
Ge sont ces espèces qui ont partieulièrement iàflde'* sur moi
pour ne pas admettre de divisinïî g^fe'Hqtie ^âÿrai les plântes
que je réunis sous le nom de Deàmodiutn.
hes Ghàlàrium-se composent de deux division* assez tranchées.,
savoir y fgtoétfer qui n’ont qu’une Mioie termitîâillf
et qu’on appelle d’ordinaire à feuillës simples:, tels sont les
D . Gangeticum, maculaturn, renifofnîeg tèrrkMàlë}%fr
moca'rpoides, î&m
f olium, Jasiooarpum, çLcùtwn, qui correspondent aüx
sarum de meme nom dés auteurs \ et trois espèces nouVcilêsi
H fgVGeux qui ont trois folioles ou égales ' OU peU;inègâlés en .
comparaison de? la division des Osetüanh Cette divisiôtf dês
XJhcdanurn a- trois' folioles est tellement aurais
désiré y établir des ;sous-divisionS ; miisplus je ldi? étudiée;,
.plus j '3Ü senti 14mpo9&biIit&d^è'^ablir. tolérables, soit.
à cause de l ’extrême analogie •des'elpeCes , soit’#arais.od du
■ grand nombre d’espèces mal connues.“?En remarquant que
presque tontes celles qui sont bien connues * oml^Tih© patrie
très-déterminée, j e me suis décidé à les ranger dans un ordre
purement géographique : par là les é s f t f e r qu’on ?<ÉtappeIé
-ai comparer le plus souvent ensemble^fee trouveront plus voisines
, et d'ailleurs la plupart du eelles desnaêmes pâyS ont
une analogie générale qui, mieux étudiéerpOuWa'pfepi^re
un jour y daine discerner-dés véritables divisfons orgabc^a-^
•pbiques. En suivant cette marche insolite, et qui AésCque
l’aveu de l ’incapacité où je me suis trouvé d’en établir une
meilleure, je range tous les Ghalariurnh trois folioles selon
qu’ils sont deJAmérique septentrionale, du Mexique, des
Antilles, de l ’Amérique méridionale, du Gap de BonnesEsp|
rance y .des îles d ebA fr iq u e australe , de l'Arabie* de
breiêos-espèces: ainsi.mngées géographiquement soit de près
de peét i il est remarquable qu’il n’^ afb«q»;une que
l ’on puisse cw r e conamune’A 4ènxin%ions|^^||le J9 . éri*
der^t^splanfo cosmopolite g qui
viennent de la Ghirte , de l ’ïndA^dç E le .d d Eranee et des
Antillks^tudiéis avec soin surdose©, ne>m’ont offeirt aucune
difFérenfêa Quant au£^autres ©spècéSf,1 qu’on avoit dites Communes
à pî:teSiu3^-::^^^®s|i elles sprit©u<fouteuses»oufeussës \
^jge^î.cst; une espèce qu’on d it crpitreïA..la Yir-
gjiMO^d^na- lilndé, mais il e^fosÉïàrfait »raisemblable que
la pjgpte indienne, figurée par Dillénius, ©’es* pas celle de
Virgmie#qw’on Connoît à peine, dfe mé suis assuré que VHu re*
p-ggviwm de Madagascar est unerjsspO^e différent© de celle
d’Àrabi e*;que l ’H ^sfietermaxpuïmàxi feppni êsCdiK®cênt de
llplbi. de l ’Indl], que VH. pirà$fflomfn de l ’Inde orientale
eft, trèsrdilfilrënt-de celui de l ’Amérique septentrionale, que
VH, adèmM^-^Â^ t, Jaya f e§t. très-distinet de celui; de la t Ja^
mai que-,, etc. | } e#; J ’»entre dans | ces détails s, non-seulement
pour motiver la division »géographique què ,daute. de mieux,
j(ai cru devoir. admettre parmi les Ghalorkun à trois folioles
, mais surtout pour engager les cammenpns # se défier
beaucoup!jdes nQms qusils pourraient, par la brièveté des
pbraseslspécifiqüetjf^àeiÆPtrgfiiéisA'donner dans leurs collections
à dèSvpl&ntesfde pays divers* ‘ Jç; voudrais aussi engager
les Botanistes; à examiner attentivement les espèces
qui , «sous des noms semblables, viennent de pays fort éloignés
: je serais bien surpris Isi* dans plus de la moitié des cas ,