
véritable albumen : je né veux,point soulevemoi lajqueltion
trèMélicàte sur lawraie'mature de l'albumen, question dont!
lès. belles observations Æe'MMi|®seviranus'.êfe Dutroèhefc.ant
pl^îftOirtréia;difficdité!qu5eüéÉt.ne VoBhêéHflÈ&. Jamais partant
du sensAabitueVdes termes j ’entenda,par albumenla
massènrenfeænaée ki^eb.<l<exnbrÿon dansfelô^peimiQderrne^^
n’adhérant pas a\se®^èlmi-ci pàr-sk surface entière,, même»
n’adhérant pâ&du tout 5 et jfe«àonëdèïe* comme endo.plè|.re
-épaissie’toutes. les.par.ties adhérant int-imemenÉ au spermo-
derme : c^st dans cessons çpie toutes, les grainesde^Légtoli-
néuses sônÉ, Amonavi-s^ dépourvp(^,fiUalbumen.
r L ’ embryondedLéguminëusè^seMprsésenitè isôjis dep^ftqpnps
principalesqu’Adanson avo.it indiquées,., mais,que iGærtBêjt«a
le premier .bien distinguées ^savoir : droite
et dans la même direction que les îchtydédons^ou^i^lôi^ife
radicule .courbée sur la commissurêfd^èatylédonst:, B
tes-Légumineuses à' radicule, eourbée-tsontj dés%#éé^.iS,oirs
le nom de C u r ^ m b r ié e s^ t l ’embryon luLmême^st* dit ho-
motrope ou pleurorhizé. belles î à radicule droite «sont dites
R ëciém b r iées, et l’embryon^est appelé ortbftrope ou droit.
Cfètte différence est toujoursrliée^ecî une fforme.ppr.tiçulière
dé^ graines. L ’extrémité de>la radicule est, dansinntesdesAe-
-gumineuses, dirigée vers<la cicatricule de la griing : par conséquent
lorsque l ’embryon droit, la. cicatricule est situee
à» l ’une des extrémitésvde la graine?, et celle-ci doit-avoir, en
général une figure ovaleiou orbiculaire ousoblongue, ou transversalement
îoblongue ,- comme dans l ’Arachis: Quand,, au
contraire,-la radicule,«St-crochue, il faut que, la cicatricule se
trouve sur un des tords àpparens de la ^ a in e , et alors peü^ci
%
dffrU fréquénxmeW>unerapp^®ehceàféniforme y ou. si elle est
oVale, lalciicàtrici’diw^iste lefdfaÉg d’un des1,, côtés, ou vers le
milieu / ou » vers (j l’unides bouts.
■ *i|^nipt'uré Mésféwjdédpns péésemteiaUàsîîldéuk étatsi-très-
différëns' : tantôtf5cC%ÎO'É^ânés/s(3!irt miæLC-èffly foliacés'-, ët à la
gefminatio'rfisettr-ahsfôrmEent erS’véritables feuilles munies dq.
stètnatfes ; comme on lertvuiLdans’ lê|E Ibphfpées ,, .lesXotées ,
les HédysæVes ,&la pliqUrlMX ^Euîoséesret- -des .„G^ssiées,.
Tan tof^p^s^mf’ëpais ' charnus , plus>‘j0ü ipoins farineux , et
rii^sef changent ps^alp germinatipn en feuill'p Énunies de stè-
mal-o%i(’f»mme par miSi^ple dans l&A^i6léês»^'lesï Phaséolées,
lês Dalhcrgiécs, les ^îwartziées, les Entadées ejtjes Geoffrées :
dans-^m/.deÈni^rèSi.', en. particulier, t^^l|Mndbhs sÔnt«ou^
:!vënj huileux.JSett-tÿ nature^diU^Selde cotylédons dont nous
suivrohsTes détails en parlant delà germination | se lie ayec
ïLusage même des Légumi-ffêuses ëj^gç^qüe^optés des graines
jîV col CM Éts*foliacés partief^^^; axât propriéfeéftiféEgs et nauséabondes
de t^ to açfifH.uLne-pep^è^'^ervinde nourriture,
tandis que toutes celleS|à cotylédoks;'épais mangeables ,
et au nombre ffes alimens les plus habituels de ^^sp|ee humaine.
Enfin cettënaturediyerse d^cotylédons influe aussi sur la
forme des. Mrâinjs". qui« sont généralement comprimées quand
•le^‘tcotÿlédons sontfplanes, et bombées ou sphériques quand;'
ceux-ei sont épaÿ^M
. La gemmule , s$fa la'-partie de la jeune tigé située à Faisselle
des cotylédons est tantôt îbriès-petitp et à peine visible |
tafftôt grande et déjà munie $|| feuilles primordiales distinctes
j|f|Jst ce qui a lieu dans lès PtosiSïlées ëfles Çassiées.»