
candidum. Le nom des deux dernières. indique les poils
soyeux etblanehâtres dont la surface des feuilles est couverte.
£ 2°. Celles dont le fruit, a lès articles hérissés d’aiguillons ,
et dont Saj.tige«'|^^ilftè9^pàreate' 5 te te on t Rentre arttres ^lés
H . -eoreyanum, spihëmssmmm, ëtei |
3e*.! Celles .dont le port s’approche des précédentes, dont'le
fruit, n’.est pas hérissé d’aiguillons , mais un;peu. «ridé,' etpliis
ou moins>clu; tels sont les H . Tauricum , frutêçdsmfi, etc.
<i J^èLeiolôbiurn, ou la seconde section de mon genre
sarum, diffère .des trois subdivisionspréèédentesparie fruit
complètement lisse, sans' poils ni sans aiguillons^ Cieséicique
se. placent less-ff. obéeurtgn, Sikiricum\)M2mteasicum et§j||g-
rea le, •
, Il .reste a reconnoître.la place de l 'H., lirveare de Loureiro,
qui , d’après la description , paroît tout-à-fait étramgeréàu
genp.sous lequel il a été décrit, Lapeyrouse
, dont la description , inintelligible. à . plusieurs
égards, annonceroit, si elle est exacte $ une planté étrangère
à,ce genre.
J H D u % n r e "OÿOBRYCHIS?
Tournefort avoit très-bien distingué:de VHed^sarum \%s-
parcette ou Onobryehk comme genre caractérisé par son
fruit monosperme, garni de crêtes ou d’aiguillons. Cette*das^
tinction, quoique simple.et naturelle, n’a point été suivie
par Linné.; mais dès lofs Gærtner, Lamarck, Desvaux, l ’ont
d e , nouveau- consacrée ^ et je i la conserve aussi,,-sans aucun
doute, comme je l ’avois fait-dans la Elore française. i
I VOnQbryc.his. ressemble à XHedysarwn*. par son--calice à
cinq lanières figues, à pem p r^ ^ a le s , distinctes dès .lé milieu
de la longueur ,► naiî sa? caréné tronquée obtusément, par
ses étamines diadel plies, par ses'feuilles pennées avéc impaire
, et par ses fleurs en épis> ou grappes spiciforifeès/qui
naissenfo solitaires* à Faisselle deeehaque’,'bractée j mais' ilé h
diffère par son fruit qui n’a jamais qu’utf*seOl article, et qui
est chargé-siæd le dos de-erèt®S<-laillantesjfet sfuries faces d!aiguillons
plus émimoins prononcés ^dOuble"; cireonsteiiéé.qui
lui-, donné un aspect irrégulier. » do- fruit-nefrènférme qu’une
grainévà la ma turèfeé' ; < mais on^-y-tromv ë » souveut- âeiix ovules
dahS-, le premiert^®^^
îi»L.es'v^espèées d’Qjmèry&'his, aujourd’hui au nombre dé
vingt-cinq p ie divisent: en quatre ’sections^
,5j^Jr:;Les Onobrychis proprement dites , qü&Cjè'- ndm'me
E uhrychis, pourrà'ppdlerd’exceMence dulfOurrage qu’elles
fournissent^'ontla* goOs4é voblique, ridée oùldlîaï^gée^’aiguil-
lons shr -les ;èêtés prolonges! par le dos, ou -eh dent!’; oiflpn
une crête interrompue. Goost ici qu’appartiennent Ïe8 Èhha-
tùiar, •rrborüané^^ OrtÆa-gdlli, ïetè&éd
Les ^espèces dont la <*goû>sse est courlféè?-èni ta^ièille^
ridée ou tuberculeuse sur les cètés dhnt 4e dos-i^êf prolonge
en.une aile-largeret membraneuse, qui entoure presque
. tout le fruit.
pour indiquer leur caraetèreet leur rapport avec XELypiÉP
nooarpos y. seetioær des ■Medmàgâj1, Ce rapport| estitrès-frap
panf j mais les rides latérales d e là gousse*etÆ..forme»de la
carène distinguent bien eès deux groupes ;• MS’est/icï qu’il faut
rapporter jes Os* Ptallcûsii,, '^WpMrnefidriii, Miohttâïeii'pDC.
radiata, ■ ématm,* mmomêèfk P tolem ’dwa.>