
* Les Hpf|Ysarées .appartienne^^aux vraies Papilionacées ,
p’esVà-dire, qu’elles ont laf coroîW pajûlionacée | èt la radicule
courbée sur la commissure’ deS“Cotylédons. Elles se distinguent
des autres minces,
eijqui se changent en feüiliëS vdtë&s'à la germination^a9.Vpar
leur fruit d&vÉ^Cti1’articles monoàp^rmes, Coudés ou par des
fissures tr^ns versafe%*bu tout au moins par des étrabghphehs
très-prononcés. On ne peut avoir de doute sur Jés limites*'de
cett# tribu que dans un petit nombre de; Cas1. v
û v II çé|^ ç id l f très §eti|es dans lCsq\iels>le frtttt#e$t' i,édhi^
à un seul article, tels sont les genres , Æ lriuli.'i,
JLespedëza * eto : on reeoni»|tra:lors leur analogié^aveelféS
Hédy sarées par%GéMfe' de leur stÀctdre entière^..
^ il est quelques plantes qu’on hfe 'frem^Jarêr des Lo-
tées|- et qui offrent aussi une gousse^viséè;eMll^p4par des
cloisons transversales 5 telles sont la section des Ànthylïîues
Cornicines É p celle des Luiê'rnis Hym^nocarpes.
gjjSfm Le gênve%4 desmi<z qui, pat son fruit et son port en?
tier, appartient certainement aux Hédys&réhS’, s’approche dis
Sophorées pat ses dix étâniiires libres .
Les Hédy^trées ont dcHCüilles très-variables, souventmu-
nies -de gtipelles à la bàse des folioles, Leufsfteaès Ont un
calice à cinq lobes ou égaûÿ?%ü'disfrïbuéâ ei^üeux IlWeif
leur corolle a une earène brusquetnent ebirrlèé au sommet ,
d’une manière q u i, quôiqtïê difficile à définir , sert souvent
à rapporter à cette tribu les espèces dont èÜ ne eonnott pas
le fruit , ou dont le fruit n’a qu’un seul article. Les étamines
sont diadélphes , à la manière ordinaire, et à un Ou deux
faisceaux égaux, ou plus rarement monadelphes, ou libres ,
sans que;p|gtte différence puisse être employée autrement que
comme caràctère^gé^riquStLes gousses sont ou comprimées,
pu plus raremenfeajpeu près cylindriques, à articles ovoïdes
nn Cÿl rndraré». »Cette -division pourroit servir à partager la
tribu en.deux séries.. Je mse suis borné à commencer dans
l ’ord£e^q|ie( j ai adopté, par les genres à gousses comprimées,
et, à terminer par ceux- à gousse^ cylindracées.
Parmi les,genres rapportés à’cette.tribu par la plupart des
auteurs ,jiai dû exclure i°. le, genre,!!allia de Tbunberg, qui
me pârpît beaucoup plus voisin des Ciptailaria ,\ 2.0. le F ie -
Roxburgh pourroit pëùt-âfre, appartenir auxPha-
*séiayej&|Ti?im et l ’aut|e-ont u p fru it continu, et non articulé.
Jetoèm|î au contraire qu’on doit ramener aux llédysaréçs
le genre 'Seçwgigepa que M. Bronn avoit rapporté aux Galé-
gées, ainsi que le P oiretia qu’il avoit placé parmi les Pha-
s’éolées, et le Diphaçq qu’il aÿoit rejeté dans les Dalbergiées ;
cardops ces genres ontla gousse articulée en travers,
ji L fs Hédysaréê^ penvent seVliviser en trois séïies : 'i°. les
Goronillées, qui ont les fleurs en ombelle, et les fruits cylindriques
ou comprimés 'j ,2°.'des vraies Hédysarées, qui ont les
fleurs en grappes et leurs fruits comprimés j 3°. les Halagées,
qui ont les fleurs en grappes bu en épis, et les fruits cylin-
dracés. ffijp. port particulier ,. majs difficile à décrire , distingue
assez bien chacun de ces trois groupes. Les genres que
.j’y rapporte sont les suivans.
inl Sérié CORONILLÉES.
Eleurs en ombelles axillaires. Eeuilles primordiales toujours
alternes.
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