
tendent à iqpn ees qprotobé^anjÊ^J^^s
avec l’origine des feuilles rie se reforment plus quand' eéllçsrci
ont fini leur existence. •
Les- feuilles des Le'gumineuseS ’présentèîit des formes si
Variées que pour les énumérer entièrement il faudrait faire
une analyse presque complète des>formes des feuilles^ je me
bornerai par conséquent à quelques traits généraux.
• S i l ’on considère leur position ,-toutes ont 'les rntyljp'dnns
©pppsés : 'plusieurs pÉt aussi lé^^^plles primordftsde^rippog
sées % comme cela est très-visible dans lesiHaricots : mais alors
déjà plusieurs genres ontl^feuilles,,, primordiales alternes.
Dans un âge adulte , presque torite§J<les*e$pèces de la famille
ont les feuilles alternes : les Setilps exceptions connues sçnb,
parmi les Spphorées, les OxyJLobium, et le
Gaslroîobium qui ont les feuilles verticïlléès^ 1 VEutapcia et
YE u ck ih is qui les-ont opposées : parmi jles'Loffeqsis,- les PM ty-
lobium , quelques Qenets qui •ont«pusfflt les feuilles opposées».
' Quant au degré dei leur composition, on en trouve beaucoup
qui ont ou-qui paroissent avoir-les‘feuilles simples et un,
plus grand nombre qui les ont composées': parmi:*ce$ der-f
nières, pn en trouve de presque tous les typés connus, srivoir :
i°. Simplement ailées’sans •.impaire-, comme dans les J^i-
éia, et alors le nombre des-paires varie depuis j jusquesàun
grand: nombre ; lorsqu’d n’îy^È a qu’une paire, on accoutume
de dire que'lesfeuilles ou les foliolés sont conjuguées’.- P
2°. S im p lem en ta ilées$ uveo mie'impaire terminâtes et
alors lorsque le nombre des paires est de, 2 ou davantage, on
dit décidément que la feuille est ailée ; lorsque-le nombre des
folioles est d’une seule paire* on dit, d’une manière incorrccte,
que la feuille est à 3 folioies, terme iijeiaqt en ce qu’il
laisse |p*âil,éesijàj ^fqÉisCsli^ c^jjdhndries.a'veQ les feuilles
palmées ^.folioles»: on:a commencé; à-mettre quelque précision
dans eps-termësl.. en, Jâ&jtiugUaut les l ’impaire est
j 'ÉÉ||%iffîFr^riiiTîii 'nfptfit exacte,^■ .car
pptiftlée «idgsble pétiglp commun
qui se prolonge^a^d^^dedforigineties^qliples latérales, tandis
que^dans les^autresqles £ folioles naissent du .sopunet du
pétiolq, iJe pense : donc^primer plus <epactement la réalité;en
donnant à^ces- feuilles*, le- nom, ■ G p in -
nata yu^ÿ^’ga^çw^iffip&riify&efe<à pelles j,^/le^;3^fpljolès par-
tent du somm.Git«.p.a£i(Qéesà&^ZiQlàfr(parkniatalà^aliolatfciAj.
tjTe^esfe-àadlr^, à 3fpliplgsj naissant du sommet
dmpétiole ^ soit q ^ l en aif jjieufx c;ommê dans certains; Betu-
hinia^i), la plupart des Trèfles, cinq, sept
ou neuf Lupins. m
j, ■ Depxt0£1 o?sans impaite| En»g^
nérallç^fepilles deqx ou tjpis fqiaailéès û’ônt pointée foliole
impaire on ne trouve,ces folioW t etmlnales- que dan s le J l^ -
dans:Un%ès-p etit nombre de genres dçG^salpinéés^.
\ ; L ’pxèmple à prorilÉ^ffi que la distinction
des feuilles une ou deux fois ailées est moins constante qu’on
ne pourroit le croire. Il n’pstpasdifficile , en suivants ,, surtout
daps le printemps* la feuÀtiaisoj^di^ls^^
vqr^p.êle-m|le des ffui]^^jimplemei^ïét doublement ailées.
Ges variations s’observent sur toute^l^g espècesa mais princitrij'îACëis'mi’nifes
jiratètconsidérées coiifnîë Vrai feuilles
ailées sans impaire à une sejiletijiairei | !