminesAftlets libres ou à-peine
soudés, et une gousse à valves continues; un peu bosselée
par là saillie des graines-, e t remplinde pulpe: en d ’autres
ternie», les Pfosopis ôwl la-fleur des Acctcm et de fruit-des
ïngd.''Ô&*daX des arbres ou arbrisseaux à feuilÜs deimtfois
pennées, à pinnules peu nombreuses chargéësid’un grand
àombrç de folioles | p épis* « ilen g^ féd o n è iO é s , et dont les
fleurs sont peu s e r ré e , verdâtres ou jaunâtres^ C e glaire offre
deux sections très-distinétes.
> i °. V Æeriopis'tm proprement dit, qui renferme
jg p , jp^j^^^îde Linné j-tt mon P.'Ad&tVÉtTiibhsvci ,. qui est
XAdenanthera acaleata de Roxburgh, toutes’ deux originaires
de'PInde. Cette section se distingue parce, quelles
anthères sont comme dans le ïticM v sta o h f s , terminées par
une glànde pédiceléé et caduque.
La deuxième section, que je nomme Æ gmvbm ,Q^\m ^e
composée d’éspèc'ës américaines ; plusieurs dans leur pays
portent le nom i ï Aïgtiÿüb&y qui est aussi celui du Caroubier
| et qui est déterminé par l ’analogie de forme, dé saveur
et d^sagë ie^ leurs fruits. Cette section se distingue de là
première par ses anthères dépourvues de glandes, et quant au
port,- parce que les épines ou manquent rmr, lorsqu elles existent.,
naissent à peu près à la place des stipules et non éparses
le long de la tige. Je »rapporte-ici-les quatre-i^/#^#p^‘déerâts
par M. Runth, mon P . est le'M m iùm lu lifionei
de ^wartz, mes P . m^iqumtrum qui sont
les A o < À wlitpemtmm et j t o k W ' â e Laga-sca , ’et deux
espèces ineditès^qae je nomme- Pi"t>rcvctè&iUta e t sp/De-
quéOnt é té -d é co u p é s ; par ; M. Bertero à Sainte-
Marthe et à Saint-D onungue..' -
io. LAGOIYCHICM.
« C e genre a été établi papM. Marsefeall deBicfeer steîm dans
le supplément de sa Flore de Crimée. Tout en l ’admettant je
conserve bien-des doutes sur sa justesse. Il n?ést>ju&qu’dci com-
ppsé;^ue d ’une seule éspè^e , d’abord décrite comme une es-
^èce d ’^ a e»& ‘*par M. Marsehall luimaême, puiseonsidérée
comme uné-espècede P-resepis par M. Ru nth, parce que son
fruit renferme de la-pulpe à l’intériehrl Elle a en effet tout
le port d’un P rem p is, mais elle semble diffère# dë-ee genre
parce q u ^ e fruit-est totalement indéhiseOnt, et n’est ni comprimé
nitorulepx ; qu’il est de plus stipité*ovoïde, presque
cylindrique, ^ tm é t nn peu eourhé.Cettegousse^reesemble
un peuA^ëllede YA c^i^E& rnèsiim a^Æ .is elle en diffère
par la présence de la -pulpe, dans la loge.
. -m :. ACACIA- . ■
Je n ’ai admis? aucun Changement dans le caractère du
genre ïAéàma tel qu’il à été préseatépàr MM. WMdenow
et R u n th , eedlest d ’enéiëtachëC, eomme je Bai dit plus
haut, les'espèces qui formenCles-genres Èroegrtékîna et Dar-
tângtmm, ainsi que celles qui doivent être rapportées âu.