
W ÈtèfflÊÈÊm
jf - Cette e'spèoe, assefr voisine de-l^pïNi&édent&$<ëst originaire
derCayenne. J’en, possède tle^ échantillons provenant ,#Jes
uns cle-M; Perrottetijvks mpgre^ de l ’herbier de Thifiaud J.jlëu
ai Vn*danjs la collee*ion de JMr. Richard, qui avoit pneté^qu^
cètfce plante daisoit le type d’un g.enrç n^uyéapÿ. i,
<Sai tige n a g u è r e qau’un pied&de hauteur , etparpiiyier-
baeée r elle^estgrele^ iCyiindrique , blanchâtre ^hv elue ;sd®s
stiprdes; sont. rouisses , étroites, aiguëssylejs. folioles sqnt ellip-
. tiques f àqaeine oyéesy obtuses- auxdeUx e»trémiks^lg|gpft
de-sept à huit lignesf^ur quatre defargejir; leur sùrfaeeip^
férieure est palf^ërva^eréi» des poils couchés,: la-SUpéffiiCiHsre
gktbreou presq^fllrglabre. Les grappes de fieurssanè fo u fiip ^
les pédieellesî^s^grêlÿy?ïn&«alice ,, auprès la fleuraisop^U&es
lobes étalés, drès-barbus, presqne dgaux. -Les gousses^sont
preaqueglabres, à un petitvnombre d? articles • ,
^fljpapj^ su
Je GOKsiâère , coinine simple ^uriéteéfee ejelie-ei, .un échanè-
tillon que j*ai«teeu du meme patys , e.tiqut he .mg?paroîtdif-
férer de-daquécédente que par ses foliules pluthtjiabQpëes
qu’exactement elliptiques , presque également %elues sur les
deux faces, et parses gousses-un peu hérissées* Elle esftd’aü-
leurs si' semblable pour le-port que je n’ai pas cru devoirda
séparer sur d e si? Itères?’differemsess £ ‘é
'-f^ k^ êo lson icts v&j^usÉulav.
D ’après la description que M. Runth a donnée de son H e -
dÿsarum -ymustulum; trouvé près de Gumana par BDI.,.de
Humboldt et Bonpland ,je présume qu’ildoit appartenir à ce
genre.
%l:l).:f sM É ;ÊSv 3t 5
«$tfi|u§î. T iu^êkyë DE SMODïUMv v< ■’<
™LorS^’dh%ÿèttâfféhé de’F'ahciéiÿ ge®êf toutes
lesfespëèëS’ qui doivent forlhe^^dë^en^ès distincts , soit à
raison de leur fruit uniloculaire, cotnmo les
MMgMl, ’feS‘ ^ - le^ ÉS^iêë%Éèf Y^l&ÊOWi's^ soif à
fcà%Ses’(fè leur ëâl'ièe ïdi!?isé jusqUes 'àïla base eff <cinq parties ,
Gôrtiibê V Zë?a1êm^ià'$è! cftrÉfe d# leurs
étamines tnenadelphes , comm’ë le PiiëtéeriM ou lè1 Sfëyict*
siMtkêWf soÜéà- raisdii ' de «leTS#g#aSsë dont le« àtffcicles pliés
tes uiïâ lêsf^utrës Sont empilés dans' le Calice, comme dé
Éfàé&ebiï et \xWmriâ^pi,éh uOcàl^élde leur tube calicinal très*
allongé,’ èôifime le 'MylosUnihes, 'soif! patcë’queues deux
lobes Supérieurs' du caliCe-sOrit^&tîdés en un, commé*dans le
JAï&érMïiïeî^e fàorKia /iMt jMtce qu'C lë fMïPest cylindrique,
femme dUfis \ Awtâ^füX 1’ A$y&ëttfpii$, soit à rai'Sdri des étamines
libres'entré-èÉcs, comme dans Y^âësrkià ,• lors, dis-je,
qu’on 'a fait tous cos-^tfànéhemeris, il reste deux groupes
très-ce&sidérables $ l’un, -auquel j ’ai conservé le nom He-
^arUPB;^\e calice à Cinq lobes presque égaux, la caréné
obliquement tronquée, beaucoup plus longue que lès ailes,
le fruit composé d’artidëSqfrMcUlaires , et les Veuilles ailées
.avec impaire : l’autref?'qUe je nomme BèffîWdàtm, comprend
lesespèces à calice-obscurément bilabié, à carène obtuse',
dépassant peu la longueur des ailes', à gousse formée
d’articles demi-orbicukirés ou demi-ovales, et à sUture supérieure
droite, enfin à feUilles ailé'éS à ’Uné'seule paire de
dblioles, avec une terminale, ou à une seule foliole. 1
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