
Papilionacées qui ont souventles lobes du calice-et toujours
les deux pétales inférieurs de la fleur engstivation valvaire:,
sont réellement moins éloignées des Mimosées qu’on ne l ’avojt
cru. Il existe même: quelques rapports curieux eptre/ies
Yiciées et quelques Mimosées : ainsi YJuntada a* comme les
Yiciées des tiges grimpantes, dès pétioles-terminés en vrillef|
des feuilles ailées sans impaire, des- eotylédons charnus restant
sous terre àda germination, et des feuilles ^primordiales
alternes.
Entre les trois tribus des Gésalpinées je n’avois d’hésilàr
lion que pour placer les Geoifrées avant- fâf^prèsdès^lassiées 9
mais ces deux tribus sont encore s i mal déterminées que je
n’ai pas attaché grande importance à,pe,eKeix;. J’ai commencé
par les Geefl'rées, parce qu’elles ont les étamines soudées
comme la plupart des tribus précédentes, et jia^Fsnivi par
les Cassiées, parce qu’elles ont les étamines libres commodes
^ ta rié es et les Rosacées 5 mais si quelque autre, plus, frappé
du rapport du G léditsià ^vec les Mimosées ? et dy. GQoffiroea,
arec les Drupacées , vouloit suivre l ’ordre inverse je« n’y
verrois pas grande objection..
avant la fleùraison. Point de petaies............... DÉTARIÉES. Mém. Xlli.
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