
Téréhinthacées 'et de réserver pour ladin^ celles qui ont les
étâmiftes hypogynescommeléS' Swartziées.
Entre les Papilionacées, les Sophorées sont eertainement
celles qui s’approchent le plttis des ïérdbinlltacfîes, soit parce
que ce- sont-dës? arbres, soit parce qu’elles otit dés-'étamines
libres-*et dÉs^fleurs'ffieiMS^irrégu^rfe^selW'enfin parce que
leurs stipüles^ -sonV ôû£î4rê#i^tt%e^rs8iî ^out^Éut; nulle s
comme dans les Terébinthàéees ÿ ^
Le "genre M y l^ p ë ttâ û ^ ërL ^parfculier^séBËbl^pfft-à-fait
së rapprocher ‘ de§ Téréynthaeéës^ûit par 1 F absence habi-
tuellè des stipules j soit par la nature Ijalsàtnique du suc qu’on
trouvé1 dan# sa glMiSëfc1^
Une folsdixe SüT-la-necessite deoomnrencer par les Sophie-
réës, j ’ai du faire suivre- lês autres PapilionarSées^àb eotylé-'
dons foiiââés , Savoir ,-iess Lôtéet^em éômmêBCâfàtopar -les
Génistées qui - së' rapprochent beaucoup^fësjSofffèoMe&dela
Nouvelle-Hollande- ëfr leS ;Hédÿsarëe&' Quant à'#Ordrfe des
Papilionacées a cotylédons charnus y il m’a ’été impossible de
Rétablir- avec quelqiie~ 'Tigtielié? '-Eh'' effet ï -*■ leiÿ PhasëoMes
téuehënt de si pris hiÿ^Héd^satêeSd’iin :^ # | : et dë le t t r e
aux Balbergiées, qu’on peut à peine les en séparer. Mais si
i ’avois suivi cet ordre , j ’aurois dû rejeter les Yiciécs entre
lés Dàlber^eM et les Swartziées y'èt alors-ellés 'aurOiën^iétè
entre deux trib u t ûvëë fesquelle&^#lè$ ont peO d ’analogie ,
tandis que les Dalbergiéës et les‘Swartziées ont aü moins des
ressemblances marquées doits- le port; t j ’ai donc-laissé les
Viciées entre les Hédysarées7 ’et les’ Phaséoléos y "fondé sur
quelquesnMppdrtSi g^éMüx-ien:brë ou H^ÆwbMnomenë
et le <0^l^màiS-sansmë dissimuler-qu’elles forment,
m l
dans quelque genre;qtédn les place^ .une certaine interruption
dans rordrenaturel. LesSwartziéesis’approchentdes Balbergiées
par leur p o r tâ t l ’apparence générale de leurs fleurs et
de lenrs fruits ^mais Se rapprochent ïdesnMimoséesopar leurs
étaminesbypogynes. 1
Le'point de coiitaût des -Rectêmbriées avee les Gurvem-
b r ié e speut s’établir, ou par l^>'G*éE)f&ées.dont la fleur est
a^oz semblable^lWé^opifionàoéeSii ou parles Détariées
dont le Galice ressemble à celui des Swartziées, ou par lfes
Mimoséesfqnb eût l^^sépal^ et les* pétales en estivation valles
sépales et ]deux des
cinq pétales-avêc la mêmes estivation; Àvasat de me décider
a pet égml^ j^aiv examinéiquellis'étoient j de toutes les Rec-
tembriéesy «elles qui s>;approchoient les plus • dos Rosacées^,
et en-particulier des Amygdalées : je m’ai pas hésité à sentir
queoee sont les Détariées; elles ont en effet Jes. étamines
toujour^hbres, soiavent auinombre detrentemt teente-cii^j,
ieangées régulièrement am sommetdm tube du calice $ .et un
fruit - en drupei charnu , tellement semblable .à celui des Pêchers,
qu’oh peut-.à peine l ’en distinguer rJGomme elles n ’ont
point de corolle on ne peut affirmer leur vraie place , quant
à l ’estivation-, mais leurs feuilles ailées les distinguent des
Drupacées, et leur calice-semblable à celui des Swartziées les
rattache aux Légumineuses.
Dès que les Détariées, qui font partie des Césalpinées, dévoient
terminer la famille, j ’étois obligé à placer les Mimosées
en tête des Rectembriées $, et l ’examen de leurs caractères m’a
prouvé que c 5étpit bien là leur place. Ln effe t, elles, s approchent
des Swartziées par leurs étamines hypogynes, et leai