
456 XIII^MÉMOIRË.
de diviser les Cassiée^, mais ou auroit été, conduit à rompre
ainsi plus de rapports naturels qu’en les conservant en une
seule, série. Je la commence par les genres à feuilles deux
fois ailées, puis, ceux à feuilles^simplement ailées sans impaire.
Parmi celles-ci.il s’en trouve qui n’ont qu’une paire de
folioles , et dans les Baufiima., par exemple , on voit \ees folioles
se soadeàie^p- limbe unique qui nous conduit à la
sous-division des genresà feuillfs-simples, dont plusieurs sont
très-mal connus. Enfin nous, terininons-pardes gênresà feuilles
ailées avec impaire. Cette sérié, estrassêï coîvformë au port général,,
quoique fondée sur dgs,caractères deqi@u|d’iinpprtance
. et qui ne sont pas même toujours bien réguliers dans le même
genre. Je reviendrai plus tard sur quclques^genres deiCas-^
siées qui offrent des particularit^^ps^^nfu’être mentionnées,
et je me borne à indiquer la .simple liste d&genres,’ savoir :»
- u a. Le M&ringa, à moins qu’onnerpréfère le laissa parmi
les Geoffcées (voÿ. § 4 ).,
. 2°> Le G ledits ia , que j ’ai déjà mentionné dans .le premier
Mémoire, à l ’occasion des bizarres^variations devs e ffeuilles
(voy. pl. x>v
3°. Yic Gyrrmoclàdus de Lamarck.
.? 4 °- ^ A n om a de Loureiro,.genre.à peine connu, et.qu’on
doit, selon M. de Jussfteu, réduire aux espèces à;gpusse bivalve.
S J5?>. Le Guilandina, réduit aux limites assignées par M. de
Jussieu o’est-à-dire au Bonduc àe Plumier.
6°. Le Coulteria, àe Kunth, qui est le Tara dé Molina et
Y A d en o ca ly x de Bertero.
x . ?°. Le Cæ&alpinia, dont je mentionnerai les caractères et
les divisions au § 5.
CiSALPlNÊES. 45?
8°. Le PoincianM de Linné à peine distinct du précèdent.
Le M^ë^ÉwmM&®e ©esfoïrtaines.
L é d e Roth, genre mal connu, et sur lequel
j ’࣠dsdjàüappelé i ’attention, aux Mém, I et^W.
I H Hqffnicümé^gm de HDâvanilîes.
H f f iS Le Melaïtt&stiota, que je deérirai à Part, 6 , pl. 69.
i^#ILe' P&rftàrèa de Cavanilles.
i4». V E k ^ ^ 0 ^flx>n dte Mnné, ^èffiaïfuabiê par la manière
dont ies valvës ?ée ffendent en long dans le milieu de
leur étendue-; tïhit -en restant unies par les suaires.
i'■ %?* .Le iPttphïn^onia de Muné.
s6®, Le Çmüa deRorskal et de L ’Héritier.
,rys>. %ç Zkécàgma de Cavanilles.
. i8|'.*-Le Geratpxda\ de LinnA
f-*’■ <$§?.*L ’Hardfpiehiaide Roxburgh.
Pioxburgh, qui est le même que le Sa-
' fa c a de Burmann etde Linné 5 mais j ’ai admis le nom de Roxburgh,
parce que celui de Burmann ressemble trop au Sa-
ra ch a, genre qui appartient à une autre famille.
2 i°. Le >Taokigalia d’Aublet ; mais il faut remarquer que
le fruit figuré par Aublet n’appartient point à ce genre : la
gousse du T a chig a lia ' (comme je tai’fen suis assuré parles
échantillons de mon herbier,etpar ceux de M. Richard) est
comprimée, plane, membraneuse, indéhiscente, monosperme,
fdÜÉ&gue, assez semblable à celle dès Dalbergiu.
2»2°. Le Baryxylum de Loureiro.
a3°. Le Moldenhawera de Schrader, on Dolichomena
du voyage du prince de Neuwied.
24° • \jHumboldtia de Yahl.