
SE Sàvf«ë; reproduit* sîiisdn nomMtf /Wæ/occ/zz«. Ne voyant
aunune. objection contre le nom d’Adanson, qui rappelle
eëlfti desplàntësdans lëur pays* ttâiâl, je>crois devoir le conserver
en latinisant sa terminaison;. tt
J^i'GakabëMâ ont un'calice tubuleux, à deux lè wesîtrèsr
t,èconnniSsâ:bléS1%n ce <|uë làsupérieürêestà deux lobes larges
et arrondis, et l ’inférieure à trois dent#'petitm*ëft rp(dntnès..
L’étendard 'es t'grand, à deux callosités, la;«arène,* à-dëuX-pétales
dîStihfcfsyïéS étàmitte&!SOnt monade!plies 5 la rgoufe^è eorii-
prlméë'1, munie dèsdeuxCètt^ fdè‘4wsuture?lsupérieur^nde
deux ner^dfts'saillitttÉs'qui lui donnent l ’apparence ’d’avoir
trois carèOTêf^ïës' grairiès sbnt
crôdè‘1Éiéàïre-, âtt *par'dëfteSsèi;n||^©BS djéyfesîia
cellulaire^EjëîsbrdMfô, berbësi!ou';deS'!sOtiSTarbrisseaux à branches*
volübiïés , à graphes' ax|Mâlèesf, donttes*pédicelleskfais-
sent trois à trois ,• a; fleurs* grandes', longuèS' ôu purpürines ;
‘"vC’est aCe genre^très^ttatürel éLpronôncë füîteMeîïtipaè lé
éaficë^lM^tài^M^ëlda 'gttti^èl; q u e l ’on doit Tappèrtër le:
D : obtüsifoMisAon\: i 'enidr^^mMê pâVOît^n# simple va^
riétéj le D . m iniatiis, \e iaüdra pëut->
être leparlr Te ?lfâ®#Âfer0M^''dëJMuînph. AmbS#, t| j$ras|
f. 1 , les D T ënH form is-, ru tila n s, ^ijityurvuê^’ linieatus ^t
roseasV1'
Ï ’SOTIÏOGAKPLS!
C’est "ëriçore- à Adanson, qttë*' l ’on dèit d’avoir^ sép&réree
genre Du Doêickos, et aM:du Petit-Thouàrs d’avoir constaté
^ëé caractères ; mais le nom de üofor, quëd’nn%tBàutrélui
Ont dôiiné \ m’â paru si barbare* tpië j ’ai préféré conserver lè
nom à é ‘ PÿùjffihâfflpMpmlilequel Hecker favoit admis.
L e * 'fièpjÈkoklÊfyMs’* a le^calice "urèdélé à* deux lèvres inégales,"
l ’étendard réfl'élbiïét muni vers sà base de deux callo-
sit#?eylindriqu©sy la carl-në ‘à pétales* distincts* par la basé, les
étanfinëÉ diâdêlphes', é tl^ fruit à quatre ailes membraneuses
comme le Wê^ragoM^bus3. On n-’db eonnoît qu’une: seule
ë^e.c\^mMwMnhnÛ7ftpJ^à?ÿbÈoi0(& 3^^^ ^ C'fiMh}'éê‘'i‘bï l ’Ile - de-
Frâncè sous lë-^bm)déçois carré, :G?,test fine herbe à "racines
tuBéreuSes etP^flëUrs'‘b lë u e sP e u l etrè^faudroit-il, selon
SE. DïFPëv1ï fc-Thouarsy Tn ’séparer ,flunnbse©<Mâë*?espèce plus
petit!?pqhTm *tr oti vë’lêIbUgÆes ruisseaux à Madagascar.
5. LABLAB.
Le Cihqùièmë^genre qu’Adanson a|séparé, du D ^ èM fih st
le ÈM^tab primitivement établi par P . Alpin.sous ce nOm qui
est son nom populaire en Egypte. Il-à été-suivi* en cela par
tMbêîich et Savi EerbîÉsrf taêiae genv&iïLpilylaà que; Cærtner
a décrif sous l‘è nom d@*£)o6iok&s. .
yM*lïëSLablhb oiït le caliee*en^eldch^edubiklée ; t quatre lobes
droits^tfe'trois inférieurs* pointus y lè*supérieür large'y obtus
Ml formé de ldeui "soudés? ^étendard »offre à saLase un sillon
profond?/tel dfe chaque teêté’deux callosités parallèles i Los éta*
mines sont diadelphes yâetde filet libré est réçu'dans le sillon
de'f’étendard. L ’ovaire a un court pédicelle engâinq par le
torus :;dtetjd:ë*ë§fc comprimé, barbu ep dèssonsi La goi%^ëst
comprimée , cii forme dëtkmdache , munie de petits tuber-
éùl&sur lëls bôfids delà suture supérieure, diviséeien dedans
par de Ê&ûsSès cloisons trasnsAlersalëset cellulaires 5 de«j*raine§|
qui sont au plus au nombre- de quatre, sont ovales, un peu
comprimées, rëVêtuesMHme espèce de callosité fongueuse,.qui
part de l ’ombilic et en borde une partie. Cje dernier carac