
366 IX V MÉMO IRE.
parenchyme ^parseméjSurtout^HdessotfSiCesifoliole« In t
mYwm neuf à d k 5%iès.a^wgu6(«®aeii au tan t^ la i^ e ap j
les deux latéraux ont un dÉafcÔtés un*peu plus ; large que
grappes.nattent;de<l’aisselle desifeuiiites^©les
iSOnt siûipiesi, longues;de trois à quatre pouces, c’æfsteàdire
deux^en trais fois plus longues queles feuilles^M fleurssont
portées sur de-icourts pédieeüies,*dejetéefe¥ers^l»rhas de là
grappe, et longues dîenvironutpois dignes. Je n’aperoôfe'kù-
ewne bracfée-à Jeur haseÿleealâceesf pufeeseent, < divisé jusiju’à.
Ja ïnoitié de sa lnagueur en lébes.grèles , ?pïesque!¥g^s*^
#<ep forme d ’èlêne ; la corolle * est àl peuiprès dnuble-de la
longueur du calice ; IWaire est oblong-, ivelm, Adeux- ovules,
surmonté d’un s ty le grêle y^lafee^>déelû ^ui£| fids ddu e
manière remarquable, comme »mpéutile^oir dans là
4e la pi. 56j mais il faut observer que toutes Iks fleurs de la
même plante nW t pas le s ty le .d é c id e hb-mhm^msmète ,
et offrent des diversités; sur ce ipoint probablement diaprés
leur développement. L-’étendard est oblOng,-obtus, nod-strié«;
la gousse est pubescçnte et acquiert six ligrtesde longueur'
CéttéPspèee a du .rapport avec lé "
Elle est originaire de l ’Inde orientale près-de ^andaradab,
où eileadté trouvée; parRottler qui la désignoiPsousle noni
d Hedty&érum mtdym.&mL ai reçu un éebantillori dejMi Pué-
rari. Cette plante ressemble, tellement à là précédente-que
quelques mots suffiront peur la faire «eonnoitre ^ses stipules
sont lancéolées i,-, aiguës r plus persistantes^ e t rétrécies! ien
pointe moins fine. Ses foliotes sonf arrondies, obtuses, à
peine mucronées», glabres et dépourvues de points glanduleux,
lues-grappesj quoique allongées', ne-portent qu’un petit
nombre de rflenp. lue ntyte'iofffe les mêmes inflexions.
'C ,^,armfhlka\
■ Elle aséête^déeouverteuà fSaint-Domingue par M. Bertero
duquel; (j’-en anreeunm échantillon : saftige est un peu vohii
bile, .ey lind riqu j eusaresk® am eaux? soritnan gui eux , 1 couverts
ainsi qPérl©%f©jdlles;, lespétibtesPefctes^p4dop(^tes-,d’uh
duvet 'inou, caurtsetrjseteéi^fiqùi donne à toute5 lafplante* un
aspect, velouté, et dum gris;blafca châtre ; leitstipulés sontpès
tites^'îdressées.,-lancéolées*, Hnéair^pleà fôlioftt, au nombie
fie trois,,; elliptiques^,, obtuses ,.réfeiôulées en#es^Oiu^pll>|i^àfes
de trois.« cinqclègnQ^ijl’impaire’ est un 'peù ipl^ grande qùé
les deux latéralesfiAfe^ pédoncules,soafeMillaires $ f plusloîigs
qneJe^pétiolè^et portent deux-fleurs. Lesîgpus^esl'sont
sifljes, ovales, oblongues, droites ^longues de cinq ligries,tve-
lpe|r#®ùdeh»rs-, trèsdisses' ,en dedans^ légèrement boinbéfes,
etcrenfermentvdeUx grainies bruries> n |
te<C©Me<plabteîm’afété eoanmujiiquée par M. Balbis , sous le
n®m,de: j^tns? désignation dèpatrie. Je
soupçonne, d’après unéèkahtdloh' imparfaiîb provenanflde
rh ierbi^d èR ’Jdéritier, qp’seïteGa é té jadis; euBivée! au Jardin
de ; Paris , sô;us« le -nom , m qui peut
faire penser qui elle est originaire d ’Abyssinie.-
*Sa t%e est volubiIe5 cylindrique , ve ip e^ s^ poils sont
étalés ou' niffi. peu orebroUssés^iét paroissent^ dans Jlftâft seeÿ
avoir été un peurvisqpeukp tes jeiines tiimeaiux sontdégèreé
ment anguleux ; les stipules sonb lancéolées^ ?pointues, -étâ%
léesf un peu membraneuses Æes folioles, au‘nombre de trois,