
Q’est cette espèce qu eJL de Lamarek a figurée, mais sans
aucuns détails à la p l. 3^7 fig. £> de ses Illustratw nes | et que
M. Poiret a désignée d’après -lui sous le nom de Podufyria
oboordata. Elle habite le Sénégal. Les échantillons que j ’ai
sous les yeux en 01$ été rapportés par W. Bâcle. Cette
espèce peut , outre les caractères citésflans. la phrase spécifique,
se distinguer de la suivante par ses fleurs fouM-fait
sessiles.
2. 11. sphærosperma ; stipuUs cafyee brepioribus j legur
minibus pubescentièus, basi attenuatis, > seminibus sphoe-
ricis- Tab.
Elle croît au Gap de Bonne-Espéranëe où elle a été découverte
par M. W . BurcbelL*Ses fleurs sont légèrement pédi-
^fties. D’ailienr^ elle ressemble towfeà-dàit à la précédente,
sauf les différences indiquées dans la phrase spécifique.
§ i 4- D u genre À jXTHYLLISv : >
, . .Quoique le genre A n ih y llis un des plus anciennement
établis parmi les Légumineuses, i l n’esÆ pas celui dont
la détermination m’a donné le moins d’embarras. Il a les’éta-
minhs; monaddphes, à tube entiernt non fendu pendant la
fleuraisôn,et le caLçe tubuleux à cinq dents ^persistant, et
plus ou moins renflé après la fleuraisôn | mais le premier
caractère est commun à presque tous les.genres de Génistées^
et le deuxième a quelque chose de vague «£ d ’indéterminé.
Aussi les espèces réunies par çç caractère sous le nom d’^/z-
thylU s, et *que j ’y conserve encore, offrent-elles des disparates
prononcés dans le port et les caractères. Pour les
rendre plusïs'âillans, je di-vése'les 'A h th y lh s en cinq sections
naturêllëSCS#J
i . jfeiTlèi^î^EéfLes deux4 espèces qui forment cette -
section \À ‘. G erà rêtéi Jé. ressemblent bead*
©tftip'par leur porf’^ iin i^b^cnm m .p*1 à* un D â le à , mais
leuèâ étâariines monadelphes les écarÉênMei’un e t de Fautre :
leur calice es« â^peîrie renflé',' leur gousse à une fogè'et à une
'graine ; lë s â ê f l^ enfleras sont-axillaires, pdïfees sur de-longs
pédontulw, êt'flépOurvaès1 de bi^àfetéès' foliacéèSles feuilles
sont ailéès^^d^>iSî^aire^4^Yè'lit)lesfiSont obiongdes ou-linéaires^
.présj^nè^^nl-^ lerftfè elles , et l ’impaire est Sfe&sï-le.
C e so n f des he rb eS^ à ce s f à racine êu souche un peu li-
M^§éët. 2 . J’ai donné ce nom àîfeettê section
j|àa?ce que toutes les espèces qui la composant ressemblent
aux A ip 'a ia tk ili, et l ’une d||||jës, mmv»A^rithylîis a^paluthi,
"fdytet meme été’ confondue dveeTce ’gehre sous le nom Ü A s-
", .palâfhtiutétiMmt Ges^éspè^e^ àu nombtdde quatre, diffèrent
des Aspalaths parce que lasgaîne des étamines R e n t iè r e
h la façon- des 'A n ttM & , et mon fendue longitudinalement
comme dans lèiàcspalaths r-ëileS*ont le cèüce peu renflé y là
Éôusse à une ou deux graines ; les fleurs disposées en* épis
terminaux interrompus| ou plutôt naissant aux. aisselles des
feuilles supérieures' 'qui sont ou petites ou avortées , de
manière qu’on peut les dire en épitifèreHont des petits arbrisseaux
très-rameuxfileurs et
s’endurcissent quelquefois jusqu’à deveninëpiméUSeS (A . Héfc-
mannioe e t-A . àspa^tÉ^p l iT feuilles^sohf ttantôt à trois
folioles, dont les deux latérales plus petites, tantôt simples |
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