
et sensiblement; égâ4%,, Au-
dessus de lëuij^Qfi^iasÿSg; trou^e^de^ ituberGules glanduleux
en gffl§^de stipules; Lgs feuillesi^ùiva^tpsjjsenl u m ^
alternes, mâxs^^^^rapproché^#i I en r msi gin e à^naj^gp qn e là
. tige ae s’allonge pas |kW C fig.
t nggienven I; pas. ge^me semble,
CfeC^ëpares a&jjffi .de^pni^probablement fe^iïï^), un^jeur une
gpfjjjribu particulière, .
Le genre* '1/oging/j ,a de^rapporl s jlÆj^p^ iiOTums^u ee^Les
, Gepff^es p^;ÿ^^;ain^s huile^is^ g&par, ^a^ijmina^.on .
quhdiffère peu;»de cgÉevle J’ei»
j-ài obscrv('sdèu>^p<V5es.que je prés umç-Hr< < b]: J ,
perrna et Vaptera (pi. 2iet 2 i - * j
t# S^g. ^ernierqu.ej’a i cti i <^j£ ato|Aqt| wfrd e <lélâi>l sasOi iiim \r;y; ine
grêle, ^votan te , peu.rameuse-. Les qet^l'à S sw&issent au.
W“ s ,err^ et ^êferiftds damgs ^ s permôclferine qui
est triangulaire et sans, aalgs ^»Jjsqji’on qie j jiçqbç
on I ruine (jne I(Vfdeu'v ejMyledons forment une masse (jMp.dje^l
épffcun d’eux considère séparément est épais, blançbÆb^ny^J&ÿ
arrondi, jauni d’un très-court pétiole
|.gaibase ,jdè' manière à former dçùx, petiteSi^filleLte^den-
tjfo^mes. Ladageost tdroite^ ^ Èndriquë. n u k langue dé*
* quatre, pouces des. cotylédons aux feuilles. primordiales^ deux
petits ietsfcn^sggnt A l ’aisselfei dest co ty lédons ,;f pomme, dans
Y .^ p 0 ^ . Les feuilles primordiale^. s;ont «opposées -, munies,
chacune à^deur ^>ase. de ,, d g u^ p^ te^ ' ^ p u jfâ dis tinctes
eî f f r ç l e pétiqleÆst long^ étalé, divise^ausornmet en
trois! branches ; celle du milieu, porte une ou, trois, folioles
obostéè|at les deux .latérales portent une foliole terminale
»•■ ■ and^...et îinemri,.dftuXjlatéEalessfeeaucoup plus,petites. Toute# -
Les folioles^inGpédQluJép^ il^oxist^desi,stipules à la. base des
divisions* 4rirpétiôle;.^e^î:fëpilleK^®W^ahtes| ,son,t .qsjsez ,sem-
blabl^v^®§U^#èi4iPi%jsi:%lLern^s- ■
1.1 ,e.A^^feÆ^^|gr7^(p.y^m@me.diffère du précédepityque
par:sg£ graija^jdont les^tr^-.ang^s.spntj prolongés ^en aile#
un.pcntcrénelées.,q^fcsa*sMuetore<ès.bplus» petite, quoique
La,,graige1à^^plu|)lgfps§i|i, ,e|^^ej$s§s. foliole\;sont ofelongues,
presque linéaires • ;.Hmais d’,ailleurs ^ germination*n’ofïre
aucune différence importante|*( yny. J o'f|& • K-1
,o”. Tribu. CASSIÉES.
.^ÿ»Les)•»Qd'^rëm,\ se d istin g u en t fdipBIgtbupe ‘probablement
.^©r>®§èiïekau^ l e n om de G coffrées f J 0 parce
que gjraiiaa.es, 'rj^ so n t j amaijÉbuèliA^i#8tgfâi>^parce que
lêi^E#^fe1q $ y l^ ^ b ^ p |t^ |!S d e r;'t‘Ôfre. et» du spermoderme d ’une
tnanière proùemeée à. L’époque prononcée 5 m a is o n y trouve
(encore ;desle©i;yL^,tus.cÿi!annris et^pfeasésf *des feuilles primor-*
diales , ^altèthes iet opposée^ , simples ' etaailées,.I L e nombre
d e s c e n te s où j ’ai observé <lk, germinatjprî se ré d u it à dix..
J’ai i vu .'deuxt^s.pêge§”Ou-s;'i|atiétési,Jdeï Gladitsim, le trici-
cai&tko& Vt Yinoerniïfo A .f^eh^ge'on ne peut nullement, les distinguer
, et l’on sait quê-clans le reste do leur vie cette distinction
est[4 outè;U§gl L ’un et l’autr4 .out . presque dès/leur
naissattÊC^une- raciilc^déjà iigneuse et bruncÿsd’abord pivotante
,, puis, latéralement rgiùeuse. Leuriftigeirestij dfoifeÿ
. cylindriquej^es feo bylédonsi naissent au-dessus de terre, demi-
étalés, verts, foliacés, uûî coriac.es, scssiles , échancrés A