
à étamines , raù.' ' entièrement! diadelphes ,'ou dont la dixième
l#t légèrement réunie à la basé 4- les feuilles sont' ai|qês
avec impaire; les fleurs purpurines , roses æosu blanches ;
les.fgrappes axillaires7OU opposées aux feuilles,, dette-section
comprend la) plupart des T^JwQ'çiei'Ae P e r r o n , non indiquées
dansles trois premières, le G alegu ïcmeifiofya'àe Rox-
burgh, le iG. lanc&oefolia de- Link»; diffèrent, .de iflfi} précédente/
espèce , le G . mucronatçv de Thunhérg, etc., étpbiA-
sieursf,espèces inédites dont j ’ai parlé dans 1 e ,Pwdmmus.it>
Après avoir ainsi classé les espèces d e g e n r e qui.s'euit
Jolérablement connues, iljpn Teste un nombre malheureuse#
ment très-grand sur lesquelles , fautgldqTlocumens , j e n’ai
pu établir aucune opinion. Je me suis borné à le^énumérer
d’après la disposition de?‘leurs feuilles5.; >’
La première sér^eridès espèces mal donnues comprëdd/eelles-
à feuilles ;ailées ayec^impaire| qu i, selanToute apparence ,
rentreront dans furie des-quàtrc sections précédente^, et surtout
dans la dernière : c’est à jçfefte'.sérié tque paroft appartenir
^outre plusieurs Hephresiaiàe Persoon ,* \e Coronilla
m yrtifoliaA e N.-L. Burmann, au moins d’après l ’échantillon
en fruit ÿ conservé dans ,son herbier ; Ojest (’encdre- ici: qu’S
semble qu’on dmfcrapporter le Man-Toddfa¥<addi&e,Rheèd
ÇHort. ntaljdb. i) , t. 22^, dont Scopoli avoit fait son genre
Rochea. Rheede a dit qu’il n^ avoit que trois pétales , probablement
parce que la carène y est très-petite.
La deuxième série des T\^hrpsia mal connue$:Se compose
de deux espèces nouvelles, remarquables par leurs folioles
au nombre de cinq., palmées, ou naissant toutes du sommet du
pétiole ; elles sont originaires d’Afrique.
La troisième «série comprend des espèces toutes originaires
du; Gap ’; et à .trois' folioles;.mais les descriptions ne sont pas
assez complètes»pour■ saVqirîsila folioleidu milieu ..est, comme
on dit ,1 pé|i'dlé©/fdui, en d’autres termes, si .elles sont ailées
ou -palmées
E n f in j e iplace.en dernière ligne le T . pwmosmdes de Per-
soonqui a les feuilles ailées sans impaire , et le T . fru te s-
d u i . d e Miller. L ’une et l ’autre seront
très-vraisemblablement excluès du gehreadès qn’elles seront
observées!sâyseéle moindre soin. r
Ainsi l^^îsokahte - quatorze -espèces de . Tephrosia connues;!,
ou du moins pommées dans les ; livres, il est probable
qu’un.jtiers ou la moitié sortira du genre lorsqu’on pourra
les «étudier en détail, et établir les caractères avec précision.
j!e*sùis entré dans qes considérations, afin d’appeler sur ce
genre l ’attention*des observateurs.
§27. D u .g en te N1SSOLIA.
1 lotÉifes Botanistes; savent que / sous le nom de M issolia,
nous désignons aujourd’hui pavée Jacquin et Linné, non le
Æ KxmdHa de Tournefort, qui est rentré dans le genre L a th y -
ru s , mais un groupe composé d’espèces étrangères, et assez
difficile àplacer convenablement dans l ’une des tribus des Légumineuses.
d® genre se«®econnoxt a son fruit compose d une
ou d’un très-petit nombre de loges monospermes , et qui
se prolonge en une grande aile membraneuse. D’après ce caractère,
il doit peut-être appartenir à la tribu des Ilédysarées,
mais son port a si peu d’analogie avec ces plantes que je ne