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de la feuille sont couverts de poils rduxycbuchés et soyeux.
f Les flâtirs forment des grappes terminales simples, presque
en forme dfe'oqrymbe ; les pédicelles’ inférieurs dépésient
sbüventsyêfi pouce de longueur. Les calices s’ouvrent en cinq
lanières ovales, oblongues. Les pétales son#ovés, portés, sur
un court pédicelle. Les-'anthères au nombre de trois seulement
, plus courtes quedes pétales: Les autrêS'-étamines sont
réduites aux rudimensdes filets. Toutes*.naissent du sommet
du tube du eaüeëF
Le fruit est une goUsSe aplatie , glabre, rétrécie en un
très-court pédicelle, longue de* trois pouces sur neufsLignes
de largeur pppeine jiointue, renfermant douze à quinze $&+
tites graines*5" mais ce- que cette;^pècéfeprésentende plus remarquable
‘ c’IlPque' le pédicelle de L'o\airf^est soudé avscfc
le tubë*du calice comme dans V‘Io&ehïâ/>t^
Cette espèce appartient par là au groupe des Phanera
se distingue par ses vrilles de toutes lesmspèces du.genre.?
5°. Baufutda rgtusa, ■- *
Cette plante à^eté-désignée sans description sous ce nom
par Roxburgh dans le Catalogue du Jardin de CàJeüttaJ^et
je la décris d’après un échantillon qui- provient,deicè-l)el établissement.
Elle est fort différente du B . refusa de Poiret,
qui est la même que le B . divaricàta de Lamarclc et non de
Linné, et que je désigne sous le nom de B.JLarharckiana.
Le vrai B . refusa est un arbrisseau peut-être grimpant, parfaitement
glabre dans toutes ses parties. Ses rameaux sont
cylindriques, grisâtres ; ses feuilles sont coriaces, composées
de deux foliotés très-larges, demi-ovales, obtuses, marquées
de cinq nervures soudées ensemble jusque très-près du soini^
jfeAT.PINAS. . ......... ■ 489 f
m e ^ d ’oiÉ-résulte un limbe plus (large que lin g ;,, échancré en
| 3 à la hpje, maf q^4i|u sommet p^||p‘©l#g^ troncature
un peu coimave ; la suture qui m a r q i » f éunion I g deux
folioles, ou, comn$c,'on a fiu tum e de î e ^ ^ ^ l a nervure
moy^ne , n’a que ^eu|ppdces H e,t La
largeur du limbedhfier d jaa^e qu^ W ^ es-Æes fleurs tor-
le sortimet dés branchfes/ÿpne;^apicule lâche et
M H H B B eU cW r tP etjtes v dérouleur blanche 5 ÿ b o u -
t o h f * o v n k e ^terminé parrnde .
épanbuîsf’s^trt o b lo ^ & p o in t f f i Les pè^tes sont strpxfé^ , I
^ovalfs, à peine plus,tdh£ ^oxs
étamines même- dans p # u r s ^ e n bouton ; B H
t r o i s s id p ^ u i^ m c p é d e B H B | 1 a^ther,eS
■ M i longueur est à ppu p#s . ^ e ya ^ f e d e s .pétales.
L ’ovaire ■ W Ê
filiforme 1 glabrevJe n’aipas connoissanqe du fruit. L a place
- de cette espèce dansdfesections du genréesbencore indécise:
le nombre de s t a m in é s e tle po rt^ rapprochèÜt'dfes,^-
>ph*op*dês; mais^je doute que le pédicelle de l ’ovaire soit
soudé avec le calice qui a le tube court.