
leur gousse indéhiscente'à une oti deux graines, au lieu d’être
déhiscente :ë4r polyspermie : les ©âlbergiéés ïsont trop mal
connues, surtout quant à là gefmination, pôür que isêttë
tribu puisse être èoteÉdërée comnteïdéfinitifèîriént étaBlief#fe
serois peu surprisqfffëlle rentrât-u>n jour dans lésPïMféôléés
si les cotylédons sont charnus-, et près'des Raùimù'1s'lils sont
foliacés. V
Les Swartzié'es n’offrent aucune sous-division, et ne renferment
qu’un ou tqut au plus deux gënres.i
Les MimOstès serontpeut-être un jdiirsôiHs-dîvisééS'en deux
tribus^ sàypiBj'féi^nMdéés ont ft^iséÉ^édons^i^rnus
ëf souterrains comme les ^fciëÈs'pétrcs vraies* MimOàées,,î qui
ont les ëôtylédons foliacés, et parmi lësqueJlesHés'gënres'à
gousse articulée rappellent les.-Ifédysarées ; ceü?t à gÔUSse
continue, p ilotées ,‘et-cfeuxà étamines libres \ les-'SoÿKorées.
Mais les Mimosées ne sont point encore ‘assez conhnës | q%ant
à leur germination, pour qu’il soit- possible - actûëlMO'ëht
d’établir une division fondée sur ce principe ,' efcqë conservé
par conséquent le ^oüs^ordre en unei seule tribu.
-Les-Gésalpinées, quoique moins nombreuses3 que les Mi-
mqsées, ont été divisées erî3trois tribus, mais d’une manière
encore incertaine, ^vu que l ’on commît mal la plupart des
genres qui forment ce sous-ordre. ^jes trois tribus que>j’y ai
adoptées sont les suivantes;-4 •'
i°. Les G coffrées, dont les étamines sont plus -atf moins
soudées ensemble, et dont les graines sôtft huileuses, au
moins dans les genres où elles sont bien décrites, et ’dOntles
cotylédons épais viennent sous terre dans le spermoderme à
la germination, au moins dans* les classes qui ont étéôfrserr53
yeés.à#|É^%époque Colette tribu-jçen%>nie 4ç%pbjets hétéro^
gènes, e^ ^M ^ ^ ï.o b a b lo q a en t diyis^e^gnd on lp.Gon-
npît-rapnieux.^
Le^.f^ssiée^ffént,-lps ^taminqs; j spnt jlibyes^,- fe^corolle
plu^ojitmpinsiip5^ b iè r e , mais non p ap p^ p^ e^ ie caliop=à
cinq lobes vdis biocts^sp Réouvrant en estivation embriqu^e.-,
et .ie^fruié^à ^val|^es peia-i Mfofcnoint charnues,., Æ^sSüotvlédons
sortent dp ferjy|jà la*ge^minatipn;j^ai^eSfups' sont charnus
comme dansdè^bâs^l^/Ƨ^utKe^p{^ÿf.,«p qui indique
que cette tribu poqrra ^p^d^ns la^uitevêtre dfy%4e qp deux.
jjLûù „F«fln Ups^éfajdfées,..d a^ te s j^m k t^ so r tb J a fe s \ qui
m’ont point de pétales, qui offrentain^^se^emblable/àl,pelui
d wavtyii ée^^gg-tià-jdire ^p^|V-ésieule^eojBiaçêo|s'|ai'S4suture,
et s’eùvrànt ep lambeaux fleuraison : elles',qntAde fiplqs
une jgJguSfge^çbafnue munie id’un noyau, i$êJt tellement
semblable on a tout
lieu, d’hésiter ù; laquelle^dejk deux familles cettq tribu ap-
jf e a u qn particulifr jsg? rapproèhe/deSf Amyg-
dglées, par sa fleur à trente o^j^pÿej!?i|^x^tamin.es.
NoUs reviendronSi|,d3|#s IVEopqires suivons sur chacune
de ces, tribusvpqur ^exposer plus - en 4 % ^ ■><«<$ * lçn^ca|açv-
tères, et desf-.geja^es quklesT composent., -J^dqis dire encore
.iugbpies mots, sur leur ordre B H B B f I
; Qet ordre est nécessairement ^|4tetminé pan les .rapports
avèe les familles voisjno&foainsi les Gurvembriee^ doivent §e
trouver à côté des- Téréj^ntffacées, et lêfy^ectembriées à ,côté.
4es Rosacées.
Parmi les Gurvembriées, il es^pature^Le placer-en première
ligne celles qui ont les étamines périgynes comme les
-ai