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vingt-douze, soit un tiers du nombre do ceux dont la famille
se compose ; mais ice sont en .général les genres* les vplus nombreux
en ^espèces, et ceux- paarm».'Jesqpml«âli.ÿ«ïle‘|te :.d «
probabilité qu’i l s’établira des coupes.génériques nouvelles.
Tels sont particulier les genres k!Ê)p!àorÆï:{Fêphm?$m,
A ca cia , etc. , qui,, malgré de pom-
breuses éliminations d’espèces déjà sépqrée|, subiront^eneorey
j ’en ai peu de doute, de nouvelles modifications qui les mettront
mieux d’aeéord avec la géographie ; j/enai entrevu quel-
quès»uneS9 mais le défaut de matériaux m’a empêché (de les
poursuivre.
Les espèces de la famille, des Légumineuses sont départies,
sur leglohetout entier, de manière p u ’if esttijèsrpe,u de pays
qui n ’ en ; présentent un certain nombre. Les résultats numériques
des tableaux .çbjoints sont les suivans :
r .CuryÆml)> .Rectemb.
Amérique méridioiiak ^çxtra-tropicale.. . . .
Ici. équinoxiale.......................... ;• • • •
Arrtiîlék. ........... ^....................................•
Mexique. •...... ....................................................
États-finis.. ............... ...... ............. . • .,
Sibérie... . . . . . . . .............. • « •’•••• ; • • •
Eiiropè, SAVÏ ltfMlâitéfraiiée. . . . . . . . . . ï ..
Orietiti* ; . . . . . . . . . . . . ............................... ..
Arabie et Égypt^-if * ^* i tOfÊUs ' '
Bassin de la Méditeq^fn^.. . . . y . I
CànâTieS . . . . . . . . . . î . ^ ••• * . • • • • . . . • • •
Afrique éqj&HéxralS.v. . . . . . . . . . . . . . . . . .
Cap;de Bonne-Espéranqe.- . . . •
Iles de l'Afrique australe.. . . . . . . . . . • . . . . . , .
Inde orientale. . . . . . . .<. • .............. • • • •• • • •
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4 6 6 .... . 2. . . . ."‘ 4681
21. . . .
S 8tï t~. . - âUt *i7:» * i' . .
334.J.«.»
‘é r " • ’ s .42
33o . . . . ... 1 2 2 . . . .
D I S T R I B U l^hO N «O E'O’G A P H l^ I iE .
.Claine j Ja-po^èt Coêfein.ow»efvi - -* > f • • • 6UL4r .."...... 13 . . .
^ J 54.. a • . • ^ 5 • t • . À î
*53jB 3 3 yS3 !^L<.?' . . y l
Espt&ïs dont rMibitAtionrest? douÆeuse. . . . . . .
^ Total. . |
Considérons d’abord «les terres, comme distribuées emtrois
grands c o n tin e t s to f telles que lesfepïésèixte la projection
M Merc^orl (;v^# Atl. de Malte-Brun,
1°. l ’Amérique y a y l ’Asie , dont la% ü v e l lë 41dllande è k
une afjpel^dicey e| g ^ ’Europe ^Ardbié*et Mfrufue , qui ,
par lëiif réuruôn, forment um.continent analogue,anx deux
précédens,J0n%eut?s^Surer^par la simple addition des ta-
blf^ux ci-joints , qne le nombre des Légumineuses connu dans
ces,.trois continens est presque semblable, savoir :
L A m é r iq u e ............V i * ' ' i 11' ” ^
(rfy ^ ;•
E^urmîe et rApi?^. . .. B *4»Mf - r.; * •. ' • *îr
Mais cçt équilibre général dés espèces.de la famille s1 établit
par disproportions trèS-diverses entre les deux graines divisions
: îson eompte en effet :
* '■ Gu r v^inî>rie'é s Lectembri'
EjaZifeis et è la Nqjtyelle-HoI}^id€i. , ----- ; • m k 2l6
l ' n E u ro p e t t ’en \ fr jq u p ,^
Ainsi i ancien. monde est à,proportion beaucoup plus riche
e a EapilionacéeSf, et le, nouveau en ^wartziées, Mimosées et
Gésalpinées. Mais la famille des Légumineuses est distribuée
presque égaleilêht sw?, Ipvilobe quand ori le considèreIcomme
divisé dans le sens des|tegitud*s- ;