
88 ÏI\ JMÊMMRE.
naît solitaire , imniéiiatement au dessus .dos.cotylédons^son
pétiole est long ,-.muftoà,sa (base..de deux stipules adhérent^®:,
il gpjÇ,, terminé pay/jjn Jinibe arrondi, obtus , dentelé;*vers le
sommet. La* deuxième feuille qui naîj-t.;un peu- amdiessuâi dé
la première est à »trois folioles. Ces caractères* seurt communs.,
avec de »légèresmuances .dans ?les formes ('^qy. iigr^$l>' ), aux
MacLicagosativa, marina,‘ ndgra^ radiata, int&rMxta^ mj-
nima, elègan&Ÿ rigidulc^kdlia%i$, Gowiipr.êssq\iidr‘&ieularis ^
$putellata ffçtplj yïespèGes qui, c@mme.a%|^iife appartiennent •
à idiverses sections, i
; liés My4fef*S|îdont j!jri observé>si^|^|)jèee^,savioirjtifer<?^fe-
tus\iialipd (ivoy.iig. ^^p.^iGin.aiï^^i^M^^jà^^ss.cmensis,
-hunfarica et maMr^ffi/zzb^he difïèrfinf dés LuzernteSiquepar
leurs eo%fJ^||ef^splu^lHptiq|fe^ plus, décidément pétioMs^et.
leur feuille, primordiale entière', arrondie-,, mais, presque toujours
plus large que-longue. La dejUxièmevfeuiMfitj^^fléjà ày
trois folioles. M
Les Trigonelles, dont j Jai^à,i|ss^ebsqrve .sixip&pèpgs.:, nè. diffèrent
point des deux genres, préçédensyils ont depnême des
cotylédons à fleur -de terre ; la première jfeuüle pctiolëe^sim-
ple #t légèrement dentelée ,**et la deuxièiÉile„à,trois foliole^
.’mais, dans .celle-ci, la foliole terminale est plus éyidemment
pétiolulée. Le.!/7. FioenumrgroecuinjL les cdtylédons elliptiques
portés sur un pétiole assez long ( pl.„:6, fig. fe8}.r)'
Lçs T. .oegjrgtiaca, .laciniatq coynipulata vppkyfie$atta. et
-pirinatifida ont les cotylédons eblongs à pétiole un peu; moins
| distinct.,
Les - T rè fle s, dont j ’ai.observé, une dizaine appartenant à
toutes-,les> sgctioirtS^ duïtepii|#^Pîe';d<i^fâ^iîiti point des Trigo-
ufrll cw*t^8és;1^élifaît^ S.ÉjiQ^s»actèrèi.!Ëfënéraux.,
> -L®SkL'@|te4tôinài^sÉi^e$^^^Ga'B«sr^âiè tpsigenreS’par leurs •
feuill^.frimordisl.es%;éc.a®té.ërs*d,es^0t^àî)iÉs, alternes ;* portées)
foMMfèf,- partant du sitemet.
qii'fi^jlai^dbsenæé? dans ; los^^^gsM^et.'Gjîlfe--
soldes (loiil. je donne la figure 6, 7 (fig. 19, 20), et dans les
pMg&®0^^d^0prMtfip^âMpiMs\ et
Widritimpêsê!^ î
s>', et. p&s,
rv^LesSd$Sjfl0<$.iea£imI©usd'és^@tÿléd|lus planes, foMacés, obtus*,
evalè^^^U'dv^i^foblotiïgs-j rportés sur* un long'pétiole^
leursjj^[tpi|!^prim0Bd.i a les sont opposes ,.Jpétioléeflv simples,
ovale®* j' feéniiinerv^j! les- suivantes*®bnt simples»; et semblables
aCeelle^-da plante adulte dans ld*P. "làËdgrpifèliü! dont
jei'àonôe dâffigûrîlï^ pl i^ff-i|^â|^js.Nd'(iii^ le ^OT^dÿâ&iiq ,*
elles|^iïé^§^Solée§^'^^§ JL-trois folioles1"dans' celles qui
*floiventiâyOp les feuilles.tiifoli©léè^feHes que'lës-i5
s a , iMllêminwsd'-, ?poelc@sfijba. ? ‘etc.
* ■* •‘LesHEtMejî Se#fèlonnoisgrëte& dès leur premier âge >dé§ P&pt-
tal&a, aU''moins^fên|É»g;er par le D. 'hrinlèà^ le seul q(ue*j’aie
*èu occasion de voirs^f^eôtylédons sont elliptiques, sessiles 5
ses feuilles primordiales,' alferié^l^'allées ^avdc*impaire. La
première à trois fôlÉ||gs , la d^uxièmèJ.à cinq»., lesautres à
neuf’ou-.onze*, è fg^^ oÿ. J&gr^f, pl.
Le &^mno/istâ a une.tige trèskJoVrjté et pubesceiîte aù-
deâsus fléS^otyléddns j 'tfeux-ci sont planes , glabres, foliacés,
ovales j- à* trois nervüi^s^^iunis d’un très-cdùit pétiole, éta