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mines ou l ’adhérence de leurs filets, ni sur la structure des
grain^sl B ’4prèsr$efqu’on en sait,!, il èstmlair qunc’est une
Papilionacée ; mais appartient-elle aux Phaséolées, comme l ’in-
dique M. Sprengel qui la compare au Cajanus.et au Rudol-
p h ia , ou aux Dotées, comme le paroît penser'M. L in k , qui
la rapproche de 1 .du, Tepl\ro s ia ? 'La structure
delà graine et la géMination péuve’nt seules lever ce doute.
S P D u genrn AM P Ï flTOH A .
Sous ce nom, qui signifie règle douteuse, je désigne un
genre destiné à classer une plante du (jap de Bonne-E*sf)é-
rance encore assez mal connue, et qui a été sUeGessivement
placée dans des genres très-disparates. l x m é ^ ^ ^ ^ c a d .
fait dyrièvëtiientr cohnoîtreièette jjfËeÉè isbfis:-le§
quê Gttvaniirès^ transposé
à une uspèeè très-différente, llhunberg ïrerrsmfepubH^
danfc1 lés Archives de; Roemer {Vol. r , p.. b, t^'r) un mémoire
dans lequel il donne une descriptiorr et une i fh r é t lé
eette plante sous le nom d e 1 Cônnarus'dêfêümb^^ mais en
^examinant lèi deux descriptions , on voit^ue ne
peùfc*appartenue ni aux H èrm annm ynf mi
même aux familles dont ces deux genres forit partie- et que,
selon toutes probabilités, elle doit ( en supposant les descriptions
exa cte!forme r un genre particulier parmi les Papi-
lionacées. Elle diffère des Bermarmia, parce qu’elle a dix
étamines .aulieuide cinq^monadelphes danslalongneurL entière
desfüets et .non à la base seulement j e t que^ette, gaîne
seffend latéralement, ce qui n’a ! pas lieu dans les Bermanjeenres
de m à ù Ê Ê kfflÊ m mal c o s s e s . I B
niées%4e>plusÿS p E q u i t n isÉyïe aUtldeU<de cinq , qu’iun
carpelle .uniloculaire au- lieu» d,e cinq» plus- ou moins soudes j
elle a, les feuilles eomposfif»»au fien-4 ’ietre simples,! ét‘ le peu
qu’on»isai*4e la structurel des - gïaines -^ré^aifrquevtrèsimparfaitement
à celles! desfîlermanniéesui'^on la; cbnipare
ai^j ^q^wâ^K^ÿle|ipdiffére®ees^sontfq)eut-tetre’en0O're plus pro-
norieéesV Sa tigëf-est herbaeée au* lieu d’etre ligneuse jiélle ’a
des* «stipulai au lieu, d’en être1 dépourvue^, son calicd|est a
cinq dents au lieu déeinq lobes-rprofonds. Ses etamines sont
longuement monadelphes et à gaine fendue, au lieu d?etre à
ppiwu^oiidéftsparla
audmu rdem’e® avoir qu’mne à .deux j4#a©kées;dans| t*pfc e la
longrçmmfie*, la suture lâipbas droite au liew4’êW^vêîSSfleibas
de là suture eowrbe$ees graines sont réniformes.,* comprimées^
sans drille, et paroissent- avoir l ’ombilic latéral,; caractères
qui manquent t o ^ dans fes GonriàraGëeiet sont frëquens dans
les Papilionacée^^
Ainsi j ’ai très-peu de doute que, si la désèription e^juste,
cé^Ê^m m doiitfcmer mn; genre.particulierque j ’indique
à la suite des PâpiliomacéeSÿet que j © caipétéris# comme suit:
Calice ovë, rentré, persistant-pà?'cinq dentslaneé4 ées:et-ëtâ-
lées^fj jeorollcIà cinq pétales uuiguicniéës e tem spatule'. Dix
étamines soudées: par les filets en une rgfinei qui sfe fenddaterfiement/
îOvairemnique j pvalej rugueûxquin^tpfe^tfi'îéj
filiforme fiaustigmate obtus $• uneagouSse arrondi^sésfife *
ridee, ♦couronnée par le stylé4, uniloculàmèji a? dert<vaivfes
concave si «Graines : attachées le long de>fe suture- droite.,ïaq
nombre de quatre à cinq.^ dont une seule v ien t A ^maturité,
réniforme, un pemcomprimée.