
les cotylédons sont épais ,’ charnus, un peù verdâtres, sessilfes}
ovales, obtus aux deux extrémités , dressés, 'convexes• en
dessous , ordinairement-- opposés rtrès^rarieinenti: alternes J
comme on le voMjïànsla figure 113 . Les feuilles primordiales
qui naissent à un police , environ- au dessus; dresiieotÿlédons f
sont étalées* velues ta opposées, ailées tà dixspâires de folioles
sans impaire. Chacune d’elles a à ’sa.base/deùx stipules*! qui
'forment par leur réunion un verticille à» la base.’dedà.j ©fine
tige ; les feuilles suivantes sont alternes;
Le Caroubier ( Geratonia 'Stliqua^B. la racine pivotante}
la tige droite ,• cylindrique', déjà - urf> peu ligneixseysJongue
d’un pouce? environ au-dessous dèsseo^lodsons», mundë^dl
quatre petites nervures, qui semblent-leursiprojdctèdîfeiPës
cotylédons sont opposés , .sessiles\ étalés , ,ovalës~y très^ofetus
au sommet et même à la base, planesS0'*^ê|ts^ foliacés,ude
consistance ferme| munisg de trois ner,vuèes,à leur ba's'e4} les
premières feuilles sont alternes ; la pb^sinférieure naît imïnér
diatement au dessus des cotylédon^fes suivantes, à quelques
lignes de distance : toutes ceS premièresffeuilïes-sont pétiolées
à une paire de folioles, obovées.ou presque abcordéesy’à'deux
stipules subulées, et à pétiole terminé par une ;poi!nte^ les
folioles ont déjà la consistance ferme | de la planté;;, adulte
(4 g; 114< WM
. Le nombreux, genre des Casses, dont j ’ai vu environ quinze
à seize espèces ( voy. pl. 25 }i fig.î 1 r5- 1 i>9$)y ; présente en
général une grande uniformité dans, sa germination ; les
espèces observées sont les Cassicc Wistulm, gmiïsMs^ gèauça \
nictitans, Mdr^andiea^mppTnèmsd,i alata, speüiosa, et
quelques autres dont les noms d’espèce sont un peu incettains.
Toxktëâè% la'racine* grèje^et p iv o ta n tè , la tige droite
etfi-liforiiïé, lèsv# lf lë d o i# f l^ v é s ( au dfessus du sol d e s ix à
d o x ^K g n e 'S - ,^ \^ te s ^W r b n d is , s e s s ile ^ ? p la n e s r^ eV te , ,
fôlMdéSÎytr’ès^obtus-, .müùis'^ië trois n e rvures à leu r base ,
é ta ïé& âd é i^ î^ fë l'é p p em e n t comp le t,‘ e t de consistance u n
péu ferr^41'es%mlïlè3s;priiiK)rdiales. sont a lte rn é s, pétiolées,
s ^ e ^ l : ^ im p a ire , e t nafesexsdfxéquelquSe distance des coty-
;ÏMl)ris'yle nombrê’d è s ^ i r e s varie-p.j ’en compté h u it dans le
Sfr. grà îîd ïs, six dans 1 e * F isÊ ïà , tro is'd ah s le h fc tita n s , deux
" dans pièhpUrëa, lé MafylimdtGâ, le spdeio sa,
le seule dans le C: g la u co^ ^ ette univfÿVrmfQu'est
rompUé que 'p ar une seule-espèce que j ’ai reçue
d ’I t a l x ^ f e ^ ï î nom de CMsms p ig c c ê tt, qui à les feuilles
n^SrÊordiales opposées ÿmais»Jf^®Éfl’ai point é tu d ié e, è t elle
p o u rrait né" pas être .de ce g^pre.
figr^x 2or'3f pousse hors d e te rre
u n ë tig é ë y l^ d r iq u e , épaisse, longue d ’environ deux pouces
au deëfeous *des è«tylëdtons}‘Cep|c:--cUSpht opposés, sessilés-,
Atjbsgès, très^ëphis, planes en-dessn^} convexes en dessous;
-;?Pn *neu au 'd e s s u ^ d e s ‘cotylédons naissent deux feuilles
' JfeiM&dialas Opposées, sessifes, simples, oveeS-, très-obtuses
et marquées à leu r hase de tro is n e rv u re s saillantes : les
feuilles suivantes ]soht a lte rn e s, pétioléçs, à deux folioles,
comme toutes celles de Fâge adulte.
Le Bauhinia tomentosa (fig. présente une tige grêle,
cy lin d riq u e , longue d ’u n pouce e n v iro n , p o rtan t deux cotylédons
opposés, sessiles,(ovales, â trois foibles n e rv u re ^ à la
base, p lan e s, Verts, un peu:coriaces} les feuilles primordiales
sont alternes j la premièrfe n a ît à quelque distance ; elles sont
x6