
giples des yaelöes» Ott suit, assez, bien sa trace emtre les; deux
parois dte FeuVeloppe séminale, darts cette :espSee de plexus
q u ê ta i »ûmme mésosperme. Lesfibres d e c èp le xu s aboutissent
toutes sousvla cièatriculie j lè se trouve um© äspE®# de
poche dans laquelle Fextiémité 4e la radicule pénètre plus
ou moans profondément selon: les espèces^ La radascute mnti
implantée dansici'tisstt spongieux, y pompe l^uoeiditèfet j ’aâ
vu des Fèves dan® lesquelles on pomvoit suivre F eau eeforéé
le long de la radicule et dans les cotylédons. ;
Lorsque F embryon esfaimsi gonâépar Feancpu’il absorbe,
et qu’en meme temps le ^pernasodeçme esst ramolli-par Fhu-
midâté* afes Fembrjonle rompt par songrifâsissemgnt : oette
rupture; qst toujours irâ^guBèrey et alors la radicule sort la
première de F enveloppe; car comme c’est par elle que commence
le développement, c’est près d’elleamssique la rupture
a lieu. Gette radicule, à peine hors du spermodeÂë-, se
dirige enbas. verticalement, et la jeune tige re iredresse^aveç
plus ou moins de facilité, selon le degré d’incfctaîs|||i qu’elle
a ,.et que la position fortmte de la gtiiitte à déterttiÂ* Le
plus souvent: les débris du spçipaodénmMoest«^^ . et.
la partie supérieure de l’embryon en sort toute entière en se
redressantquelquefois l ’un dos cotylédons soulève avec lui
le spermodenme comme une éoifïo4$Cés dHféreoeoes ne sont
.point constantes dans la môme espèce. Lorsque 'Fön a semé ,
non pas une graine, mais une gousèe monosperme j comme cela
a beu dans les Onobrychis par exemple, alors il arrive souvent
que la radicule perce la gousse par un eêfté j et que la
plumule, ou soulève avec elle le spermoderme et la gôusse
réunis, ou pérçe Fun et l ’autre en se développant ; mais ces
diSérencpstne §nnt pffsmon plus véritablement constantes, et
peuvqM^Me^eoi^idMréesi^qjmme açeidLeimtQllesv
La radicule déscettd^ujiûttns^rtiçale^HuL1, même dans les
Légumineuses qmu doivent avoir de s racines rampantes ; elle
pàüss,e i lai;éralementgd^sijfibpiill'es ( d’abord horizontales , puis
Ascendantes ,^|ïee^0ntdes bbriUessiiipérielièès; q u i, par leur
allongement dans qp,niqués£e^pèf^|4é’terminent ,iesracine$
rampanï£s^i?;|'
!■>LQuelques Lè(gum>nè|iïSjês ftelles que les O rn ith S p ^ ou les
de deur germination vÇ#$’
petits tubereules.ebarnus^eb^îbQ^és qu’on obsgiy e^pirleurs
rao|ne^ adnlteS.^ Plusieurs jejBS0tt®iei|'ffe^^rfc pris pour do®
Champignons analogies au %$,@$ejrotium, mais je me'.saurais
partager leur opinion. *
îtige^estdrepée verticalement, au moins jus,qu’aii point
’direction verticale se
trouve1, dans toutes les^ Légumineuses y même dans celles qui
seronÿ^qt^' ^j^obcesl oTî4grimp^il^^[à l ’âgêjs&i^lulte. .Où? a dit
dans quelques ouvrages,.(bailleurs très-dignes i^^onfiance^|pi
que le-yéritable colle t de la plante étoit le/point, d’attache des
A%fedons ; mais cïtie-.misXu'lion est p||y exacte* : les cotylé-
■ j|i);Situs â'fesolatus.'cotylfed’ônjim sempeç iri s^premâ .raiijfiulaeyjarte collocatus.
præ£., Pf,
, ué^gtylédonS'Soajyies îoEes att,aohç5 à l!et f S m jg s E s organes de la végéta,-
tion'asrendanté èt deScfeWântWsff séparent’.[C o r r e a Ann. Mus. r ^ p . y y . ;’’V
LecStjl&lon^fe un ôifgâne*rae -l’e’i^b^wfÿil^ué.ilatéWenient ail point même où
;la gemxniulê et la radicule^'s^ga'ie'nt' Roiteaü, Ann. Mus. i 3 , p. 38ÔÜ’
tLes-bases des cotyl^dpî&soxit au sommet de lajjradiculç^.etiaupoirtt d'origine
de la gemmule ^Richard, Afialÿ^ffil^Mfe'p. go-. .
Les vaisseaux mammaires qui unissent ler&tyléd.C|n à la plantule partent dandle